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Hockey Canada dévoile ses chandails en vue des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2022

Trois chandails seront portés par les équipes masculine, féminine et de parahockey à Beijing

NR.051.21
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24 November 2021

CALGARY, Alb. – À un peu plus de deux mois de l’ouverture des Jeux olympiques d’hiver de 2022, Hockey Canada a dévoilé les trois chandails Nike que les équipes masculine, féminine et de parahockey porteront à Beijing, en Chine.

Les chandails de hockey d’Équipe Canada pour les Jeux olympiques et paralympiques, en versions traditionnelles rouges et blanches et en version noire, ont été dévoilés mardi soir durant la télédiffusion, par RDS et TSN, du match de la Série de la rivalité opposant l’équipe nationale féminine du Canada aux États-Unis à Ottawa, en Ontario.

« Les Jeux olympiques et paralympiques sont le summum du sport, et nous sommes heureux de dévoiler les trois chandails qui seront portés par les athlètes de nos équipes masculine, féminine et de parahockey quand ils représenteront notre pays sur la plus grande scène du sport à Beijing » a déclaré Tom Renney, chef de la direction de Hockey Canada. « Nous savons à quel point les amateurs de hockey sont passionnés et que, partout d’un océan à l’autre, à l’autre, ils encourageront la crème de la crème canadienne de notre sport en portant nos nouveaux chandails. Nous avons hâte de porter ces spectaculaires chandails sur la glace à Beijing, et de voir les Canadiens et les Canadiennes partout dans le monde appuyer nos équipes avec un chandail des Jeux olympiques et paralympiques. »

Le chandail d’Équipe Canada pour les Jeux olympiques et paralympiques met bien en évidence la feuille d’érable canadienne emblématique comme élément central. Le chandail rouge comprend un écusson unique et saisissant de feuille d’érable noire et des accents noirs, tandis que le chandail blanc montre une feuille d’érable classique rouge et des accents rouges. Le troisième chandail a une feuille d’érable noire entourée d’une ligne rouge sur une couleur de base noire.

Les trois chandails ont été conçus pour la performance et la durabilité grâce à la technologie Nike Swift, qui assure une mobilité et une légèreté accrues, ce qui aide à minimiser les distractions pendant une compétition intense.

« Il n’y a pas de plus grand honneur dans le sport que de représenter son pays sur la plus grande scène de la planète aux Jeux olympiques et paralympiques, et nos candidats aux équipes masculine et de parahockey ainsi que nos candidates à l’équipe féminine espèrent avoir l’occasion de porter ces trois chandails qui incarnent l’esprit du hockey canadien », a exprimé Scott Smith, président et chef de l’exploitation de Hockey Canada. « Nous savons que nos athlètes, membres du personnel et partisans de hockey porteront ces chandails avec un immense sentiment de fierté quand nos équipes seront à Beijing pour représenter un symbole avec un objectif en tête, soit de revenir au pays avec trois médailles d’or. »

Avant que les équipes masculine, féminine et de parahockey amorcent leur quête de l’or à Beijing, les partisans pourront se procurer leur chandail au coût de 180 $ (frais applicables en sus) en visitant le site boutique.hockeycanada.ca. Les chandails répliques de hockey d’Équipe Canada pour les Jeux olympiques et paralympiques sont également offerts en magasin ou en ligne chez Sport Chek et d’autres détaillants participants.

« Les chandails de hockey d’Équipe Canada sont les symboles les plus emblématiques des Jeux olympiques d’hiver », a commenté David Shoemaker, chef de la direction et secrétaire général du Comité olympique canadien. « Le rouge, le blanc et le noir des chandails symbolisent la riche histoire du Canada en tant que pays le plus performant au hockey olympique. Les 22 médailles du Canada au hockey, dont 13 d’or, sont une représentation évidente de l’excellent travail réalisé par Hockey Canada et de la qualité des athlètes du pays. J’ai vraiment hâte d’encourager les équipes masculine et féminine aux Jeux. »

Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada, veuillez consulter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux Facebook, Twitter et Instagram, de même que le mot-clic #NotreSportEstDeRetour.

Don Sweeney et Jim Nill.

Annonce du groupe de gestion pour la Confrontation des 4 nations 2025 de la LNH

Don Sweeney nommé directeur général; Jim Nill, directeur général associé

NR.021.24
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12 April 2024

CALGARY, Alberta – Hockey Canada a annoncé la nomination de deux directeurs généraux d’expérience de la Ligue nationale de hockey (LNH) en vue de la toute première édition de la Confrontation des 4 nations de la LNH en février prochain.

Don Sweeney (St. Stephen, NB/Boston, LNH) fera ses débuts dans un rôle de gestion à l’international à titre de directeur général. Il sera accompagné de Jim Nill (Hanna, AB/Dallas, LNH), qui fera son retour au sein du groupe de gestion du Canada pour la première fois depuis 2015, en tant que directeur général associé.

Sweeney et Nill ont aussi été nommés directeurs généraux adjoints de l’équipe olympique masculine du Canada en vue des Jeux olympiques d’hiver de 2026 à Milan et à Cortina d’Ampezzo, en Italie. Ils viendront ainsi épauler Doug Armstrong (Sarnia, ON/St. Louis, LNH), nommé directeur général en mars.

Les deux hommes de hockey ont été sélectionnés par Armstrong, responsable du groupe de gestion de l’équipe nationale masculine du Canada, par le conseiller en relations avec les joueurs Ryan Getzlaf (Regina, SK/Anaheim, LNH) et par Scott Salmond (Creston, BC), premier vice-président de la haute performance et des activités hockey. Katherine Henderson (Thunder Bay, ON), présidente et chef de la direction de Hockey Canada, et Pat McLaughlin (Saint John, NB), chef de l’exploitation et vice-président directeur de la stratégie, ont également participé au processus de sélection dans le cadre des préparatifs du comité de direction en vue des Jeux olympiques d’hiver de 2026.

« Notre préparation se poursuit pour les deux prochaines années à l’international, et je ne peux que me réjouir de la venue de Don et de Jim, qui dirigeront Équipe Canada à la Confrontation des 4 nations 2025 de la LNH, a exprimé Armstrong. Sans compter que ces deux directeurs généraux chevronnés viendront s’ajouter à notre groupe de gestion pour les Jeux olympiques de 2026. Don et Jim ont tous deux connu beaucoup de succès dans la LNH et représenteront notre pays avec fierté. Aucun doute, leur expérience sera un atout précieux lorsque viendra le moment de bâtir nos formations à l’approche de ces deux événements d’envergure en 2025 et en 2026 ».

Sweeney en est à sa neuvième saison (2015-2024) comme directeur général des Bruins de Boston. Il a gagné le trophée Jim-Gregory du directeur général de l’année dans la LNH en 2019. Sous sa gouverne, l’équipe a participé aux séries éliminatoires huit fois consécutives, remportant au passage le trophée du Président en 2020 et en 2023. Toujours avec les Bruins, il a aussi été directeur général adjoint pendant six saisons (2009-2015), directeur du développement des joueurs pendant trois saisons (2006-2009) et directeur des activités hockey pendant deux saisons (2007-2009). Comme membre de la direction, Sweeney a aidé les Bruins à atteindre la finale de la Coupe Stanley à trois occasions (2011, 2013, 2019), remportant les grands honneurs en 2011. À cela s’ajoute un séjour d’une saison (2014-2015) avec les Bruins de Providence dans la Ligue américaine de hockey (AHL) à titre de directeur général du club. Mentionnons également que Sweeney avait été nommé directeur général adjoint de l’équipe olympique masculine du Canada pour les Jeux olympiques de 2022 advenant le cas où les joueurs de la LNH auraient participé à l’événement. Il a disputé au total 1 115 parties durant ses 16 ans de carrière comme joueur dans la LNH avec les Bruins et les Stars de Dallas, participant à la finale de la Coupe Stanley en 1990 avec Boston. Il a aussi remporté une médaille d’or avec l’équipe nationale masculine du Canada lors du Championnat mondial 1997 de l’IIHF.

Nill occupe pour sa part le poste de directeur général des Stars de Dallas depuis 11 saisons (2013-2024), lui qui a été nommé Directeur général de l’année en 2023 et mené l’équipe à sept participations aux séries éliminatoires ainsi qu’à la finale de la Coupe Stanley en 2020. Il a également passé 19 campagnes avec les Red Wings de Detroit en tant que directeur général adjoint (1998-2013) et directeur du développement des joueurs (1994-1998), aidant l’équipe à accéder six fois à la finale de la Coupe Stanley (1995, 1997, 1998, 2002, 2008, 2009) et remportant la Coupe Stanley à quatre occasions (1997, 1998, 2002, 2008). Nill a aussi été directeur général des Red Wings de l’Adirondack dans l’AHL pendant une saison (1988-1989), avec qui il a mis la main sur la Coupe Calder, en plus d’avoir été dépisteur des rangs professionnels pour les Sénateurs d’Ottawa pendant trois saisons (1991-1994). À l’international, il a agi à titre de directeur du développement des joueurs (2003) et comme directeur général (2004, 2015) de l’équipe nationale masculine du Canada au Championnat mondial de l’IIHF, remportant l’or en 2004 et en 2015. Nill a joué 524 matchs en carrière dans la LNH, participant à la finale de la Coupe Stanley avec les Canucks de Vancouver en 1982, en plus d’avoir évolué au sein de l’équipe nationale masculine du Canada durant la saison 1979-1980, représentant l’unifolié lors des Jeux olympiques d’hiver de 1980.

