Représenter fièrement ses pairs
Le Mondial junior 2022 mettra en lumière le lien étroit qui unit les gardiens de l’équipe nationale junior du Canada et les gardiennes de but de l’équipe nationale féminine du Canada
Un symbole. Deux équipes. Trois masques.
Les gardiens de but qui représenteront le pays au Championnat mondial junior 2022 de l’IIHF représenteront aussi leurs homologues de l’équipe nationale féminine du Canada grâce à de nouveaux masques créés dans le cadre du programme TOUS ENSEMBLE de Janes.
Que pensent les six portiers des masques et du fait de jouer pour Équipe Canada?
Que signifie pour vous le fait de figurer sur un masque au Mondial junior?
Kristen Campbell (KC) : Tous les jeunes du Canada regardent le Mondial junoir, c’est la tradition de hockey! Et le pays en entier se range derrière l’équipe, donc c’est un honneur de recevoir cette marque de reconnaissance et d’ainsi faire partie du tournoi de cette année.
Emerance Maschmeyer (EM) : L’année passée, ce sont six pionnières du hockey féminin qui étaient honorées sur les masques, donc c’est plutôt incroyable de faire partie de l’édition de cette année et d’avoir une place aux côtés de ces légendes.
Que signifie pour vous le fait de porter un masque honorant les gardiennes de l’équipe féminine?
Sebastian Cossa (SC) : Le hockey est pour tout le monde, peu importe le genre, donc c’est important de respecter le hockey féminin et de s’y intéresser.
Brett Brochu (BB) : Il faut reconnaître la qualité du hockey féminin. Les joueuses méritent beaucoup plus d’attention de la part des amateurs et des ligues professionnelles.
Dylan Garand (DG) : Les femmes jouent de l’excellent hockey et ont autant de talent que nous, donc c’est cool de pouvoir partager cette expérience avec elles et qu’elles puissent avoir cette vitrine.
Quel message souhaitez-vous que les jeunes joueurs et joueuses retirent de ces masques?
Ann-Renée Desbiens (AD) : On tente de promouvoir notre sport, et la plupart des familles canadiennes pendant les fêtes regarderont le Mondial junior, donc c’est une bonne façon de générer des conversations. Ça donne beaucoup de visibilité au hockey féminin, et c’est agréable d’avoir cet appui du hockey masculin.
EM : Le hockey masculin est beaucoup plus en vue que le hockey féminin, donc notre présence sur ces masques dans le cadre d’un tel tournoi revêt une grande importance pour toutes les jeunes filles qui regarderont le Mondial junior. Certaines jeunes filles ne savent peut-être même pas qu’il est possible pour elles de jouer à notre niveau.
KC: Peu importe si on a fait nos débuts au hockey masculin ou au hockey féminin, on a toutes atteint l’élite de notre sport. Ça montre qu’il est possible de paver sa propre voie et de finir par atteindre ses objectifs.
Quel est votre élément préféré du masque?
DG : Concevoir un masque est un processus unique et personnel. Comme ce n’est pas tellement mon truc, c’est plutôt cool de pouvoir porter un masque conçu par Emerance. Il y a des choses originales qui lui sont personnelles, comme la patinoire extérieure, que j’aime beaucoup.
SC : Je trouve que le sirop d’érable est un beau clin d’œil canadien, surtout qu’Ann-Renée vient du Québec. J’aime aussi le mot « Family » qui est souligné, car la famille est ce qu’il y a de plus important pour moi.
BB : Elles ont fait de l’excellent travail avec le masque, les images sont vraiment cool. J’aime la photo de Kristen. C’est sûrement assez spécial pour elle d’avoir un casque avec sa photo dessus.
Quarante-huit joueuses invitées au camp de septembre de l’équipe nationale féminine, présenté par BFL CANADA
Vingt et une championnes du monde parmi le groupe de joueuses qui commenceront la saison 2024-2025 à Thorold
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a dévoilé le nom de 48 des meilleures hockeyeuses au pays qui participeront au camp de septembre de l’équipe nationale féminine, présenté par BFL CANADA, du 9 au 15 septembre au Canada Games Park de Thorold, en Ontario.
Six gardiennes de but, 16 défenseures et 26 avants ont été choisies par la directrice générale Gina Kingsbury (Rouyn-Noranda, QC/Toronto, LPHF), la première responsable du développement des joueuses et du dépistage Cherie Piper (Scarborough, ON) et l’entraîneur-chef Troy Ryan (Spryfield, NS/Toronto, LPHF). Les entraîneuses adjointes Kori Cheverie (New Glasgow, NS/Montréal, LPHF), Caroline Ouellette (Montréal, QC/Université Concordia, RSEQ) et Britni Smith (Port Perry, ON/Université de Syracuse, CHA), de même que le consultant des gardiennes de but Brad Kirkwood (Calgary, AB/Toronto, LPHF), ont aussi contribué à la sélection.
« Il s’agit d’une occasion en or d’évaluer la profondeur de notre groupe de joueuses et de donner le ton en vue de la prochaine saison, a mentionné Kingsbury. Nous continuerons aussi à progresser et à forger notre identité collective au fil de notre préparation pour la Série de la rivalité jusqu’au prochain Championnat mondial féminin de l’IIHF qui sera présenté en avril en Tchéquie. »
La liste de joueuses en comprend 21 qui ont remporté la 13e médaille d’or du Canada au Championnat mondial féminin 2024 de l’IIHF (Ambrose, Bell, Bourbonnais, Campbell, Clark, Desbiens, Fast, Fillier, J. Gosling, N. Gosling, Jenner, Larocque, Maltais, Nurse, O’Neill, Poulin, Rattray, Serdachny, Shelton, Stacey, Turnbull).
Sept joueuses en seront à leur premier camp avec l'équipe nationale féminine (Amos, Cooper, Kraemer, Pais, Primerano, Watts, Woods).
Les athlètes seront divisées en deux équipes, soit les Rouges et les Blancs, et participeront à des entraînements, à des évaluations de la forme physique, ainsi qu’à deux matchs intraéquipes, les 12 et 14 septembre.
L’Université Brock accueillera une journée du hockey le 14 septembre, dont un duel entre les Rouges et les Blancs au Canada Games Park. Cliquez ici pour acheter vos billets. Les membres des médias qui souhaitent assister au camp doivent faire une demande d’accréditation ICI.
Hockey Canada a aussi annoncé le personnel de soutien qui travaillera avec l’équipe nationale féminine durant la saison 2024-2025 :
- L’entraîneur vidéo Andrew Boucher (Timmins, ON)
- La préparatrice physique Vicki Bendus (Wasaga Beach, ON/Montréal, LPHF)
- Les responsables de l'équipement Alana Goulden (Aurora, ON/Toronto, LPHF) et Blair Smook (Airdrie, AB)
- La médecin de l'équipe DreLaura Bennion (Vancouver, BC)
- Les thérapeutes Christine Atkins (Fort Macleod, AB) et Danielle McNally (Wolfville, NS)
- La massothérapeute Meagan Cowell (London, ON)
- La conseillère en performance mentale Sommer Christie (Montréal, QC)
- Le premier responsable des activités hockey Dylan Rockwell (Calgary, AB)
- La responsable des activités hockey Savannah Newton (Halifax, NS)
- La coordonnatrice des activités hockey Cassidy Wait (North Vancouver, BC)
- La responsable des relations avec les médias Esther Madziya (Lethbridge, AB)
Cliquez ici pour la liste complète du personnel de soutien au camp.
