Les 10 meilleures du championnat des M18 : Christina Kessler
Dix anciennes du championnat national des M18 se remémorent leur brillante performance
No 2 – Christina Kessler (Ontario Rouge, janvier 2005; novembre 2005)
Ses statistiques : 6-0-0, 0,33 MOY., 0,984 % ARR., 4 JB
Ses réalisations : Meilleure gardienne de but (novembre 2005); deux médailles d’or (janvier 2005, novembre 2005)
Son histoire : À ses deux participations, Kessler a gardé le but d’Ontario Rouge et aidé les siennes à remporter deux championnats tout en n’accordant qu’un seul but chaque fois. Elle occupe le premier rang de l’histoire du tournoi au chapitre des victoires et des jeux blancs et malgré le fait qu’elle a joué le cinquième plus grand nombre de minutes (360), elle a la meilleure moyenne de buts contre et le meilleur pourcentage d’arrêts parmi les gardiennes qui ont entrepris au moins un match. En novembre 2005, elle a joué pendant 171 min 52 s avant d’accorder un but, soit presque 30 minutes de plus que la gardienne au deuxième rang.
Dans ses propres mots : « La seule chose dont je me souviens, c’est qu’offensivement nos équipes étaient si fortes que cela ajoutait de la pression sur la gardienne qui devait s’assurer que chaque arrêt était effectué et que les rebonds étaient contrôlés puisqu’elle était le pilier à l’arrière. »
« Ce fut bien personnellement de gagner ce dernier match [en novembre 2005, une victoire de 2-1 sur le Québec]. J’ai pu disputer un bon match pour appuyer l’équipe… au bout du compte, vous ne verrez pas beaucoup d’action en jouant pour Ontario Rouge. Dans ce tournoi, je n’ai pas eu l’impression de recevoir beaucoup de tirs. Cela a eu pour effet de faire en sorte que chaque tir était plus important que les autres. Les matchs serrés sont toujours un peu plus remarquables, surtout du point de vue de la gardienne, car la pression est un peu plus grande de rester dans le match. Chaque petite erreur compte. » [Kessler a réussi 36 arrêts et a été nommée Joueuse du match de son équipe.]
« À cette époque, j’apprenais l’aspect mental lié aux matchs et j’essayais de rester concentrée. Je n’affrontais pas beaucoup de tirs. [Le nombre de minutes de jeu blanc] était dû à plusieurs facteurs, mais surtout au fait de jouer pour une très bonne équipe. »
« À cette époque, nous n’avions pas d’Équipe Canada des moins de 18 ans; c’était donc le pinacle que l’on pouvait atteindre à cet âge. Ce fut bien d’être exposée à ça et ce fut très certainement une belle expérience d’apprentissage avant le hockey universitaire et ma participation avec Équipe Canada. »
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Jeremy Knight
Responsable, communications organisationnelles
Hockey Canada
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