L’identité des membres du personnel entraîneur et des six premiers joueurs qui seront de la Confrontation des 4 nations 2025 de la LNH devrait être dévoilée en juin, tandis que les autres informations concernant l’équipe olympique masculine du Canada seront communiquées ultérieurement.

La Confrontation des 4 nations 2025 de la LNH est un nouvel événement international qui opposera des joueurs du Canada, des États-Unis, de la Finlande et de la Suède qui évoluent dans la LNH. Sept matchs au total seront disputés selon les règles de la LNH au cours de l’événement, qui se tiendra en février 2025 dans deux villes nord-américaines – une au Canada et une aux États-Unis.

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Doug Armstrong.

Doug Armstrong nommé directeur général pour les Jeux olympiques d’hiver de 2026

Le DG d’expérience dirigera le groupe de gestion de l’équipe nationale masculine du Canada au cours des deux prochaines saisons; Ryan Getzlaf et Scott Salmond font partie des membres du comité de direction

NR.014.24
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15 March 2024

CALGARY, Alberta – Hockey Canada a annoncé que Doug Armstrong (Sarnia, ON/St. Louis, LNH) occupera le poste de directeur général de l’équipe olympique masculine du Canada aux Jeux olympiques d’hiver de 2026 à Milan et à Cortina d’Ampezzo, en Italie, et sera à la tête du groupe de gestion de l’équipe nationale masculine du Canada. Il supervisera la nomination des groupes de gestion qui dirigeront Équipe Canada lors de divers événements au cours des deux prochaines saisons.

En préparation des Jeux olympiques de 2026, Armstrong siégera à un comité de direction avec Ryan Getzlaf (Regina, SK/Anaheim, LNH), qui sera conseiller en relations avec les joueurs, Scott Salmond (Creston, BC), premier vice-président de la haute performance et des activités hockey, Katherine Henderson (Thunder Bay, ON), présidente et chef de la direction, et Pat McLaughlin (Saint John, NB), chef de l’exploitation et vice-président directeur de la stratégie.

Armstrong supervisera Équipe Canada lors du Championnat mondial 2024 de l’IIHF, de la Confrontation des 4 nations 2025 de la LNH et du Championnat mondial 2025 de l’IIHF. Il nommera les directeurs généraux et les gestionnaires canadiens et collaborera avec ces personnes afin de former l’équipe olympique masculine du Canada pour les Jeux olympiques de 2026. Getzlaf travaillera directement avec Armstrong et Salmond, assurant le lien entre les athlètes, le comité de direction et les groupes de gestion pour les quatre événements à venir, en plus de veiller à la compatibilité des équipes, des athlètes et du personnel.

« Les gestionnaires canadiens chevronnés au talent éprouvé sont nombreux dans la LNH, et nous estimons que Doug est la personne la mieux placée pour diriger notre équipe nationale masculine et constituer nos groupes de gestion à partir d’un groupe de gestionnaires talentueux pour chaque événement jusqu’aux Jeux olympiques de 2026 inclusivement, a déclaré McLaughlin. Doug et Ryan ont tous deux une feuille de route bien garnie dans la LNH et sur la scène internationale, et Scott joue un rôle déterminant dans la réussite des équipes nationales du Canada à tous les niveaux depuis plus de 20 ans.

« Ces trois personnes seront de précieux atouts au sein du comité de direction de Hockey Canada et contribueront à former des équipes qui feront la fierté de la population canadienne au cours des deux prochaines années. C’est un honneur et un privilège de représenter le Canada, et notre comité de direction veillera au soutien de nos joueurs et du personnel, tant sur la glace qu’à l’extérieur de la patinoire, afin de leur permettre de réussir tout en démontrant un caractère et des valeurs à la hauteur des attentes de la population envers notre organisation et nos équipes. »

Armstrong a remporté deux médailles d’or olympiques en tant que membre du groupe de gestion de l’équipe olympique masculine du Canada (2010 et 2014) ainsi que la Coupe du monde de hockey 2016 à titre de directeur général. Il avait aussi été nommé directeur général de l’équipe olympique masculine du Canada pour les Jeux olympiques de 2022, et il aurait rempli ce mandat si les joueurs de la LNH avaient pu y prendre part. Son parcours comprend également des médailles d’or au Championnat mondial de l’IIHF en 2007 (adjoint spécial), en 2016 (conseiller principal) et en 2023 (directeur général), ainsi que des médailles d’argent aux tournois de 2008 (directeur général adjoint) et de 2009 (directeur général). En outre, il faisait partie du personnel aux éditions 2002 et 2013 du Mondial. Armstrong prend part à sa 14e saison (de 2010 à 2024) à titre de directeur général des Blues de St. Louis, où il agit également en tant que président des activités hockey. Il a gagné la Coupe Stanley en 2019 avec l’équipe ainsi que le titre de Directeur général de l’année de la LNH en 2011-2012. Il est récemment devenu le 11e directeur général de la LNH à signer 800 victoires dans le circuit, et il figure au deuxième rang pour la vitesse à laquelle il a atteint ce plateau. Auparavant, Armstrong a passé 16 ans (de 1992 à 2008) au sein de l’organisation des Stars de Dallas, avec laquelle il a remporté la Coupe Stanley comme directeur général adjoint en 1999.

Getzlaf fera ses débuts au sein du personnel de gestion d’un événement international après avoir joué pendant 17 ans avec les Ducks d’Anaheim (de 2005 à 2022), équipe dont il a été capitaine pendant 12 campagnes (de 2010 à 2022) et avec laquelle il a gagné la Coupe Stanley en 2007. Getzlaf a obtenu 1 019 points (282 buts, 737 aides) en 1 157 matchs dans la LNH et a participé à trois éditions du Match des étoiles de la ligue (2008, 2009 et 2015). Sur la scène internationale, il a remporté l’or au Championnat mondial des M18 2003 de l’IIHF, au Championnat mondial junior 2005 de l’IIHF et aux Jeux olympiques d’hiver de 2010 et de 2014, ainsi que le titre de la Coupe du monde de hockey 2016. Getzlaf a également gagné l’argent au Mondial junior 2004 et au Championnat mondial 2008 de l’IIHF, a pris part au Défi mondial de hockey des moins de 17 ans 2002 et était le capitaine d’Équipe Canada au Mondial 2012. Il en est à sa première saison en tant que coordinateur du développement des joueurs à Anaheim.

Salmond a été promu au poste de premier vice-président des activités hockey à Hockey Canada en 2018 après avoir passé quatre ans comme vice-président des équipes nationales. Dans le cadre de ses fonctions, Salmond supervise toutes les activités des équipes masculines, féminines et de parahockey du Canada. Il a aidé le Canada à remporter l’or à deux occasions aux Jeux olympiques d’hiver (2010 et 2014), à six éditions du Championnat mondial de l’IIHF (2003, 2004, 2015, 2016, 2021 et 2023), à sept tournois du Championnat mondial junior de l’IIHF (2007, 2008, 2009, 2015, 2018, 2022 et 2023), à deux éditions du Championnat mondial des M18 de l’IIHF (2013 et 2021), à un Championnat mondial de parahockey du CIP (2017), à un tournoi des Jeux paralympiques d’hiver (2006), ainsi qu’à un championnat de la Coupe du monde de hockey (2016) et à trois titres consécutifs de la Coupe Spengler (2015, 2016 et 2017). Salmond, qui s’est joint à Hockey Canada en 2001, a constamment grimpé les échelons de la haute performance dans son cheminement au sein de l’organisation.

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Déclarations de Hockey Canada sur la participation de la LNH aux Jeux olympiques d’hiver de 2026 et de 2030 ainsi qu’à un tournoi international de la LNH en 2025

02 February 2024

CALGARY, Alberta – Les déclarations suivantes sont faites au nom de Hockey Canada concernant la décision de la Ligue nationale de hockey (LNH) et de l’Association des joueurs de la Ligue nationale de hockey (AJLNH) de participer aux Jeux olympiques d’hiver de 2026 et de 2030 et d’accueillir un tournoi international opposant quatre nations en 2025, actuellement connu sous l’appellation 2025 NHL 4 Nations Face-Off :

« Plus tôt aujourd’hui, la LNH, l’AJLNH et la Fédération internationale de hockey sur glace (IIHF) ont fait l’annonce très attendue de la participation des joueurs de la LNH aux Jeux olympiques d’hiver de 2026 et de 2030, ainsi que de la tenue d’un tournoi international de la LNH réunissant quatre nations en 2025. Hockey Canada reconnaît que le processus a nécessité de longues discussions et réflexions, et nous croyons que cette décision est dans l’intérêt fondamental non seulement d’Équipe Canada, mais aussi du hockey international dans son ensemble. 