Après le camp de septembre, les joueuses se prépareront en vue de leur saison dans la LPHF et au hockey universitaire avant l’annonce de la formation qui prendra part à la première compétition internationale de l’année dans le cadre de la Série de la rivalité 2024-2025, qui commencera le 6 novembre à San Jose, en Californie.
Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et l’équipe nationale féminine du Canada, veuillez consulter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux Facebook, X et Instagram.
163 joueurs invités aux camps estivaux du Programme d’excellence du Canada
Des espoirs pour les volets junior, M18 et M17 seront en action en juillet
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a invité 163 joueurs à ses camps estivaux du Programme d’excellence – la vitrine estivale de l’équipe nationale junior du Canada, le camp de sélection de l’équipe nationale masculine estivale des moins de 18 ans du Canada et le camp national de développement des moins de 17 ans du Canada. « Nous sommes emballés par l’occasion de tenir des camps estivaux de notre Programme d’excellence cette année et d’obtenir des renseignements précieux sur le développement de nos athlètes de la relève », a déclaré Scott Salmond (Creston, BC), premier vice-président de la haute performance et des activités hockey. « Ces athlètes se familiariseront avec les activités de notre programme avant le Défi mondial des M17 2024, la Coupe Hlinka-Gretzky 2024 et le très attendu Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF à Ottawa. » Au total, 42 joueurs – 4 gardiens de but, 13 défenseurs et 25 avants – ont été invités à la vitrine estivale de l’équipe nationale junior du Canada, qui se tiendra du 28 juillet au 3 août au WFCU Centre de Windsor, en Ontario, et au sud de la frontière, soit à Plymouth, au Michigan. La formation au camp comprend 38 joueurs qui ont été repêchés dans la LNH, dont 17 choix de première ronde : Colby Barlow (WPG), Cole Beaudoin (UHC), Oliver Bonk (PHI), Berkly Catton (SEA), Easton Cowan (TOR), Sam Dickinson (SJS), Tij Iginla (UHC), Cayden Lindstrom (CBJ), Jett Luchanko (PHI), Tanner Molendyk (NSH), Bradly Nadeau (CAR), Zayne Parekh (CGY), Calum Ritchie (COL), Beckett Sennecke (ANA), Matthew Wood (NSH), Brayden Yager (PIT) et Carter Yakemchuk (OTT). Le processus de sélection a été mené par Salmond et le groupe de gestion, qui comprend Peter Anholt (Naicam, SK/Lethbridge, WHL) et Brent Seabrook (Tsawwassen, BC), avec l’aide du premier responsable des activités hockey Benoit Roy (Sudbury, ON). L’entraîneur-chef Dave Cameron (Kinkora, PE/Ottawa, OHL) et les entraîneurs adjoints Sylvain Favreau (Orléans, ON/Drummondville, LHJMQ), Mike Johnston (Dartmouth, NS/Portland, WHL) et Chris Lazary (Toronto, ON/Saginaw, OHL) ont également contribué au processus. Au camp de sélection de l’équipe nationale masculine estivale des moins de 18 ans du Canada, 41 joueurs – 4 gardiens de but, 12 défenseurs et 25 avants – seront en compétition pour avoir l’occasion de représenter le pays à la Coupe Hlinka-Gretzky 2024 du 5 au 10 août, à Edmonton, en Alberta. Le camp de sélection aura lieu du 27 au 30 juillet au WinSport Event Centre de Calgary. Deux matchs entre les Rouges et les Blancs sont prévus les 29 et 30 juillet. La liste des joueurs invités comprend cinq médaillés d’or au Championnat mondial des M18 2024 de l’IIHF (Desnoyers, Hamilton, Ivankovic, McKenna, Schaefer). Le dépisteur en chef Byron Bonora (Brooks, AB) a dirigé le processus de sélection des joueurs, avec l’appui de Salmond. Le responsable du groupe de gestion du Programme d’excellence Dave Brown (Niagara-on-the-Lake, ON/Erie, OHL), l’entraîneur-chef Kris Mallette (Kelowna, BC/Kelowna, WHL) de même que les entraîneurs adjoints Gordie Dwyer (Dalhousie, NB/Acadie-Bathurst, LHJMQ) et Ryan Oulahen (Newmarket, ON/North Bay, OHL) ont également contribué à la sélection. 80 joueurs – 8 gardiens de but, 24 défenseurs et 48 avants – participeront au camp national de développement des moins de 17 ans du Canada, qui se déroulera du 18 au 24 juillet aux Joshua's Creek Arenas à Oakville, en Ontario. Les 80 ont été repêchés par un club de la Ligue canadienne de hockey (39 de l’OHL, 23 de la WHL et 18 de la LHJMQ). Un total de 17 hockeyeurs ont représenté le pays lors des Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver 2024 (Beites, Chartrand, Croskery, Di Iorio, Edwards, Ellsworth, Esler, Lawrence, Lin, O’Donnell, Preston, Liam Ruck, Markus Ruck, Rudolph, Valentini, Verhoeff, Wassilyn). Bonora a mené le processus de sélection avec l’aide des dépisteurs régionaux Pierre Cholette (Québec), Rob Simpson (Ontario), Darren Sutherland (Atlantique) et Darrell Woodley (Ontario), de même que des représentants des membres. L’évaluation des joueurs se poursuivra lors du début de la saison 2024-2025 en préparation pour le Défi mondial des M17 2024, qui se tiendra du 1er au 9 novembre à Sarnia, en Ontario. Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et le Programme d’excellence, veuillez consulter le site HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux sur Facebook, X et Instagram.
Annonce de l’horaire 2024-2025 de la Série de la rivalité
La série de cinq matchs fera escale au Canada à Halifax et à Summerside
CALGARY, Alberta– Hockey Canada, en partenariat avec USA Hockey, a annoncé le retour de la Série de la rivalité opposant l’équipe nationale féminine du Canada aux États-Unis pour la saison 2024-2025. Deux affrontements sont prévus au Canada atlantique.
Au total, cinq matchs sont au programme de la Série de la rivalité 2024-2025, dont un en Nouvelle-Écosse et un à l’Île-du-Prince-Édouard en février. Le premier arrêt au nord de la frontière se fera le jeudi 6 février à 19 h HA au Scotiabank Centre, domicile des Mooseheads de Halifax dans la Ligue de hockey junior Maritimes Québec (LHJMQ). Les équipes se rendront ensuite à Summerside, à l’Île-du-Prince-Édouard, et croiseront le fer à la Credit Union Place, domicile des Western Capitals de Summerside dans la Ligue de hockey des Maritimes (MHL), le samedi 8 février à 19 h HA.
« Nous avons le grand plaisir de travailler une fois de plus en collaboration avec USA Hockey pour la présentation de la Série de la rivalité, et d’offrir à l’élite du hockey féminin au Canada et aux États-Unis l’occasion de montrer toute l’étendue de son talent à Halifax et à Summerside », a commenté Katherine Henderson (Thunder Bay, ON), présidente et chef de la direction à Hockey Canada. « La série s’est établie, depuis 2018, comme un événement à ne pas manquer pour l’ensemble des amateurs et amatrices aux quatre coins du pays, et joue un rôle déterminant pour l’essor du hockey féminin partout en Amérique du Nord. Nous sommes heureux de présenter cinq duels qui s’annoncent encore une fois des plus enlevants, et nous nous réjouissons à l’idée de laisser un legs durable en Nouvelle-Écosse et à l’Île-du-Prince-Édouard. »
« Halifax et Summerside ont prouvé qu’elles étaient des hôtes dignes des plus grands tournois internationaux, et il ne fait aucun doute dans notre esprit que les deux communautés saisiront cette occasion d’accueillir et d’encourager les meilleures joueuses canadiennes et américaines dans le cadre de la Série de la rivalité en février 2025 », a déclaré D’Arcy Hutcheson (Barrie, ON) , directrice des événements à Hockey Canada. « La Série de la rivalité est devenue l’un des événements de hockey international les plus appréciés. Parions que les deux équipes auront beaucoup de plaisir à s’affronter devant des foules passionnées dans ces deux merveilleuses communautés canadiennes. »
Les billets pour les matchs à Halifax et à Summerside seront mis en vente à une date ultérieure au HockeyCanada.ca/Billets .
Hockey Canada et ses membres dévoileront prochainement des activités locales qui précéderont les affrontements de la Série de la rivalité dans les deux communautés hôtes canadiennes. Ces initiatives seront l’occasion pour la prochaine génération d’interagir avec les membres de l’équipe nationale féminine du Canada.
« La Série de la rivalité est un événement formidable autant pour les joueuses que pour les amateurs et amatrices, et je sais à quel point un événement de ce genre peut avoir un impact sur les jeunes partout au pays », a souligné l’avant d’Équipe Canada Blayre Turnbull (Stellarton, NS/Toronto, LPHF) . « Je suis ravie que les gens dans les Maritimes aient l’occasion d’assister à ces deux matchs et de venir encourager Équipe Canada la saison prochaine. On ne rate jamais l’occasion d’appuyer l’équipe nationale sur la côte Est, et je m’attends donc à une ambiance du tonnerre là-bas. Ce sera particulièrement spécial pour moi, puisque je suis originaire de la Nouvelle-Écosse et que j’ai grandi tout près de ces deux merveilleuses communautés. »
La série s’amorcera a vec trois duels aux États-Unis en novembre. Le coup d’envoi sera donné au Tech CU Arena de San Jose, en Californie, le mercredi 6 novembre à 19 h HP. Le volet américain de la Série de la rivalité se poursuivra au Maverik Center de West Valley City, dans l’Utah, le vendredi 8 novembre à 19 h HP, et se conclura le à l’Idaho Central Arena de Boise, en Idaho, le dimanche 10 novembre à 17 h HR.
TSN et RDS, partenaires officiels de diffusion de Hockey Canada, présenteront les cinq rencontres de la Série de la rivalité. Veuillez consulter votre programmation locale pour plus de détails.
La saison dernière, la Série de la rivalité s’est conclue de façon enlevante pour une deuxième année de suite, l’équipe nationale féminine du Canada s’imposant lors de quatre parties consécutives pour remporter les grands honneurs en sept matchs. Les duels à Kitchener, à Sarnia et à Regina avaient été présentés à guichets fermés. L’assistance moyenne lors des rencontres tenues au nord de la frontière dans ces trois villes ainsi qu’à Saskatoon avait atteint 6 200 personnes par match. Ottawa, Kingston, Kelowna et Trois-Rivières ont également accueilli un match de la Série de la rivalité au cours des deux dernières saisons, faisant salle comble dans chacun des cas.
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Annonce du personnel de l’équipe nationale junior en vue du Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF
Dave Cameron agira à titre d’entraîneur-chef; Sylvain Favreau, Mike Johnston et Chris Lazary seront ses adjoints
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a dévoilé l’identité de ceux qui formeront le groupe d’entraîneurs ainsi que le personnel de soutien de l’équipe nationale junior pour le Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF, qui se tiendra à Ottawa, en Ontario.
Dave Cameron (Kinkora, PE/Ottawa, OHL) reprend les rênes de l’équipe après avoir mené le Canada à la médaille d’or du Championnat mondial junior 2022 de l’IIHF. Il sera épaulé par les adjoints Sylvain Favreau (Orléans, ON/Drummondville, LHJMQ), Mike Johnston (Dartmouth, NS/Portland, WHL) et Chris Lazary (Toronto, ON/Saginaw, OHL), ainsi que par le consultant des gardiens de but Justin Pogge (Penticton, BC) et l’entraîneur vidéo James Emery (Calgary, AB).
En outre, Peter Anholt (Naicam, SK/Lethbridge, WHL) fera un retour à titre de responsable des M20 au sein du groupe de gestion du Programme d’excellence. Il sera accompagné par le triple champion de la Coupe Stanley et médaillé d’or olympique Brent Seabrook (Tsawwassen, BC), qui s’impliquera avec l’équipe nationale junior pour une deuxième année de suite. Anholt et Seabrook ont contribué à la sélection du personnel avec Scott Salmond (Creston, BC), premier vice-président de la haute performance et des activités hockey, ainsi que Benoit Roy (Sudbury, ON), premier responsable des activités hockey.
« Dave a remporté deux médailles d’or au Mondial junior et a démontré qu’il était un excellent leader de l’équipe nationale junior du Canada, a commenté Salmond. Nous sommes ravis de son retour derrière le banc de notre équipe, qui tentera de reconquérir la médaille d’or dans la capitale nationale cette année. Nous sommes également heureux de compléter notre personnel entraîneur avec Sylvain, Mike, Chris, Justin et James. Nos sept entraîneurs feront profiter notre équipe de leur vaste expérience dans la LCH et à l’international. Peter et Brent font également un retour, et nous en sommes reconnaissants. Ils ont aidé à former un personnel de classe mondiale et joueront un rôle clé pour former une équipe très talentueuse que les partisans et partisanes à Ottawa et partout au pays pourront appuyer avec fierté durant le temps des Fêtes. »
Cameron a été l’entraîneur-chef des 67’s d’Ottawa de la Ligue de hockey de l’Ontario (OHL) lors des trois dernières saisons (2021-2024), menant le club à trois participations de suite aux séries éliminatoires. Il a reçu le titre d’Entraîneur de l’année de la Ligue canadienne de hockey (LCH) et de l’OHL en 2022-2023. Auparavant, il a passé deux saisons (2016-2018) à titre d’entraîneur adjoint des Flames de Calgary et cinq (2011-2016) avec les Sénateurs d’Ottawa dans des fonctions d’entraîneur-chef et d’entraîneur adjoint. Il a également été entraîneur-chef et directeur général des Greyhounds de Sault Ste. Marie de l’OHL (1997-1999) et des St. Michael’s Majors de Toronto (2000-2004, 2009-2010). Cameron a aussi occupé un poste d’entraîneur adjoint des Maple Leafs de St. John’s (1999-2000) et d’entraîneur-chef des Senators de Binghamton (2004-2007) dans la Ligue américaine de hockey (AHL). Sur la scène internationale, il a remporté quatre médailles au Championnat mondial junior de l’IIHF, soit une d’argent et une d’or en tant qu’entraîneur-chef en 2011 et 2022 respectivement, ainsi qu’une d’or et une d’argent à titre d’entraîneur adjoint en 2009 et 2010 respectivement. Cameron a aussi gagné l’or dans un rôle d’entraîneur adjoint au Championnat mondial 2016 de l’IIHF et d’entraîneur-chef à la Coupe du monde junior 2004.