« La participation des joueurs de la LNH sur la scène internationale en 2025 et aux Jeux olympiques marque le retour à une compétition internationale opposant les meilleurs joueurs au hockey masculin, et nous savons que cette décision sera bien accueillie dans le monde du sport ainsi que par les amateurs et amatrices de hockey du monde entier. Nous nous réjouissons de pouvoir soutenir nos équipes masculines, féminines et de parahockey dans leur parcours vers les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver. » 

  • Katherine Henderson (Thunder Bay, ON), présidente et chef de la direction à Hockey Canada et coprésidente du Caucus des sports d’hiver du Canada

« Représenter le Canada aux Jeux olympiques d’hiver constitue le summum du sport, et l’annonce de la décision de la LNH et de l’AJLNH de revenir aux Jeux olympiques et d’accueillir un tournoi international réunissant quatre nations en 2025 revêt une grande importance pour notre organisation. Nous sommes enthousiastes à l’idée de bâtir des équipes pouvant miser sur les meilleurs joueurs canadiens de la LNH de partout au pays pour la première fois depuis la Coupe du monde de hockey 2016 et de les encadrer avec des groupes de gestion, de personnel entraîneur et de personnel de soutien de haut niveau qui ne ménageront aucun effort pour aider nos athlètes à réaliser leur objectif de gagner l’or olympique.

« Nous serons ravis de collaborer avec notre personnel des activités hockey pour mettre sur pied des groupes pour le tournoi international de 2025 et les Jeux olympiques de 2026 et de 2030 qui nous donneront la meilleure chance possible de grimper à nouveau sur la plus haute marche du podium, à commencer par Milan et Cortina d’Ampezzo. »

  • Pat McLaughlin (Saint John, NB), chef de l’exploitation et vice-président directeur de la stratégie à Hockey Canada

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OIS/Joe Toth

Le Canada termine quatrième aux Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver 2024

Di Iorio égalise un record grâce à son but dans la défaite du Canada aux mains de la Finlande en tirs de barrage

NR.006.24
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31 January 2024

GANGWON, Corée du Sud L’équipe de hockey masculin du Canada a terminé au quatrième rang aux Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver 2024 à la suite de sa défaite de 5-4 contre la Finlande en tirs de barrage lors du match pour la médaille de bronze au Gangneung Hockey Centre mercredi.

Alessandro Di Iorio (Vaughan, ON/Vaughan, GTHL-M16), Tynan Lawrence (Fredericton, NB/Shattuck-St. Mary’s, USHS) et Keaton Verhoeff (Fort Saskatchewan, AB/RHA Kelowna, CSSHL-M18) ont tous touché la cible en l’espace de 40 secondes pour donner une avance de 3-0 au Canada après moins de sept minutes de jeu en première période. Avec son sixième but, un sommet au tournoi, Di Iorio a égalé Ryan Gropp (2012) pour le plus grand nombre de buts inscrits par un Canadien en une seule édition des Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver.

La Finlande a répliqué au premier engagement grâce à des buts de Jiko Laitinen et de Luka Arkko, avant que Wilmer Kallio et Viljo Kahkonen frappent au deuxième tiers pour donner les devants 4-3 à la Finlande.

Mathis Preston (Penticton, BC/Okanagan Hockey Academy, CSSHL-M18) a nivelé le pointage pour le Canada avec un peu plus de six minutes à jouer en troisième période sur une passe transversale de Ryan Lin (Richmond, BC/Delta Hockey Academy, CSSHL-M18) dans l’enclave, provoquant ainsi la tenue d’une séance de tirs de barrage.

« Je suis tellement fier de notre équipe. On a très bien joué tout au long du tournoi, mais malheureusement, on n’a pas été chanceux sur quelques bonds, a affirmé Di Iorio. C’est un honneur de représenter le Canada, et tous les gars dans le vestiaire se souviendront longtemps de cette expérience. »

Carter Esler (Okotoks, AB/Okotoks, AEHL-M18) a offert une performance étincelante devant le filet du Canada, repoussant 32 tirs.

« On a bien commencé le match aujourd’hui. On a vite pris une avance de trois buts, mais la Finlande a su rebondir et semer le doute dans notre tête », a dit Markus Ruck (Osoyoos, BC/Okanagan Hockey Academy, CSSHL-M18). « On aurait aimé rentrer au Canada avec une médaille, mais les Jeux olympiques de la jeunesse ont été une expérience extraordinaire, et tout ce qu’on a vécu à Gangwon a été fantastique. »

Le Canada a terminé la ronde préliminaire au deuxième rang du groupe B après avoir vaincu la Corée du Sud et la Finlande, avant de perdre par la marque de 6-5 en tirs de barrage contre les États-Unis.

Depuis 2012, le Canada a remporté une médaille d’argent (2016) et deux médailles de bronze (2012, 2020) aux Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver.

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Markus Ruck et Liam Ruck

Deux frères unis par le hockey

Ils ont appris à patiner ensemble et été repêchés par les Tigers de Medicine Hat; aujourd’hui, les jumeaux identiques Markus et Liam Ruck représentent leur pays aux Jeux olympiques de la jeunesse

Jonathan Yue
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27 January 2024

Markus et Liam Ruck sont des jumeaux à part entière. Nés à huit minutes d’intervalle le 21 février 2008, les frères ont toujours été des inséparables sur la glace comme partout ailleurs.

Au fil des échelons de l’Association de hockey mineur South Okanagan dans la petite ville d’Osoyoos, en Colombie-Britannique, jusqu’à leur sélection en première ronde du Repêchage des espoirs 2023 de la Ligue de hockey de l’Ouest (WHL) par les Tigers de Medicine Hat, Markus et Liam ont toujours été là l’un pour l’autre.

Les Ruck sont ce qu’on appelle en jargon médical des jumeaux miroirs, c’est-à-dire des jumeaux dont les traits sont asymétriques, en vis-à-vis. Markus est un centre gaucher qui aime fabriquer des jeux, tandis que Liam est un ailier droitier que l’on pourrait qualifier de marqueur naturel. Les deux se complètent à la perfection.

« On fait tout ensemble, sur la glace et dans la vie de tous les jours, lance Liam. À l’extérieur de la patinoire, on est compétitifs, on veut chacun avoir le dessus sur l’autre. Sur la glace, c’est différent; on se pousse l’un et l’autre pour devenir meilleurs et nous faciliter la tâche. »

« Être ensemble, ça rend tout vraiment spécial, note Markus. C’est toujours plus simple pour moi d’avoir mon jumeau à mes côtés dans toutes les sphères de ma vie. »

Maintenant, les frères font leurs débuts sur la scène internationale ensemble aux Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver 2024 à Gangwon, en Corée du Sud.

« On va montrer de quel bois on se chauffe sur la scène mondiale, autant sur le plan collectif qu’individuel, témoigne Liam. On va jouer à notre façon ».

« On veut se faire un nom dans l’uniforme canadien, commente Markus. L’objectif est d’avoir du succès en équipe et de revenir avec l’or. »

Une affaire de famille

Markus et Liam ont donné leurs premiers coups de patin à l'âge de deux ans sur la glace de leur cour arrière, puis ont continué sur les patinoires publiques. À quatre ans, ils faisaient déjà des jeux ensemble en situation de match. Leur complicité et leur sens du jeu ont vite fait tourner les têtes dans leur ville natale.

« Ils sont tombés en amour avec le hockey très jeunes », confie Jim Liebel, entraîneur des jumeaux lorsqu’ils avaient de quatre à douze ans. « Ils se sont vraiment investis dans ce sport en prenant des tirs au but dans le salon et en passant des heures à l’aréna. Ils ne parlaient pas beaucoup, mais c’était évident qu’ils voulaient devenir des joueurs de hockey. Leur chimie était très spéciale à observer, ils réalisaient des jeux en devinant toujours où l’autre allait se trouver sur la glace. »

Depuis qu’ils ont chaussé les patins pour la première fois, cette chimie a toujours marqué leurs présences sur le jeu. En 2018, le duo a porté les couleurs des B.C. Junior Canucks au tournoi Brick Invitational à Edmonton. Liam a été le meilleur buteur de son équipe avec sept buts et été le meilleur pointeur (à égalité avec un autre joueur) avec dix points. Markus a obtenu quatre points, dont deux mentions d’aide sur des buts marqués par Liam.