Favreau vient de compléter sa première saison à la barre des Voltigeurs de Drummondville de la Ligue de hockey junior Maritimes Québec (LHJMQ) après six campagnes comme entraîneur-chef (2021-2023) et entraîneur adjoint (2017-2021) des Mooseheads de Halifax de la LHJMQ. Cette saison, il a mené les Voltigeurs à un championnat de la LHJMQ et à une participation à la Coupe Memorial. L’équipe a fini au sommet de l’association Ouest en saison régulière. Avant de se joindre à la LHJMQ, il a été entraîneur adjoint (2009-2011) et entraîneur-chef (2011-2015) des Rangers de Gloucester dans la Ligue de hockey du Canada central (CCHL), de même qu’entraîneur-chef et directeur des activités hockey des Grads de Cumberland de la CCHL pendant deux campagnes (2015-2017). Favreau a gagné une médaille d’or comme entraîneur adjoint de l’équipe nationale masculine estivale des moins de 18 ans du Canada à la Coupe Hlinka-Gretzky 2023 et a été un entraîneur adjoint d’Équipe Canada Noirs et l’entraîneur-chef d’Équipe Canada Blancs respectivement lors des éditions 2018 et 2019 du Défi mondial des M17.
Johnston a passé 13 campagnes (2009-2014, 2016-2024) à titre de premier vice-président, directeur général et entraîneur-chef des Winterhawks de Portland de la Ligue de hockey de l’Ouest (WHL). Cette saison, il a été nommé Administrateur de l’année et Entraîneur de l’année de la division U.S. de la WHL. Il est également devenu le 11e entraîneur-chef de l’histoire de la WHL à gagner 500 matchs et il a mené les Winterhawks à sept saisons consécutives de 40 victoires. Johnston a également été un entraîneur adjoint (1999-2003) et un entraîneur associé (2003-2004) des Canucks de Vancouver, un entraîneur associé des Kings de Los Angeles (2005-2008) et l’entraîneur-chef des Penguins de Pittsburgh (2014-2016). Il a également dirigé l’équipe nationale masculine du Canada de 1994 à 1999, remportant deux médailles d’or (1997, 2007), deux d’argent (1996, 2008) et une de bronze (1995) au Championnat mondial de l’IIHF. Johnston a aussi remporté l’or à trois éditions du Championnat mondial junior de l’IIHF (1994, 1995, 1996) en tant qu’entraîneur adjoint, a occupé un poste d’adjoint aux Jeux olympiques d’hiver de 1998, a été l’entraîneur-chef au Championnat mondial des M18 2009 de l’IIHF et a gagné la Coupe Spengler en 1993.
Lazary a été l’entraîneur-chef du Spirit de Saginaw de l’OHL au cours des cinq dernières saisons (2018-2024) après avoir joué un rôle d’entraîneur associé de Saginaw à différents moments pendant trois saisons (2016-2018). Il a également été un entraîneur adjoint du Sting de Sarnia de l’OHL lors de deux campagnes (2014-2016). Il a mené le Spirit, équipe hôte de la Coupe Memorial cette saison, au championnat. Il a aussi dirigé la formation lors de deux titres de division consécutifs de la division Ouest (2018-2019, 2019-2020). Avant sa carrière d’entraîneur dans la LCH, il a passé deux saisons (2010-2012) comme entraîneur adjoint pour les Buzzers de St. Michael’s dans la Ligue de hockey junior de l’Ontario (OJHL) et une (2012-2013) en tant qu’adjoint pour l’Université York. Lazary avait été nommé entraîneur-chef d’Équipe Canada Rouges en vue du Défi mondial de hockey des M17 2020, qui a été annulé en raison de la COVID-19.
Le personnel de soutien de l’équipe nationale junior du Canada pour le Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF comprend :
- Les thérapeutes en sport Kevin Elliott (Charlottetown, PE) et Andy Brown (Owen Sound, ON/Owen Sound, OHL)
- Le médecin de l’équipe, Dr R.J. MacKenzie (Albert Bridge, NS/Cap-Breton, LHJMQ)
- Les responsables de l’équipement Chris Cook (Ottawa, ON/Brantford, OHL) et Clayton Johns (Toronto, ON/Portland, WHL)
- Le préparateur physique Sean Young (Ennismore, ON/Ottawa, OHL)
- Le conseiller en performance mentale Luke Madill (Kirkland, QC)
- Le premier coordonnateur des activités hockey Jacob Grison (Lion’s Head, ON)
- Le responsable des relations avec les médias Spencer Sharkey (Hamilton, ON)
- La coordonnatrice des activités hockey Cassidy Wait (North Vancouver, BC) – membre du personnel au camp
- Le stagiaire aux activités hockey Jared Power (Calgary, AB) – membre du personnel au camp
« Le personnel entraîneur et de soutien de l’équipe nationale junior du Canada est exceptionnel, et nous sommes convaincus que ce groupe fera tout ce qu’il peut pour nous aider à avoir du succès à Ottawa en décembre et en janvier, a ajouté Anholt. Je sais que tous les membres de notre personnel sont reconnaissants de faire partie d’un événement si spécial au pays, et j’ai hâte de bâtir une formation qui portera l’unifolié avec fierté sur la glace et ailleurs sous les encouragements de la population canadienne. »
L’équipe nationale junior du Canada se réunira du 28 au 31 juillet au WFCU Centre de Windsor, en Ontario, pour un camp d’entraînement de quatre jours. En plus des séances d’entraînement, il y aura un match entre les Rouges et les Blancs le 30 juillet et un duel face à la Suède le 31 juillet. Les deux rencontres se tiendront à 19 h 30 HE / 16 h 30 HP. Les billets pour les matchs à Windsor seront en vente au HockeyCanada.ca/Billets à compter du 5 juillet au coût de 30 $ (frais en sus) par match ou de 45 $ (frais en sus) pour un forfait de deux matchs.
Par la suite, l’équipe se rendra à Plymouth, au Michigan, afin de participer à la vitrine estivale du Mondial junior, qui se déroulera du 1er au 3 août. Elle croisera le fer avec la Finlande le 2 août à 13 h HE / 10 h HP et avec les États-Unis le 3 août à 16 h HE / 13 h HP.
Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada, l’équipe nationale junior du Canada et le Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF, veuillez consulter le HockeyCanada.ca, ou suivre les médias sociaux Facebook, X et Instagram.
Dans mes propres mots : Emerance Maschmeyer
La gardienne de l’équipe nationale féminine se confie sur sa vie avec sa partenaire Geneviève Lacasse, la fondation d’une famille, son rôle de pionnière dans la LPHF et l’importance d’être soi-même
Geneviève et moi avions décidé de ne pas faire de coming out officiel. Nous avions plutôt simplement choisi de publier des photos de notre mariage en juillet dernier. Nos proches – les personnes les plus importantes dans nos vies – étaient déjà au courant de notre relation.
Nous étions sceptiques à l’idée d’en faire une grosse histoire d’affirmation. Nous avons pensé que publier des photos de notre mariage serait une façon amusante de dire : « C’est nous. Nous sommes maintenant mariées ». Comme n’importe qui le ferait. Nous étions rendues là. Nous voulions le dire, sans peur. La vague d’amour et de soutien qui a suivi notre publication était si grande, et ça a été très inspirant d’en constater l’impact.
Nous avons une plateforme et une influence. Plusieurs suivent nos aventures. Les personnes qui sont derrière nous sans hésitation, nous les voulons dans nos vies. Nous tenons à maintenir un lien avec elles. Pour les autres, ce n’est pas plus grave que ça.
Nous savions que notre dévoilement pourrait avoir une influence. Une influence positive. Nous espérions pouvoir aider d’autres personnes qui vivent une situation similaire. Je crois qu’on avait le courage, à notre âge, d’aller de l’avant pour raconter notre histoire. Nous avons tout le soutien dont nous avons besoin. Après coup, pour nous, la question était de savoir comment nous pouvions aider les autres maintenant.
Annoncer publiquement notre relation nous a libérées d’un énorme poids qui, sans qu’on en soit conscientes, pesait sur nos épaules. Aujourd’hui, je sens vraiment que nous sommes ouvertes à l’idée d’engager des conversations à propos de notre relation. Nous n’avons pas peur d’être nous-mêmes. Tout ça a été une aventure gratifiante pour nous. Ça fait seulement un an que nous avons officialisé notre union, et nous nous amusons tellement depuis. Nous sommes un couple. Et les gens le savent.
Geneviève et moi avons commencé à nous fréquenter en 2015. Ça n’a pas été trop long avant que je parle à ma sœur de notre relation. Geneviève était la première femme dans ma vie. Donc, avant de l’annoncer à toute ma famille, je voulais m’assurer que notre couple soit solide. C’est ce que j’aurais fait pour n’importe quelle relation.
J’étudiais à Harvard à ce moment. Mes coéquipières et amis à l’école l’ont su assez rapidement. Je voulais le dire à ma famille, mais je voulais l’annoncer en personne. Je ne tenais pas à en faire toute une histoire. Mais je sais bien aussi que, encore à ce jour dans notre société, une personne est hétérosexuelle jusqu’à preuve du contraire. Il faut faire un coming out, raconter son histoire. Je voulais l’annoncer de la façon la plus normale possible, mais je me devais d’avoir des conversations en personne avec ma famille aussi.
Un an après le début de notre fréquentation, j’ai commencé à en parler. Je l’ai dit à mes parents, un à la fois. J’ai fait le tour de ma famille, qui est nombreuse, donc des conversations, il y en a eu beaucoup! J’étais jeune (j’avais 20 ans), donc je ressentais pas mal de nervosité, mais mes proches m’ont manifesté un si grand soutien. J’ai retenu de chacune de mes discussions que ma famille était là pour moi et qu’elle allait m’aimer coûte que coûte. Je sais que ce n’est pas tout le monde qui a cette chance, mais je suis vraiment bénie des dieux d’avoir une famille qui me soutient quoi qu’il arrive. Tout le monde était juste heureux que je sois en amour.
Nous avons hésité à en parler publiquement, mais ça n’avait rien à voir avec notre orientation sexuelle. C’était plus en raison de notre implication avec l’équipe nationale féminine. Nous n’étions pas vraiment friandes à l’idée que les nouvelles autour de nous soient à propos de notre relation ou de notre orientation. Nous voulions qu’elles portent sur le hockey et nos performances.
C’est assurément un défi lorsqu’on pratique la même profession que sa partenaire. Au début, nous avons convenu que, à plus d’un égard, notre relation devait primer sur le reste. Mais il nous fallait aussi réserver une place de choix à notre carrière au hockey. Non pas d’une manière égoïste, mais plutôt… Si tu fais tout ce que tu peux pour être sélectionnée à une équipe et que tu es disposée à jouer, et que je fais tout ce que je peux pour être sélectionnée à une équipe et que je suis disposée à jouer, et bien notre couple ne fait pas partie de l’équation dans ce cas. Ce sont des facteurs externes qui décideront de notre sort… le personnel entraîneur et de dépistage.
Nous étions ensemble dans cette même aventure. Sur le plan individuel, nous ne ménagions pas les efforts et faisions tout notre possible pour arriver à nos fins. Mais une fois une décision rendue, il n’y avait aucune rancœur entre nous. Nous pouvions éprouver de l’empathie si l’une s’était démarquée par rapport à l’autre, mais en fin de compte, si l’une d’entre nous était désignée pour défendre la cage, nous étions là pour nous épauler.
Nous avons eu quelques obstacles en cours de route. Je n’ai pas été choisie pour les Jeux olympiques de 2018. Elle, oui. Le contraire s’est produit pour les Jeux de 2022. J’étais de l’aventure, mais pas elle. Ça nous a donné de la très belle matière pour apprendre de notre relation. La première fois, quand c’est moi qui ai subi le couperet, nous n’avions pas vraiment les aptitudes pour bien réagir. Je caressais ce grand rêve de jouer aux Jeux olympiques. Alors, que dire à sa partenaire, à celle qui y va, ou à celle qui n’y va pas? C’était une situation complexe à gérer pour nous. Nous nous soutenions mutuellement, alors nous avons senti qu’il valait mieux nous abstenir de parler de hockey. Pour le bien de notre couple.
La deuxième fois, pour les Jeux de Beijing, nous avons appris comment en parler. Nous avons appris à dialoguer dans des circonstances périlleuses. À nous ouvrir franchement à l’autre. Il aurait été préférable que ces situations ne se produisent jamais, mais en fait, elles ont contribué à solidifier notre relation. Nous avons acquis les aptitudes pour bien nous épauler l’une l’autre à travers les tempêtes et communiquer de la bonne façon. Nous avons pris conscience de l’importance de toujours faire mieux dans ces moments.
Au début de l’année 2023, quelques mois après notre mariage, nous avons appris que nous allions avoir un enfant. Par chance, nous avons des amies qui avaient déjà suivi un traitement de fertilité. Nous avons pu leur poser une tonne de questions. Faire plusieurs recherches sur le sujet. Nous vivions au Québec, et heureusement, des mesures financières sont en place pour aider. Et la fécondation s’est faite assez rapidement. Nous en sommes très reconnaissantes.
Ça a été une belle expérience. Nous sommes très heureuses de fonder notre famille et d’accueillir notre petit garçon. Nous attendons ce moment depuis si longtemps. Étant donné nos carrières sur la glace, ce n’était pas une possibilité, surtout sans les salaires et la sécurité financière d’une ligue professionnelle. Mais aujourd’hui, je joue dans la LPHF, et Geneviève occupe un emploi stable à titre de responsable des commandites et des ventes de la ligue. Il y a longtemps que nous avions goûté à une telle sécurité et stabilité. Nous sommes emballées de fonder notre famille.
Nous souhaitons que notre garçon grandisse auprès de femmes fortes. Et nous sommes certaines qu’il sera un être respectueux des femmes et que lorsqu’il verra des athlètes féminines, il ne verra que des athlètes tout court.
Le dévoilement du sexe de notre bébé est un souvenir récent qui me revienten mémoire constamment! J’étais assise dans l’autobus avec Emily Clark lors d’un voyage cette année, et nous nous sommes mises à discuter de la façon dont nous pourrions l’annoncer Geneviève et moi. Des idées ont germé. Puis, nous avons réalisé qu’une course à obstacles avec l’équipe pourrait être très amusante. Nous sommes passés d’un duel Clark contre Jenner, à un duel Équipe gars contre Équipe fille.