 Avec l’équipe de M15 préparatoire de l’Okanagan Hockey Academy à Penticton, en Colombie-Britannique, la saison dernière, Liam a terminé en tête des pointeurs de la Canadian Sports School Hockey League (CSSHL) avec 90 points (53-37—90) en 27 parties, tout juste devant Markus et ses 87 points (22-65—87). Ça n’a donc pas été une surprise lorsque Liam a été sélectionné au neuvième rang du repêchage de la WHL par les Tigers de Medicine Hat douze rangs avant que les Tigers n’effectuent une transaction pour choisir Markus.

« On adore jouer ensemble, commente Markus. On prend plaisir à faire des passes-et-va, à nous remettre la rondelle entre les bâtons et les pieds pour créer des occasions à 2 contre 1, et la petite communauté ici à Osoyoos nous offre beaucoup d’heures de glace, elle nous appuie en tout temps. »

« Markus et moi, on s’épaule beaucoup, ajoute Liam. Il facilite vraiment mon travail de franc-tireur quand il me sert des passes, les chances sont au rendez-vous lorsqu’on joue sur une même unité. Nos parents passent de nombreuses heures à nous aider, et le soutien de tout le monde fait en sorte que c’est facile pour nous de nous concentrer sur notre jeu. »

Il n'y a pas que sur la surface glacée que le lien familial est fort. Le hockey est devenu une activité qui a rassemblé la famille Ruck à de nombreuses occasions.

Que ce soit lors de duels intenses de minibâtons avec leur jeune frère Landon ou lors de vacances familiales, le hockey est un élément rassembleur pour la famille. Les parents des frères, Nina et Derek, en sont bien reconnaissants.

« Nous avons parcouru le Canada et les États-Unis en famille, affirme Nina. Nous avons forgé tellement de beaux souvenirs grâce au hockey, et les gens nous demandent même parfois si nous prenons des vacances familiales et je leur réponds : "Bien sûr". Que ce soit au tournoi Brick ou au Montreal Meltdown, nous y avons vécu certains de nos plus beaux moments ensemble. »

Les Jeux olympiques de la jeunesse seront un moment de fierté pour famille et amis qui encourageront les Ruck depuis Osoyoos.

« Les jeunes à Osoyoos voient Markus et Liam comme des leaders », explique Liebel, qui sait à quel point ce sera touchant de voir les jumeaux à l’œuvre à Gangwon. « C’est une petite ville ici, et les jeunes les voient aller sur la glace et sont témoins de leur niveau d’engagement au hockey; ils sont les personnes parfaites desquelles les enfants de la communauté peuvent s’inspirer. »

Une famille qui a eu du succès à l’international

Quand Markus et Liam amorceront la ronde préliminaire du Canada le 27 janvier face à l’équipe hôte, la Corée du Sud, ce ne sera pas la première fois qu’on verra un membre de la famille Ruck avec la feuille d’érable sur son chandail. Le père a joué trois ans dans la WHL avec les Hurricanes de Lethbridge (1998-2001) avant de remporter la Coupe Allan en 2007 avec les Regals de Powell River, un an avant la naissance des jumeaux. Les Regals avaient été invités à représenter l’équipe nationale masculine du Canada à la Coupe Biélorussie, et Derek y avait joué trois matchs.

Et puis il y a eu leur petite-cousine, Taylor Ruck . Elle est une quadruple médaillée olympique (une médaille d'argent et trois de bronze) en natation, ayant représenté le Canada aux Jeux d'été de 2016 et de 2020, et elle a égalé un record des Jeux du Commonwealth avec huit médailles (une d'or, cinq d'argent, deux de bronze) en 2018 en Australie.

Avec tout ce succès dans la famille, les jumeaux espèrent continuer de faire rayonner avec fierté le nom Ruck sur la scène internationale.

« On a tous les deux rêvé de porter ce chandail, confie Liam. Plusieurs jeunes du pays caressent ce rêve; cette occasion est vraiment emballante pour notre famille et nous. »

« Depuis qu’on suit le Mondial junior et les Jeux olympiques, on a toujours voulu participer à ce genre d’événement, conclut Markus. C’est notre chance maintenant, ce sera magique. »

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Annonce de l’équipe de hockey masculin en vue des Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver 2024

Ryan Smith nommé entraîneur-chef; Travis Crickard et Bruce Richardson, entraîneurs adjoints

NR.098.23
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21 December 2023

CALGARY, Alberta - Hockey Canada et le Comité olympique canadien ont annoncé la composition de l’équipe de hockey masculin du Canada qui participera aux Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver de Gangwon 2024.

Les membres de l’équipe de hockey masculin du Canada pour les Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver de Gangwon 2024 sont :

  • Gardiens de but : Mateo Beites (Sudbury, ON/Barrie, OMHA-M16), Colin Ellsworth (Aurora, ON/York Simcoe, OMHA-M16) et Carter Esler (Okotoks, AB/Okotoks, AEHL-M18)
  • Défenseurs : Cameron Chartrand (Saint-Lazare, QC/Bishop Kearney Selects, USHS), Callum Croskery (Oakville, ON/Oakville, OMHA-M16), Ryan Lin (Richmond, BC/Delta Hockey Academy, CSSHL-M18), Zach Nyman (Toronto, ON/Vaughan, GTHL-M16), Daxon Rudolph (Lacombe, AB/Northern Alberta, CSSHL-M18) et Keaton Verhoeff (Fort Saskatchewan, AB/RHA Kelowna, CSSHL-M18)
  • Avants : Alessandro Di Iorio (Vaughan, ON/Vaughan, GTHL-M16), Beckham Edwards (London, ON/Detroit Little Caesars, US15U), Tynan Lawrence (Fredericton, NB/Shattuck-St. Mary’s, USHS), Aiden O’Donnell (Cole Harbour, NS/Dartmouth, NSU18MHL), Mathis Preston (Penticton, BC/Okanagan Hockey Academy, CSSHL-M18), Liam Ruck (Osoyoos, BC/Okanagan Hockey Academy, CSSHL-M18), Markus Ruck (Osoyoos, BC/Okanagan Hockey Academy, CSSHL-M18), Adam Valentini (Toronto, ON/Toronto Marlboros, GTHL-M16) et Braidy Wassilyn (Puslinch, ON/Markham, GTHL-M16)

« Félicitations aux extraordinaires athlètes, entraîneurs et membres du personnel qui ont été sélectionnés pour représenter le Canada au tournoi de hockey masculin des Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver 2024 », a déclaré Katherine Henderson (Thunder Bay, ON), présidente et chef de la direction de Hockey Canada ainsi que coprésidente du Caucus des sports d’hiver du Canada. « C’est tout un honneur de porter l’unifolié aux Jeux, et nous savons que les partisans et partisanes de partout au pays encourageront ce groupe ainsi que le reste d’Équipe Canada dans la quête de l’or à Gangwon. »

La formation a été choisie par Byron Bonora (Brooks, AB), dépisteur en chef des M17 à Hockey Canada, et Kurt Keats (Winnipeg, MB), responsable des activités hockey. Une longue liste de joueurs a été remise par les 13 membres provinciaux, territoriaux et régionaux de Hockey Canada durant l’été. Les dépisteurs régionaux Pierre Cholette (Québec), Rob Simpson (Ontario), Darren Sutherland (Atlantique) et Darrell Woodley (Ontario) ont également contribué à la sélection.

Parmi les 18 joueurs, huit sont issus de la Fédération de hockey de l’Ontario, quatre de Hockey Colombie-Britannique, trois de Hockey Alberta, un de Hockey Nouveau-Brunswick, un de Hockey Nouvelle-Écosse et un de Hockey Québec.

« Nous sommes enchantés de dévoiler la liste des 18 joueurs provenant de six membres qui auront l’occasion unique de représenter le Canada pour la première fois aux Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver », a déclaré Benoit Roy (Sudbury, ON), premier responsable des activités hockey. « Cette compétition nous permet d’initier des joueurs aux programmes de Hockey Canada et donne la chance aux athlètes de développer leurs habiletés et d’acquérir l’expérience nécessaire pour briller sur la scène internationale, tout en rivalisant pour une médaille d’or et en savourant l’expérience d’une vie à Gangwon. »

Équipe Canada a participé au tournoi de hockey masculin à chacune des éditions des Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver jusqu’ici, remportant la médaille de bronze à Innsbruck en 2012 ainsi qu’à Lausanne en 2020, en plus d’une médaille d’argent à Lillehammer en 2016.

Le tournoi de hockey masculin se déroulera du 27 au 31 janvier (jours 8 à 12) au Gangneung Hockey Centre. Équipe Canada disputera son premier match du tournoi contre le pays hôte, la Corée du Sud, le 27 janvier à 6 h HE / 3 h HP, et affrontera ensuite la Finlande le 29 janvier à 6 h HE / 3 h HP. Les demi-finales auront lieu le 30 janvier, et les duels pour des médailles se tiendront le 31 janvier.