Geneviève et moi, nous voulions vivre l’effet de surprise, donc nous avons donné aux autres membres de l’équipe le lien vers la confirmation du sexe de notre bébé. Un jour, après un entraînement, Clarky et Jenner ont expliqué le déroulement de la course. Tout a si bien fonctionné!
La dernière année a été un vrai tourbillon. Le mariage, l’annonce de la création de la LPHF, ma signature avec Ottawa, la nouvelle de notre enfant, le lancement de la ligue, la conquête d’un autre championnat… c’est difficile de croire que tout cela s’est passé dans les 11 derniers mois seulement.
C’est tellement incroyable, l’élan que nous donne la LPHF, l’appui des partisans et partisanes, le soutien de partout, les investissements et la visibilité. Et la croissance que nous avons connue à notre première saison seulement. Mais la fierté que j’ai ressentie chaque fois que j’ai sauté sur la glace avec mes coéquipières à Ottawa cette saison… je n’ai pas de mots pour décrire à quel point c’est spécial.
Évidemment, il reste encore beaucoup de chemin à parcourir pour atteindre l’équité et la parité, mais nous avons fait quelques pas de géant au cours des dernières années. Même à l’échelle locale, il y a un effet d’entraînement généré par la LPHF pour que les femmes s’initient au sport et continuent de le pratiquer.
À nos matchs, je vois des jeunes (pas seulement des petites filles, mais aussi des petits garçons) qui nous perçoivent simplement comme des athlètes qui pratiquent le hockey. Ces jeunes ne nous considèrent pas comme des joueuses de hockey féminin. Garçons et filles voient simplement leur avant ou cerbère modèle. On n’entend pas : « Tu es ma gardienne de but favorite… au hockey féminin. » C’est fantastique de voir l’évolution de l’état d’esprit. Et il y a tant de jalons à venir.
Puisque c’est le Mois de la fierté, un événement qui a une grande signification pour moi, je voulais conclure sur ce sujet.
Individuellement, tout le monde peut faire une introspection et trouver des pistes d’amélioration. Je pense que souvent, des présomptions sont faites lorsque deux personnes se rencontrent pour la première fois. Mais nous pouvons faire mieux en laissant l’autre raconter son histoire au lieu de l’étiqueter en lui disant : « Tu es ceci ou tu es cela. » Il peut être intimidant d’être soi-même. Les idées préconçues sont un frein.
Malheureusement, il y aura toujours de la haine sur Internet. À l’ère des médias sociaux, c’est inévitable. Mais je pense qu’autant que possible, nous devons nous accrocher à l’amour et au soutien, et veiller à ce que les voix bienveillantes, aimantes et encourageantes l’emportent sur les voix négatives.
En tant que personne en couple avec une personne du même sexe, je suis parfois un peu timide ou hésitante de montrer la vraie version de moi-même. Mais aux personnes de notre communauté, je dis : soyez aussi braves que possible. Soyez vous-mêmes. Si vous participez aux conversations et que vous laissez aller votre vraie personnalité, les mentalités commenceront à changer lentement. Une personne à la fois.
Nous avançons dans la bonne direction. Et c’est ensemble que nous continuerons de le faire.
SportsPay devient le partenaire privilégié pour le traitement des paiements de Hockey Canada
Entrée en vigueur immédiate du partenariat national
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a annoncé que SportsPay sera le partenaire privilégié pour le traitement des paiements en ligne en vertu d’un partenariat national qui entre en vigueur immédiatement.
Principal fournisseur de paiement pour les organismes de sport amateur du Canada, SportsPay est une entreprise fièrement canadienne qui soutient depuis longtemps le hockey amateur au pays.
Grâce à ce partenariat, l’entreprise assurera le traitement des transactions en ligne, y compris celles effectuées à partir du Registre de Hockey Canada.
« SportsPay offre avec fierté des expériences conviviales aux organisations sportives canadiennes, et nous sommes ravis d’accueillir officiellement cette entreprise à titre de partenaire privilégié pour le traitement des paiements de Hockey Canada afin d’offrir ces expériences aux associations de hockey locales du pays », a déclaré Dean McIntosh, premier vice-président de la génération de revenus, de l’expérience client et de l’impact communautaire. « Le Registre de Hockey Canada est utilisé pour le traitement de milliers d’inscriptions chaque saison. Grâce à notre partenariat avec SportsPay, nous sommes heureux que la plateforme puisse continuer de répondre aux besoins des participants et participantes, de même que des associations. »
« Je suis fébrile à l’idée de renforcer notre relation avec Hockey Canada, qui dure depuis maintenant 20 ans, et d’appuyer le hockey mineur dans l’ensemble du pays », a exprimé Will Gravlev, président de POSconnect Inc. et créateur de SportsPay. « Toute l’équipe de SportsPay travaille sans relâche à offrir des solutions de paiement simples et efficaces pour les sports amateurs et à aider les ligues à se concentrer sur ce qui compte pour elles. »
Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada, veuillez consulter le HockeyCanada.ca, ou suivre les médias sociaux Facebook, X et Instagram.
Aperçu du Mondial masculin des M18 : Canada c. Suède
Jeudi 25 avril | 12 h HE | Vantaa, Finlande | Ronde préliminaire
Le Championnat mondial des M18 2024 de l’IIHF débute jeudi en Finlande, et l’équipe nationale masculine des moins de 18 ans du Canada affronte la Suède en ronde préliminaire au Trio Areena de Vantaa.
Dernier match de chaque équipe
Les Canadiens ont joué leur dernier duel préparatoire mardi, une victoire de 4-3 en prolongation contre la Norvège à Vantaa. Matthew Schaefer a inscrit le but gagnant à 2 min 18 s de la prolongation pour l’unifolié, qui a vu les Norvégiens marquer deux fois en cinq secondes au milieu de la troisième période pour rattraper une avance de deux buts en faveur de la délégation canadienne. Schaefer a terminé la rencontre avec une récolte d’un but et une aide, tout comme Ryder Ritchie.
Les Suédois ont conclu leur calendrier préparatoire lundi. Leo Sahlin Wallenius a touché la cible à deux reprises, et Love Härenstam a bloqué 26 tirs pour signer un jeu blanc de 4-0 aux dépens de la Lettonie à Vierumäki. Jack Berglund et Melvin Fernström ont été les autres buteurs pour la Suède, et Alexander Zetterberg a récolté deux mentions d’aide.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Les nations rivales ont croisé le fer pour la dernière fois en demi-finale du Mondial masculin des M18 il y a un an. Les Suédois l’avaient emporté 7-2 en route vers la médaille d’argent. Macklin Celebrini et Angus MacDonell avaient fait mouche au premier tiers pour les Canadiens, mais une deuxième période de quatre buts pour les Suédois s’est révélée déterminante.
À surveiller
Ce n’est pas la première fois que Porter Martone porte le chandail à la feuille d’érable. En effet, au cours des 17 derniers mois, le capitaine du Canada a participé au Défi mondial de hockey des moins de 17 ans, au Championnat mondial des M18 de l’IIHF (à titre de joueur surclassé) et à la Coupe Hlinka-Gretzky, y récoltant respectivement l’argent, le bronze et l’or ainsi qu’une fiche de 12 buts et 23 points en 19 matchs. L’avant des Steelheads de Mississauga, qui a inscrit 71 points (33-38—71) à sa deuxième saison dans l’OHL, est un nom à surveiller au repêchage 2025 de la LNH (il n’est pas admissible cette année puisqu’il est né le 25 octobre).