« Félicitations aux athlètes qui ont été nommés à l’équipe de hockey masculin du Canada », a déclaré Lisa Weagle, chef de mission d’Équipe Canada pour Gangwon 2024. « Ces jeunes athlètes représentent l’avenir du hockey canadien et incarnent le talent, l’esprit sportif et l’excellence qui définissent la passion de notre nation pour ce sport. En tant que chef de mission d’Équipe Canada, le message que je veux transmettre à chacun des athlètes, c’est de jouer avec cœur, de saisir l’occasion et de représenter le Canada avec fierté. »

Les entraîneurs et membres du personnel de soutien d’Équipe Canada pour les Jeux olympiques d’hiver de la jeunesse de Gangwon 2024 sont :

  • l’entraîneur-chef Ryan Smith (Headingley, MB/Spokane, WHL)
  • l’entraîneur adjoint Travis Crickard (St. John’s, NL/Saint John, LHJMQ)
  • l’entraîneur adjoint Bruce Richardson (Montréal, QC)
  • le responsable de l’équipement AJ Murley (St. John’s, NL)
  • le thérapeute en sport Kevin Elliott (Charlottetown, PE)

Smith en est actuellement à sa deuxième saison (2022-2023) à titre d’entraîneur-chef des Chiefs de Spokane dans la Ligue de hockey de l’Ouest (WHL), après avoir occupé un poste d’entraîneur associé pendant deux campagnes (2020-2022). Il a auparavant remporté une médaille d’argent en tant qu’entraîneur adjoint de Canada Rouges au Défi mondial de hockey des moins de 17 ans 2022 ainsi que l’argent et le bronze en tant qu’adjoint de Canada Ouest aux éditions 2012 et 2013 du Défi mondial de hockey junior A respectivement.

Crickard en est à sa première saison au poste d’entraîneur-chef des Sea Dogs de Saint John dans la Ligue de hockey junior Maritimes Québec (LHJMQ), après avoir œuvré comme adjoint pendant une saison. Il a remporté une médaille d’or en tant qu’entraîneur vidéo de l’équipe nationale masculine des moins de 18 ans du Canada au Championnat mondial des M18 2021 de l’IIHF, et il a été entraîneur vidéo ainsi qu’entraîneur adjoint de Canada Noirs au Défi mondial de hockey des moins de 17 ans en 2016 et en 2017, respectivement, gagnant la médaille d’argent en 2016.

Richardson a tout récemment agi comme entraîneur-chef de l’Armada de Blainville-Boisbriand dans la LHJMQ pendant cinq saisons (2018-2023). Il a remporté une médaille de bronze avec l’équipe nationale masculine des moins de 18 ans du Canada au Championnat mondial des M18 2023 de l’IIHF, a été entraîneur-chef de Canada Blancs au Défi mondial de hockey des moins de 17 ans 2022 et a agi comme adjoint avec Canada Noirs au Défi mondial de hockey des moins de 17 ans qui a eu lieu en novembre 2014.

Les Jeux olympiques de la jeunesse sont la plus grande compétition multisports au monde pour les jeunes athlètes de la haute performance âgés de 15 à 18 ans. Les Jeux de Gangwon 2024 commenceront le 19 janvier et se termineront le 1er février 2024, et accueilleront 1 900 athlètes. Gangwon 2024 sera la quatrième édition des Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver et la première à avoir lieu en Asie, et on y trouvera un programme sportif respectueux de la parité entre hommes et femmes regroupant 7 sports, 15 disciplines et un total de 81 épreuves.

Avant d’être confirmés comme membres d’Équipe Canada, tous les athlètes nommés sont soumis à l’approbation du comité de sélection de l’équipe du Comité olympique canadien quand toutes les nominations ont été reçues des organismes nationaux de sport.

La formation d’Équipe Canada pour les Jeux de Gangwon 2024 se trouve ici, et d’autres ressources pour les médias sont disponibles ici.

Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et les Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver 2024, veuillez visiter le site HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux Facebook, X et Instagram.

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L’équipe nationale féminine du Canada

Faire les choses à notre façon

Après deux ans d’adversité, l’équipe nationale féminine du Canada règne sur le monde du hockey, plus forte encore de ses liens d’amitié que de ses exploits sur la glace

Bernadette Larose
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24 June 2022

La résilience, c’est réussir à se relever rapidement après les coups durs.

Toutes les grandes équipes se heurtent à des obstacles sur le chemin de la gloire, mais rares sont celles qui les surmontent avec autant d’aisance que l’équipe nationale féminine du Canada.

Qu’importe la pandémie, les annulations, le confinement et tout le reste, l’équipe canadienne 2021-2022 s’est redressée encore et encore, résolue à atteindre les sommets à sa façon.

Après une saison interrompue par la COVID-19, 2021 annonçait un retour à la normale avec le Championnat mondial féminin de l’IIHF, qui devait avoir lieu en avril à Halifax et Truro – mais coup de théâtre! Le gouvernement néo-écossais a retiré son appui à l’évènement deux semaines avant que la rondelle ne touche la glace, citant une recrudescence pandémique.

« Nous étions préparées à jouer jusqu’au dernier moment », se remémore Blayre Turnbull. Ayant grandi à Stellarton, elle était l’une des deux Néo-Écossaises de l’équipe. « Alors évidemment, la déception était à son comble, mais je crois que nous en sommes sorties encore plus soudées de cette épreuve. Nous nous sentions d’autant plus chanceuses de pouvoir participer aux camps et aux tournois qui nous attendaient, et de passer du temps à jouer ensemble. »

Leur capacité d’adaptation et leur ouverture d’esprit leur ont permis de tirer leur épingle du jeu pendant la bulle l’été dernier, alors que le Mondial féminin se dessinait pour août, à Calgary. Loin des partisans et de leurs proches, elles se sont rapprochées entre elles, tandis que leurs efforts sur la glace commençaient à payer.

Sarah Fillier, qui a terminé son premier championnat mondial avec trois buts et trois aides, se souvient de l’adaptation aux gradins vides : « Quand on a la chance de porter ce chandail, on pense à nos proches qui nous regarderont jouer sur la scène internationale.

« Notre équipe s’est transformée en famille, et nous nous sommes efforcées de nous habituer à cette situation inédite. Heureusement, nous étions vraiment complices. »

Le Canada n’avait pas remporté le Mondial féminin depuis 2012. Les États-Unis avaient décroché le titre les cinq années précédentes, dont quatre fois aux dépens des Canadiennes. Animée par la rage de vaincre, Équipe Canada avait juré de leur reprendre le trône en gagnant à domicile.

Les Canadiennes ont gagné notre cœur à Calgary avec 34 buts en sept matchs et autant de victoires. L’esprit d’équipe et la fébrilité pour la reprise du hockey féminin étaient au rendez-vous. Sourires, embrassades et célébrations de buts ponctuaient des victoires clairement méritées : 5-1 contre la Russie, 5-0 contre la Suisse et 5-1 contre les États-Unis (le triomphe le plus éclatant du Canada depuis 2017 contre son grand rival).

Elles ont toutefois gardé le meilleur pour la fin. Particulièrement serré, le match pour la médaille d’or s’est conclu en prolongation, le Canada comblant d’abord un retard de deux buts accusé tôt dans la rencontre. L’issue de ce duel a été décidée par deux des joueuses les plus chevronnées qui ont uni leurs efforts pour clore le débat.

Fortes d’une expérience combinée de 25 ans au sein d’Équipe Canada, Brianne Jenner et Marie-Philip Poulin ont foncé, pendant un 3 contre 3. Un tandem qui avait maintes fois fait ses preuves.

La suite est bien connue.

Ce moment historique allait bien au-delà de la médaille d’or. Il a marqué le retour au hockey, pas seulement pour Équipe Canada, mais aussi pour tous nos compatriotes qui s’apprêtaient à remettre les patins dans les semaines suivantes, après une saison 2020-2021 perdue en quelque sorte.

Ce titre mondial n’était que le commencement. Médailles d’or au cou, les filles n’ont pris qu’une semaine pour célébrer leur victoire, les yeux tout de suite rivés sur leur prochain objectif : remporter les Jeux olympiques d’hiver de 2022.

« Je pense que tout le monde s’est réjoui de pouvoir sortir de la pandémie et participer au Mondial. C’était une chance extraordinaire, s’exprime l’entraîneur-chef Troy Ryan. Mais voir nos efforts d’adaptation et le travail acharné des joueuses récompensé comme ça… nous savions qu’elles allaient garder la même énergie jusqu’aux Jeux olympiques. »

Avec tous les obstacles qu’il restait à franchir, l’engagement de l’équipe était vital. Le stress qu’engendre la pandémie et la formation d’une équipe olympique peuvent décourager les plus aguerries.