Sahlin Wallenius était le deuxième Suédois au classement final du Bureau central de dépistage de la LNH en prévision du repêchage 2024 de la ligue, pointant au septième rang des patineurs répertoriés à l’international. Il a obtenu une moyenne de près d’un point par match à la défensive de l’équipe des M20 des Växjö Lakers cette saison (11-31—42 en 43 parties jouées). Lunis Eriksson a lui aussi attiré l’attention du Bureau central de dépistage, qui le classe dixième parmi les patineurs de l’étranger. Il a passé la majeure partie de la saison chez les professionnels au sein des Djurgårdens IF, inscrivant 11 points (3-8—11) en 29 rencontres dans la HockeyAllsvenskan.
Rétrospective
Les deux pays sont pratiquement au coude à coude dans l’histoire du Championnat mondial des M18 de l’IIHF. Les Canadiens ont un mince avantage, ayant remporté 11 duels contre 10 pour les Suédois.
Parmi les victoires les plus récentes, citons celles de l’édition 2021 au Texas. Shane Wright avait inscrit un tour du chapeau et Brandt Clarke avait ajouté deux buts et deux aides dans un gain de 12-1 en ronde préliminaire, tandis que Connor Bedard avait obtenu trois buts et Wright, un but et trois aides, dans un triomphe de 8-1 en demi-finale .
Fiche de tous les temps : le Canada mène 11-10 (1-1 en PROL. ou TB) Buts pour le Canada : 83 Buts pour la Suède : 67
Bénévole et reconnaissante
D’abord un moyen pour nouer des amitiés dans un nouveau milieu, le bénévolat est devenu un élément essentiel dans la vie de Susan Sloan
Susan Sloan ne saurait imaginer sa vie sans le bénévolat. En fait, elle mènerait sans doute une tout autre vie si elle n’avait pas fait ce choix de donner de son temps bénévolement.
M me Sloan a occupé toutes sortes d’emplois au fil du temps, que ce soit dans une boulangerie ou comme spécialiste des TI, ou même comme instructrice de conditionnement physique dans un YMCA. Après s’être installée à Orléans – communauté dans l’est d’Ottawa, en Ontario – au début des années 2000, elle accepte un contrat d’un an avec Bénévoles Canada qui changera le cours de sa vie.
« J’ai cru bon, en tant que responsable des adhésions, d’en apprendre un peu plus sur ce que représentait le bénévolat, même si j’avais déjà pris la décision de m’impliquer bénévolement pour rencontrer des gens. Je n’avais pas encore d’amis à ce moment-là. »
Susan Sloan vit sa première expérience en tant que bénévole avec Patrimoine canadien, à qui elle offre son aide pour la tenue de l’événement Les lumières d’hiver au Canada. Elle poursuit ensuite avec le Bal de Neige à Ottawa, événement dont elle ne connaissait rien auparavant. Puis avec les célébrations de la fête du Canada.
« Mes trois événements chouchous – chaque année (si on exclut la pandémie), j’y étais, beau temps, mauvais temps. Encore aujourd’hui, ce sont mes événements favoris. Vingt-deux ans plus tard, je suis encore bénévole pour Patrimoine canadien. »
Entre ces trois activités principales, M me Sloan explore tout de même d’autres possibilités de bénévolat dans des milieux qui l’intéressent.
« J’adore le sport, alors je donnais mon nom pour n’importe quel événement sportif pour lequel on cherchait des bénévoles. Il y a l’embarras du choix à Ottawa; je pourrais me tenir occupée toutes les fins de semaine à compter du jeudi. »
Elle commence par un tournoi de volleyball, puis se met à donner des cours de Zumba dans le cadre du Relais pour la vie. Les expériences se succèdent rapidement et mènent à de nouvelles occasions dans le sport.
« Le sport a toujours été un refuge pour moi. Dans une petite communauté comme celle-ci, et surtout à Ottawa, il suffit que les gens vous connaissent un peu, que votre nom soit associé à certains événements pour que l’on vous demande de donner un coup de main ailleurs.
« J’ai profité d’occasions extraordinaires auxquelles je n’aurais pas eu accès, n’eût été mon implication dans le passé. »
Lors de la venue de l’équipe nationale féminine du Canada à Ottawa en 2021 pour la Série de la rivalité, Susan Sloan s’est portée volontaire pour le dévoilement du chandail des Jeux olympiques, en plus d’aider à l’accueil des personnes invitées au match.
« Ce fut vraiment un bonheur de travailler avec Hockey Canada. Les gens de l’organisation nous traitaient avec beaucoup de respect, c’était très apprécié. Ils sont reconnaissants pour chacune de nos actions, aussi petites puissent-elles sembler. »
Le Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF aura lieu plus tard cette année à Ottawa. Grâce aux relations nouées au fil du temps et à sa réputation au sein de la communauté, M me Sloan s’est vu offrir une nouvelle occasion : devenir la coprésidente responsable des bénévoles pour le Mondial junior. Une offre dure à refuser, surtout pour quelqu’un qui vient d’une famille aussi passionnée de hockey que la sienne, qui s’assure de ne rien rater du tournoi chaque année.
« On m’a choisie pour le Mondial junior. C’était un choix, et c’est ce qui fait le plus chaud au cœur. Et rien de tout cela ne serait arrivé sans le bénévolat. »
M me Sloan a hâte que les touristes et invités découvrent tout ce qu’Ottawa a à offrir lorsque le tournoi prendra son envol en décembre prochain.
« Pour les bénévoles, c’est un peu le branle-bas. J’aime la diversité que ça apporte à la ville. L’énergie que ça crée. Il faut être sur place pour la sentir. Vraiment, c’est extraordinaire d’en faire partie.
« Les gens viennent de partout dans le monde, et on a l’occasion d’aller à leur rencontre. De s’impliquer pour sa ville. »
Avec une telle expérience dans autant de rôles différents, M me Sloan sait très bien ce que peut apporter chaque bénévole.
« La synergie qui se crée lorsque l’on côtoie des gens aux intérêts similaires, c’est magique. Certains événements reposent sur la contribution des bénévoles. Les tournois de l’IIHF n’auraient pas lieu sans bénévoles. Même chose pour les célébrations de la fête du Canada. »
Ayant accompagné d’autres bénévoles à leurs premiers pas dans ce rôle, M me Sloan en a vu plusieurs s’épanouir d’une manière que ces personnes n’auraient jamais cru possible. Les mots lui manquent pour décrire à quel point elle se sent chanceuse d’avoir emprunté la voie du bénévolat il y a 22 ans.
« Tout ce que je suis, tout ce que je deviendrai, je le dois au bénévolat. Rares sont les choses dans la vie auxquelles on consacre autant d’efforts et qui nous apportent autant en retour. Vraiment, je ne saurais imaginer mon existence sans le bénévolat. »
Aperçu du Mondial féminin : Canada c. États-Unis
Dimanche 14 avril | 17 h HE | Utica, New York | Match pour la médaille d’or
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (14 AVRIL) Ça y est. L’équipe nationale féminine du Canada n’est plus qu’à une victoire d’ajouter un 13e titre à sa fiche record de 12 médailles d’or au Championnat mondial féminin de l’IIHF et affronte l’équipe hôte des États-Unis en finale dimanche soir.