Nous avons enchaîné les téléconférences et les messages de groupe, autant de conversations sur les priorités de l’équipe et sur la manière de profiter au mieux du camp d’entraînement et du confinement à l’hôtel. Nous voulions vraiment préserver l’enthousiasme des joueuses et faire savoir à tout le monde que nous étions prêtes à jouer et à gagner en dépit des difficultés, raconte Turnbull. Et je crois qu’au moment où nous avons lacé les patins, nous étions convaincues d’être inarrêtables.

La saison a commencé en septembre, avec la centralisation de 29 athlètes à Calgary. Les filles ont affronté des équipes de la Ligue de hockey de la Colombie-Britannique et de la Ligue de hockey junior de l’Alberta, de même que les États-Unis dans le cadre de la Série de la rivalité. Elles sont aussi parties jouer une série de trois matchs contre la Finlande pour se préparer en vue des Jeux.

« Nous nous sommes tellement déplacées pour jouer… c’est beaucoup de fatigue », explique Turnbull, qui a manqué le début de la saison à cause d’une blessure à la cheville subie dans l’empilade après le but décisif de Poulin en prolongation lors du championnat mondial. « Nous sommes parties de Calgary vers la Finlande, puis à Toronto et à Kingston, et enfin à Ottawa. Nous avons passé une bonne partie de la saison en déplacement. »

Ces voyages les ont d’autant plus mises à risque de contracter la COVID-19, sans parler des affrontements rapprochés et du stress lié aux libérations au sein de la formation de la centralisation en vue des Jeux de Beijing.

Pour Poulin, le mérite revient principalement à la directrice des activités hockey Gina Kingsbury et à la Dre Tina Atkinson, la médecin de l’équipe, qui s’est occupée de la logistique sanitaire pendant que l’équipe se concentrait sur la rondelle. « Franchement, je ne sais pas si elles ont réussi à dormir l’année dernière!, compatit Poulin. Travailler avec Gina et la Doc était fantastique. Elles nous tenaient au courant de ce qui se passait, toujours en contrôle de la situation. Notre groupe était vraiment adaptable et résilient. »

La pandémie réservait encore une mauvaise surprise à l’équipe. Un peu plus d’un mois avant le départ pour Beijing, elle a dû écourter son voyage aux États-Unis de fin décembre et annuler la dernière étape de la Série de la rivalité, au moment où la composition finale de la formation olympique devait être annoncée.

« Les derniers jours de l’année ont probablement été les plus stressants, après la sélection de l’équipe, se remémore Turnbull. Nous nous entraînions à Calgary en janvier, en espérant arriver en équipe aux Jeux de Beijing, mais nous savions à quel point les trois à quatre semaines qui nous attendaient seraient difficiles. »

Après quelques semaines d’entraînement supplémentaires à huis clos à Calgary, parfois le masque au visage (une habitude qui a bien servi les joueuses contre le Comité olympique russe à Beijing), les 23 athlètes olympiques (dont dix allaient participer à leurs premiers Jeux olympiques) se sont envolées pour la Chine avec une mission en tête : une deuxième médaille d’or.

L’équipe qui avait brillé à Calgary en a remis à Beijing.

Une fois de plus, le Canada n’a subi aucun revers. À ses premiers Jeux olympiques, Claire Thompson a établi un nouveau record olympique de points marqués par une défenseure. Sarah Nurse, elle, a battu le record du nombre d’aides et celui du nombre de points en une édition des Jeux olympiques.

« Ce que nous avons adoré, c’est que même si on savait qu’on allait compter des buts, on ne pouvait jamais prédire qui allait les marquer », confie Ryan, entraîneur adjoint de l’équipe de 2018, qui avait obtenu la médaille d’argent. « Même chose en défense. Jocelyne Larocque et Renata Fast n’étaient pas les seules à s’imposer. C’était une affaire d’équipe.

« Des joueuses ont battu des records individuels, et on aurait dit qu’elles s’en rendaient à peine compte. Elles ne se sont pas laissées distraire. Une tape dans la main, un sourire en coin et c’est reparti. J’ai trouvé ça génial. »

Une fois de plus, le destin a décidé que le Canada disputerait la médaille d’or contre son rival de toujours.

Nurse et Poulin ont marqué en première période, puis Poulin a remis ça au milieu du deuxième engagement. Et malgré un effort désespéré en fin de partie, les Américaines n’ont pu renverser la vapeur. Poulin a marqué le but décisif de cette cinquième conquête de l’or au cours des six dernières finales, devenant ainsi la première personne de l’histoire du hockey (masculin et féminin) à marquer dans quatre finales olympiques consécutives.


« Je me souviens que j’étais sur le banc à faire le décompte, et que je me suis immédiatement mise à pleurer quand le match s’est terminé, se remémore Fillier. J’étais sans voix pendant au moins 24 heures, incapable de dire comment cette médaille d’or m’était arrivée dans les mains. »

L’explosion de pleurs et d’embrassades ne venait pas célébrer qu’une victoire olympique de plus, mais tous les obstacles que l’équipe a dû surmonter pour y arriver, les efforts enfin récompensés.

« C’est la meilleure équipe de hockey dont j’ai fait partie dans ma vie, affirme Turnbull. Et je ne parle même pas des nouveaux records que nous avons établis à Beijing. Je parle juste du nombre incroyable de souvenirs en commun avec mes coéquipières et l’équipe au grand complet. »

Entre la rotation du personnel, les nouvelles formations, les annulations et la pandémie, l’équipe nationale féminine du Canada a navigué une période des plus difficiles, remportant malgré tout les plus prestigieux honneurs du hockey. À sa façon.


« Nous avons commencé à faire les choses à notre façon, et nous avons continué sur cette lancée, confie Poulin. Nous sommes restées soudées. Les filles et moi n’avons eu qu’à faire confiance au plan des entraîneurs et de la DG. Suivre leurs directions, faire de notre mieux, rester résilientes, se donner à fond… sans oublier d’avoir du plaisir! »

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Marie-Philip Poulin, Ann-Renée Desbiens & Mélodie Daoust

Un début d’année faste pour le Québec au hockey

En ce jour de Fête nationale du Québec, soulignons quelques moments de personnalités québécoises gravitant dans le monde du hockey qui ont marqué la première moitié de l’année 2022

François Lafleur
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24 June 2022

Bonne Saint-Jean tout le monde!

Avant ou après une bonne poutine au dîner et les feux d’artifice en soirée, prenons le temps aujourd’hui pour revenir sur des exploits accomplis par des personnalités québécoises qui ont brillé à l’échelle provinciale, nationale ou internationale depuis le début de l’année!

ÉQUIPE NATIONALE FÉMININE

Commençons par l’équipe qui a ramené l’une des quatre médailles d’or aux Jeux olympiques d’hiver de 2022 à Beijing. Marie-Philip Poulin a de nouveau mené la charge en inscrivant six buts et 11 passes en sept parties, dont une performance de trois points lors du match pour la médaille d’or face aux États-Unis. Notons aussi la superbe tenue d’Ann-Renée Desbiens devant le filet, comme en témoignent sa moyenne de buts alloués de 1,80 et son pourcentage d’arrêts de 0,940 en cinq rencontres.

Quelques mois plus tôt, Mélodie Daoust a mené le Canada vers un 11 e titre au Championnat mondial féminin en obtenant six buts et autant de mentions d’aide en sept parties. En plus d’être sélectionnée à l’équipe d’étoiles du tournoi, Daoust a aussi été nommée Joueuse par excellence de la compétition.

Plus récemment, Alexia Aubin et Karel Préfontaine ont contribué à la conquête de la médaille d’or au Championnat mondial féminin des M18. Aubin a terminé à égalité au premier rang des meilleures pointeuses de son équipe avec cinq points, tandis que Préfontaine en a obtenu quatre.

ÉQUIPE NATIONALE MASCULINE

En ce qui concerne l’équipe qui a participé au Championnat mondial masculin présenté en Finlande, elle était menée par Thomas Chabot qui avait été nommé capitaine de la formation. Pierre-Luc Dubois, l’un des capitaines adjoints, a conclu le tournoi parmi les meilleurs pointeurs grâce à ses sept buts et six passes.

À Beijing, lors des Jeux olympiques, Maxim Noreau et David Desharnais ont été des éléments clés de la formation canadienne. Noreau a terminé la compétition avec une récolte d’un but et trois mentions d’aide , alors que Desharnais a obtenu une passe.

ÉQUIPE NATIONALE PARALYMPIQUE

Lors du tournoi de parahockey aux Jeux paralympiques, Antoine Lehoux a obtenu une mention d’aide. Le joueur de 28 ans en était à une première participation aux Jeux puisqu’il n’avait pas été sélectionné en 2018.

Dominic Larocque a obtenu deux jeux blancs - dont un partagé - en quatre rencontres. Il s’agissait d’une la troisième présence aux Jeux paralympiques pour le gardien de but.