Dernier match de chaque équipe
Le Canada a pris les choses en main en demi-finale, blanchissant la Tchéquie 4-0 pour confirmer sa place au match pour la médaille d’or. Laura Stacey a mis la table pour Blayre Turnbull et Jocelyne Larocque en première période. Emily Clark et Sarah Fillier ont été les autres buteuses chez les Canadiennes. Ann-Renée Desbiens a fait 9 arrêts, tandis que le Canada a dirigé 47 tirs vers la cerbère tchèque Klara Peslarova.
Les Américaines s’amènent au match pour l’or avec une fiche parfaite, fortes d’un jeu blanc de 5-0 aux dépens de la Finlande en demi-finale. L’avant de l’Université du Wisconsin, Laila Edwards, a réussi un tour du chapeau, tandis que Hannah Bilka et Savannah Harmon ont également trouvé le fond du filet. La Finlandaise Sanni Ahola a réalisé 50 arrêts, et Aerin Frankel a bloqué 15 tirs dans une cause gagnante en demi-finale.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Les rivales nord-américaines ont croisé le fer lundi dernier dans ce qui fut peut-être le meilleur affrontement en ronde préliminaire, un match très serré dans lequel les Canadiennes se sont inclinées 1-0 en prolongation. Ann-Renée Desbiens a offert une performance sensationnelle de 29 arrêts, mais les siennes n’ont pas su déjouer Aerin Frankel. Ce n’est que la troisième fois en 184 rencontres que le Canada et les États-Unis ont joué 60 minutes sans parvenir à trouver le fond du filet – les deux autres fois, c’était au match pour l’or du Mondial féminin, en 2005 et en 2016.
À surveiller
Alors que des noms comme Poulin, Nurse, Spooner et Fast font les manchettes, Jocelyne Larocque, originaire de Ste. Anne, au Manitoba, continue de vaquer tranquillement et efficacement à ses occupations, prête pour une 10e participation à un match pour la médaille d’or du Mondial féminin. La défenseure, qui figure parmi les 10 joueuses les plus âgées de la délégation canadienne (elle avait 35 ans, 10 mois et 17 jours en lever de rideau du tournoi), est la représentante du Canada qui a obtenu le plus de temps de glace (22 min 21 s par match) et présente le meilleur différentiel du tournoi, soit +15. Elle a aussi inscrit un but et quatre mentions d’aide en six matchs.
Pour que le Canada ait du succès aujourd’hui, il devra résoudre l’énigme Frankel. La gardienne de but a réalisé une performance record pour les États-Unis, n’accordant que trois buts en cinq matchs, avec une moyenne de buts alloués de 0,59 et un pourcentage d’arrêts de 0,962. Grâce à son match parfait en demi-finale, la cerbère de 24 ans a établi le record du plus grand nombre de jeux blancs en une même édition du Mondial féminin, avec quatre.
Rétrospective Ce sera la 22e fois que le Canada et les États-Unis s’affrontent pour l’or au Mondial féminin, et le Canada détient un avantage de 12-9 dans les 21 premières rencontres. Sans surprise, les duels entre les deux nations semblent toujours chaudement disputés lorsqu’un titre mondial est à l’enjeu.
Si les Américaines l’ont emporté 6-3 l’an dernier, le match était encore à égalité avec quatre minutes à jouer, et sept des huit affrontements précédents pour la médaille d’or se sont soldés par un écart d’un but. La seule exception, en 2015, est un duel qui s’est terminé avec un écart de deux buts. Sur ces huit matchs, cinq se sont tranchés en prolongation – en 2011, 2012, 2016, 2017 et 2021.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 104-79-1 (23-20 en PROL. ou TB) Buts pour le Canada : 508 Buts pour les États-Unis : 445
Aperçu du Mondial féminin : Canada c. Tchéquie
Samedi 13 avril | 19 h HE | Utica, New York | Demi-finale
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. TCHÉQUIE (13 AVRIL) L’équipe nationale féminine du Canada est maintenant au sein du carré d’as du Championnat mondial féminin 2024 de l’IIHF. Samedi soir, en demi-finale à Utica, elle croisera le fer avec la Tchéquie dans l’espoir de passer au match pour la médaille d’or.
Dernier match de chaque équipe
Le Canada a décroché son billet pour les demi-finales après avoir battu la Suède 5-1 en quart de finale jeudi. Renata Fast a inscrit un doublé, marquant le premier but du match en première période et un but d’assurance au deuxième tiers, tandis que Laura Stacey, Natalie Spooner et Jaime Bourbonnais ont été les autres buteuses. Comme Fast, Jocelyne Larocque a récolté deux points en participant à deux buts. Emerance Maschmeyer a repoussé 17 des 18 tirs dirigés vers elle.
La Tchéquie a assuré sa place en demi-finale grâce à Daniela Pejsova, qui a dirigé un tir du point d’appui dans la circulation lourde pour inscrire le seul but de la rencontre avec 7 min 6 s à jouer, aidant la Tchéquie à vaincre l’Allemagne 1-0. Klara Peslarova a arrêté les 24 tirs des Allemandes, signant ainsi son deuxième jeu blanc du tournoi.
Dernière rencontre entre les deux équipes
En ronde préliminaire dimanche dernier, Kristin O’Neill a inscrit deux buts et une aide, Sarah Nurse a accumulé deux aides et Ann-Renée Desbiens a réalisé 13 arrêts dans un gain par jeu blanc de 5-0 du Canada aux dépens de la Tchéquie. À surveiller
Bien sûr, le tandem Desbiens-Maschmeyer a attiré l’attention. Après tout, les deux ont maintenu un pourcentage d’arrêts combiné de 0,973 en cinq parties. Mais jetons un regard sur le bas de la formation en attaque. Pendant que le premier trio n’a marqué que deux buts (dont un dans un filet désert), la quatrième unité avec O’Neill au centre et Danielle Serdachny et Julia Gosling aux ailes a été sensationnelle (O’Neill est la meilleure pointeuse du Canada). Le troisième trio de Stacey, Blayre Turnbull et Emily Clark a marqué le but de la victoire en quart de finale. Mais ne pensez pas que les gros canons de l’équipe vont se tenir tranquilles; l’an dernier, en demi-finale Sarah Fillier a inscrit un tour du chapeau lors de la victoire contre la Suisse.
Natálie Mlýnková est en feu dans le clan tchèque. La joueuse de 22 ans est à égalité au deuxième rang des meilleures buteuses de la compétition avec quatre buts et à égalité au deuxième échelon des meilleures pointeuses avec six points. Seules des joueuses américaines la devancent dans le classement des pointeuses. Vous aimez les jeux-questionnaires? Anezka Cabelova, Tereza Plosova et Adela Sapovalivova pourraient écrire une page d’histoire en gagnant une médaille à Utica; Marie-Philip Poulin (Canada, 2009), Susanna Tapani (Finlande, 2011), de même que Nelli Laitnen et Viivi Vainikka (Finlande, 2019) sont les seules qui ont gagné une médaille au Championnat mondial féminin des M18 de l’IIHF et au Championnat mondial féminin de l’IIHF lors de la même saison. Rétrospective L’historique entre ces deux équipes est très mince. Elles se sont affrontées seulement deux fois - l’année dernière à Brampton et la fin de semaine passée à Utica.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 2-0-0 Buts pour le Canada : 10 Buts pour la Tchéquie : 1
Pour plus d'informations : |
Jeremy Knight
Responsable, communications organisationnelles
Hockey Canada
(647) 251-9738
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