CHAMPIONNATS NATIONAUX

À la Coupe TELUS, les Cantonniers de Magog se sont rendus jusqu’en finale du tournoi à Okotoks, en Alberta . Tirant de l’arrière par deux buts contre les Flyers de Moncton dans les dernières minutes du match, la formation du Québec est parvenue à créer l’égalité alors qu’il ne restait que quelques secondes à jouer au temps réglementaire. La prolongation s’est toutefois soldée par un revers pour les hommes de Stéphane Robidas.

Du côté de la Coupe du Centenaire, présentée par Tim Hortons, le Collège Français de Longueuil a accédé aux demi-finales avant de s’incliner face aux Bandits de Brooks qui allaient éventuellement remporter les grands honneurs de ce tournoi de hockey junior A, qui a eu lieu à Estevan, en Saskatchewan.

Enfin, les Remparts du Richelieu ont représenté le Québec à la Coupe Esso . La formation n’a toutefois pas été en mesure de se qualifier pour le tour éliminatoire.

LAURÉATS ET LAURÉATES DE TROPHÉES

Plusieurs personnalités québécoises ont été récompensées pour leurs efforts dans le monde du hockey.

Pierre Verville a remporté le prix du Bénévole de l’année après avoir été un administrateur à la Fédération québécoise de hockey sur glace (FQHG) pendant plus de 50 ans.

Joël Bouchard s’est vu décerner le prix Gordon-Juckes remis à une personne qui a contribué de façon marquée au développement du hockey amateur au Canada, à l’échelle nationale.

Mélodie Daoust a remporté le prix Isobel-Gathorne-Hardy qui récompense une personne qui s’est démarquée par son engagement, son leadership, sa participation communautaire et sa promotion des valeurs du hockey féminin.

N’oublions pas non plus Patrice Bergeron qui a mis la main sur le trophée Frank-J-Selke pour la cinquième fois de sa carrière, ce qui constitue un record. Cet honneur est remis annuellement au meilleur attaquant défensif de la LNH.

OFFICIELS ET OFFICIELLES

Élizabeth Mantha est devenue la première femme à arbitrer un match de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) le 26 février dernier. Quelques mois plus tôt, l’arbitre de 31 ans avait fait partie d’un groupe de 10 femmes qui ont été affectées à des matchs de la Ligue américaine de hockey (AHL). Au cours de sa saison, Mantha s’est aussi rendue aux Jeux olympiques d’hiver et a d’ailleurs été nommée l’une des deux arbitres en vue du match pour la médaille de bronze.

Olivier Gouin a pris part à ses deuxièmes Jeux en tant qu’arbitre, se rendant lui aussi jusqu’au match pour la médaille de bronze.

UNE PORTION D’UN MATCH MONDIAL EN SOL QUÉBÉCOIS

Le 6 mars dernier, du côté de la Place Bell à Laval, a eu lieu le volet canadien du Match mondial de hockey féminin . La rencontre a opposé les Remparts du Richelieu aux Amazones de Laval-Montréal et s’est terminée par un verdict nul de 4 à 4.

HOMMAGE À DEUX LÉGENDES

Enfin, il était impossible de ne pas revenir sur le décès de deux grands joueurs québécois.

Le 15 avril, Mike Bossy s’est éteint à l’âge de 65 ans. Il a contribué aux quatre conquêtes consécutives de la coupe Stanley par les Islanders de New York dans les années 1980. L’ailier droit originaire de Montréal est le seul joueur dans l’histoire de la LNH à avoir marqué 50 buts lors de neuf saisons de suite. Bossy a aussi représenté le Canada à deux reprises, soit aux éditions 1981 et 1984 de la Coupe Canada. Il y a accumulé 13 buts et 7 aides en 15 matchs. Bossy a été intronisé au Temple de la renommée du hockey en 1991 avant d’être nommé parmi les 100 plus grands joueurs de la LNH en marge des célébrations du Centenaire de la ligue en 2017.

Guy Lafleur a rendu l’âme à l’âge de 70 ans une semaine après le décès de Bossy . Il a remporté la coupe Stanley à cinq occasions avec les Canadiens de Montréal avant de conclure sa carrière avec les Rangers de New York et les Nordiques de Québec. Natif de Thurso, il est devenu le premier joueur dans l’histoire de la LNH à récolter 50 buts et 100 points lors de six saisons consécutives. Lafleur a fait partie des équipes canadiennes à la Coupe Canada en 1976 et 1981, de même qu’au Championnat mondial de 1981. Il y a totalisé quatre buts et 14 mentions d’aide en 21 rencontres. Après sa première retraite, le Temple de la renommée du hockey lui a ouvert ses portes en 1988 et, tout comme Bossy, il figure parmi les 100 plus grands joueurs de la LNH.

Quel début d’année pour les personnalités du hockey québécois ! Les prochains mois seront tout aussi plaisants à suivre.

Profitez du beau temps, et bonne Fête nationale!

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Tour d’horizon du tournoi paralympique : États-Unis 5, Canada 0

Larocque a fait 15 arrêts dans un revers du Canada contre les États-Unis au match pour l’or à Beijing

13 March 2022

STATISTIQUES DU MATCH | BLOGUE EN DIRECT

BEIJING, Chine L’équipe de hockey paralympique du Canada a dû se contenter de la médaille d’argent aux Jeux paralympiques d’hiver de 2022 après une défaite de 5-0 contre les États-Unis dimanche.

• Liam Hickey (St. John’s, T.-N.-L.) est le patineur canadien qui a obtenu le plus de tirs au but (quatre) et le plus de temps de glace (35 min 1 s).
• Billy Bridges (Summerside, Î.-P.-É.) et Greg Westlake (Oakville, Ont.) ont chacun décoché deux tirs au but.
• Dominic Larocque (Québec, Qc) a effectué 15 arrêts.
Les États-Unis ont dominé le Canada 20-16 au chapitre des tirs au but.
Le capitaine Tyler McGregor (Forest, Ont.) est le meilleur pointeur du Canada et se classe au huitième rang des pointeurs du tournoi avec huit points (5-3—8).
• Adam Dixon (Midland, Ont.) est le meneur des siens au chapitre du temps de glace moyen (26 min 34 s), du différentiel (+6) et des mentions d’aide (cinq) pour le tournoi.

Citations :
« Je suis très fier de notre équipe et de notre personnel. Je suis fier du travail des 17 joueurs de notre formation, et je suis reconnaissant envers tous les partisans du Canada qui nous ont appuyés à Beijing et à la maison. C’est une défaite amère, mais nous pouvons adopter une perspective d’ensemble et reconnaître le processus et les sacrifices que nous avons faits pour pouvoir être ici et représenter notre pays. Après tout, nous avons joué avec intensité et avons fourni notre plus bel effort, mais le résultat n’a pas été en notre faveur aujourd’hui. »
- L’entraîneur-chef Ken Babey (Calgary, Alb.) concernant le match pour la médaille d’or

« C’est toujours difficile de perdre à un match pour la médaille d’or. Après tout ce que notre équipe a traversé ces quatre dernières années, et surtout les deux dernières, nous n’avons jamais cessé de nous faire confiance mutuellement. Je ne pourrais être plus fier de chacun des joueurs de notre groupe et des membres de notre personnel pour tous les efforts que nous avons consentis pour nous rendre jusqu’ici. C’est difficile de rater notre objectif de médaille d’or paralympique, mais nous devons garder la tête haute et être fiers de la façon dont nous avons joué pour le Canada et représenté notre pays. »
- McGregor à propos de la confiance au sein de son équipe

« C’est un honneur de porter la feuille d’érable, et même si nous n’avons pas décroché l’or aujourd’hui, je n’ai que de bons mots à dire concernant cette équipe et notre progression ces quatre dernières années. Nous avons parcouru un chemin incroyable pour arriver jusqu’ici, et chaque membre de notre équipe mérite pleinement cette médaille. Ce n’est peut-être pas celle que nous visions, mais nous pouvons tous être fiers de notre contribution, sur la glace comme ailleurs. Je suis très fier de notre équipe. »
- Westlake sur le fait de gagner l’argent

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Laisser un héritage et passer le flambeau

Après avoir représenté son pays pendant 19 ans, le parahockeyeur vétéran Greg Westlake prendra sa retraite à la fin des Jeux de 2022, mais sa passion et son travail pour faire connaître son sport demeureront bien vivants

Shannon Coulter
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11 March 2022

En raison de l’horaire d’entraînement intensif et de l’attention tournée vers la quête de la médaille d’or, les petits moments que vivent les athlètes dans leur parcours vers les Jeux paralympiques se perdent parfois dans un brouillard effervescent.

Mais Greg Westlake, qui participe à ses cinquièmes Jeux paralympiques d’hiver, prend le temps de savourer chaque instant. En effet, le vétéran, qui fait partie de l’équipe nationale de parahockey du Canada depuis 19 ans, a annoncé qu’il prendrait sa retraite à la fin des Jeux de Beijing 2022.

« Je suis vraiment content d’avoir déjà annoncé que ce seront mes derniers Jeux », exprime Westlake. « Ça m’a en quelque sorte libéré, je sens que je peux profiter de toutes les petites choses. »

Ce n’est que quelques jours avant le départ de l’équipe de hockey paralympique du Canada pour Beijing que Westlake a réellement pris conscience que la fin de sa carrière approchait. Au terme du dernier entraînement de l’équipe à Calgary, le joueur de 35 ans a été saisi par l’importance du moment tandis qu’il était dans le vestiaire.

« C’était mon dernier temps de glace au Canada. L’entraînement terminé, j’étais assis là à me demander quand je jouerais à nouveau au Canada. »

Les Jeux de Beijing 2022 couronnent un parcours remarquable avec Équipe Canada. Westlake s’est joint au programme de parahockey en 2003 et a joué comme gardien de but, défenseur et avant. Il a remporté l’or à ses premiers Jeux paralympiques en 2006 et a gagné depuis deux autres médailles paralympiques : le bronze en 2014 et l’argent en 2018.

Au début de la saison 2010-2011, Westlake a été nommé capitaine, rôle qu’il a occupé pendant huit ans. Au Championnat mondial de parahockey du CIP, il a décroché trois médailles d’or (2008, 2013, 2017), deux d’argent (2015, 2019) et deux de bronze (2009, 2012).

Outre ces honneurs, Westlake a aussi été choisi comme porte-drapeau du pays à la tête d’Équipe Canada pour la cérémonie d’ouverture des Jeux de Beijing 2022. Son objectif de gagner l’or à son ultime tournoi est bien clair, mais il espère aussi vivre les Jeux comme le font ses jeunes coéquipiers.

« Je veux faire l’expérience des Jeux avec les yeux de quelqu’un d’autre, d’une personne qui défile pour la première fois à la cérémonie d’ouverture. Je trouve ça vraiment amusant et inspirant, quand les jeunes de 19 ou 20 ans me demandent si la cérémonie d’ouverture m’emballe. On voit leurs yeux briller, et ça nous rajeunit. On a l’impression que c’est la première fois à nouveau, et ça me rend vraiment fébrile. »

En tant que membre de l’équipe nationale pendant près de 20 ans, le joueur originaire d’Oakville, en Ontario, a côtoyé de nombreux joueurs de parahockey. Au fil de l’évolution de l’équipe, son style de leadership auprès de ses coéquipiers s’est lui aussi transformé. Westlake raconte qu’il était, au départ, plutôt fougueux et plein d’énergie, mais qu’il adopte maintenant une approche plus calme. Il préfère aller prendre un café pour jaser et prodiguer ses conseils.

« Toutes les équipes sont différentes. Elles ont chacune une dynamique particulière, de nouveaux besoins et de nouveaux impératifs pour connaître du succès. Il faut se faire caméléon, être capable de se fondre parmi les autres, là où ça compte le plus, et assumer le rôle au meilleur de ses capacités. C’est ce que je m’efforce de faire. »

Pour les joueurs plus jeunes, comme Branden Sison et Anton Jacobs-Webb, pour qui Westlake est un modèle, jouer dans la même équipe que lui est vraiment stimulant.

« J’ai du mal à y croire, bien honnêtement », affirme Sison, qui a été inspiré en regardant Westlake à la télé aux Jeux paralympiques de 2010 à Vancouver. « On ne s’imagine jamais, en voyant un gars à la télé, qu’on aura un jour la chance de jouer sur le même trio que lui ou ensemble à la défensive. C’est un joueur absolument phénoménal. »

À l’adolescence, Jacobs-Webb a rencontré Westlake à la Cruisers Cup de Brampton, en Ontario. Après ses matchs de la division junior, il a regardé Westlake compétitionner au sein de la division élite et est resté après le match pour lui demander d’autographier une paire de gants et de prendre une photo avec lui.

« C’était un grand moment, j’étais pas mal nerveux », affirme Jacobs-Webb « Mes parents m’ont poussé à aller lui parler, même si je ne voulais pas vraiment. Avec le recul, je suis bien content de l’avoir fait. »

« Il était gêné », se remémore Westlake. « Ce que j’ai aimé de ma rencontre avec lui, c’est qu’il était un amateur de parahockey, il savait même qui j’étais. »

Ses coéquipiers ont fait bien du chemin depuis, mais l’influence de Westlake sur Jacobs-Webb, qui, enfant, rêvait de porter la feuille d’érable, est encore présente à ce jour.

« Nous sommes coéquipiers et jouons ensemble depuis quatre ans, mais il y a encore une partie de moi qui n’y croit pas encore », confie Jacobs-Webb. « Je veux dire, c’est Greg. J’ai regardé pas mal toutes ses vidéos sur YouTube. C’est une vedette, et c’est incroyable de pouvoir jouer avec lui. »


Sur la glace, Westlake est connu pour son esprit compétitif et combatif et la façon dont il lutte pour la rondelle. Sa capacité à s’adapter au fil des ans le distingue aussi aux yeux de ses coéquipiers.

« Je le compare à LeBron James; il connaît bien le sport et modifie son approche au fil des ans pour s’adapter à notre nouveau style de jeu », déclare Sison. « C’est beaucoup plus rapide de nos jours. Il a été en mesure de suivre la cadence et de s’adapter. Il est aussi passé de la défensive à l’avant, c’est un joueur très polyvalent. »

L’équipe de hockey paralympique du Canada se caractérise par un heureux mélange de vétérans et de recrues – Sison et Jacobs-Webb sont deux des sept joueurs qui participent à leurs premiers Jeux paralympiques à Beijing. Quand un vétéran comme Westlake ferme les livres sur sa carrière au parahockey, son départ symbolise le passage du flambeau à la prochaine génération.

« Je ne suis pas prêt à faire mes adieux aux vétérans, car ils sont si importants pour nous et pour l’équipe. Mais la prochaine génération s’en vient, et nous sommes plutôt solides », résume Sison. « Je crois qu’ils seront fiers de la direction que prendra l’équipe nationale. Ils la laissent en bonnes mains et pourront se réjouir de ce que nous allons accomplir dans l’avenir. »

« Je trouve que c’est une excellente occasion pour nous », ajoute Jacobs-Webb. « On bénéficie de leur mentorat, on suit leur leadership et on apprend beaucoup d’eux. Quand ils partiront, nous serons en bonne posture. Nous avons un bon noyau. »

Quant à Westlake, il a déjà assisté à de nombreuses avancées au parahockey depuis qu’il a commencé à jouer. Ces vingt dernières années, il a été heureux de constater l’augmentation du nombre d’athlètes pouvant subvenir à leurs besoins en jouant au parahockey.

« La plus grande différence que je constate, c’est que de plus en plus de gars sont en mesure de gagner leur vie comme athlètes en représentant leur pays et en s’entraînant à temps plein. Par le passé, c’était simplement impossible. Quand chacun des membres de l’équipe pourra le faire, ce sera formidable. »

Westlake aimerait également que le parahockey gagne en visibilité et rejoigne un plus grand public afin de favoriser l’essor de ce sport.

« Je peux seulement vous parler de mon expérience, je ne peux pas parler pour les autres. Mais enfant, avec mes deux jambes artificielles, je n’ai jamais vu personne à la télévision qui était comme moi. Je n’ai jamais vu quelqu’un qui me ressemblait assumer un rôle important au hockey. C’était difficile pour moi de nourrir ces objectifs et ambitions au hockey, car je ne savais tout simplement pas que c’était possible. »

« Quand je me projette 10 ou 15 ans en avant, je vois plus de matchs de parahockey à la télévision plutôt qu’un seul par année. Je vois une meilleure connaissance de notre sport, une meilleure représentation. »

Pour le moment, Westlake aspire à finir sa carrière avec l’or à Beijing. Mais lorsque les Jeux paralympiques prendront fin et que sa carrière de joueur s’arrêtera, il espère continuer à évoluer dans le monde du hockey.

« J’ignore quelle forme ça prendra, mais je m’intéresse beaucoup au développement des joueurs, au dépistage. J’aime tout cet aspect gestion du sport. Et tant qu’il s’agit de ce programme, je suis prêt à m’impliquer, peu importe comment ou quand. Sans hésitation. »

La conclusion de son parcours dans l’uniforme canadien approche, mais sa contribution au parahockey et sa passion pour son sport demeureront bien vivantes.

« J’adore le parahockey. J’adore l’équipe. C’est ma passion depuis que j’ai trois ans, et je suis ému quand j’en parle. J’espère que les gens savent que, quand ce n’était pas l’un des grands sports au monde, j’étais là à m’efforcer de faire la promotion du parahockey et de le faire progresser. »

« J’aime beaucoup le programme. J’espère que les gens le savent. »

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