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Ensemble, visons #ZéroIntimidation

TELUS et Hockey Canada lancent le Code, un programme de lutte contre l’intimidation conçu spécialement pour le milieu du hockey

Jason La Rose
|
11 December 2019

Imaginez un monde numérique où seraient transposés les meilleurs aspects du sport : l’éthique, l’honneur, le travail d’équipe et l’esprit sportif.

Hockey Canada a fait équipe avec TELUS pour créer le Code, un nouveau programme en partenariat avec TELUS qui vise à lutter contre l’intimidation principalement par l’offre de ressources et l’enseignement d’aptitudes pour aider la communauté du hockey à assurer sa sécurité en ligne et sur la glace. Le programme propose un engagement à viser #ZéroIntimidation, un cahier de jeux pour guider les comportements sur la glace et ailleurs ainsi que des ateliers engageants.

Pour faire la promotion de ce programme, TELUS et Hockey Canada ont fait équipe avec un impressionnant groupe d’ambassadeurs – Hayley Wickenheiser, médaillée d’or olympique et membre du Temple de la renommée du hockey, Jordan Eberle, médaillé d’or au Championnat mondial junior de l’IIHF et au Championnat mondial de l'IIHF, Maxime Comtois, médaillé d’or au Championnat mondial junior de l’IIHF, Jill Saulnier, médaillée d’argent olympique, et Dominic Cozzolino, médaillé d’argent paralympique.

« Faire partie du Code va au-delà du hockey », affirme Saulnier. « Je suis ravie de me joindre à TELUS pour relever les défis que pose l’intimidation dans le sport, participer aux efforts de sensibilisation quant aux conséquences qu’elle entraîne et faire la promotion de la signification profonde du Code. »

Dès cette saison, le Code misera sur les nombreux documents et le contenu riche des ateliers de TELUS Averti, le programme éducatif de pointe sur la littératie numérique de TELUS. Créé en 2013, TELUS Averti propose gratuitement des ressources et des ateliers informatifs visant à aider les Canadiens de tous âges à vivre des expériences positives en tant que citoyens numériques. Les ressources et les ateliers de TELUS Averti portent notamment sur la protection de la sécurité, de la vie privée et de la réputation en ligne ainsi que sur l’utilisation responsable de la technologie.

Maintenant offerts en ligne, les ateliers du Code à l’intention des adultes sont une ressource offerte aux parents, aux entraîneurs, aux administrateurs, aux bénévoles et à tous les adultes intéressés. Puissants, engageants et informatifs, ces ateliers sont conçus pour créer un esprit sportif social positif partout au Canada, où les comportements amicaux sont encouragés en ligne et sur la glace.

En plus de consulter les ressources en ligne, les équipes de hockey mineur partout au pays peuvent elles aussi viser #ZéroIntimidation en signant le Code et en portant des autocollants pour casques (commandez-les ici) pour illustrer leur engagement à traiter les autres avec respect sur la glace et ailleurs.

Partenaire premier en marketing de Hockey Canada depuis 2004, TELUS appuie depuis longtemps le développement et les réussites futures des jeunes athlètes partout au Canada. Le partenariat élargi avec TELUS se concrétise par une intégration annuelle qui comprend le Championnat mondial junior de l’IIHF, le Championnat mondial féminin de l’IIHF ainsi que les événements nationaux de Hockey Canada, dont celui pour lequel TELUS est le commanditaire en titre, la Coupe TELUS, le Championnat national midget du Canada.

Le Code n’est qu’un exemple des différentes façons dont TELUS appuie les parcours au hockey. Pour en savoir plus, visitez le HockeyCanada.ca/LeCode.

Publication du rapport de Hockey Canada sur la maltraitance au hockey sanctionné

Les données approfondissent le travail entamé l’an dernier lors du premier rapport qui portait sur la règle 11.4 – Discrimination

NR.087.23
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30 November 2023

CALGARY, Alberta – Hockey Canada et ses membres ont publié un rapport de suivi de la maltraitance au hockey sanctionné qui rend compte des données recueillies à l’échelle nationale pendant la saison 2022-2023 au moyen de deux mécanismes indépendants de gestion des plaintes à l’égard de l’ensemble des règles prévues à la section 11 des règles de jeu de Hockey Canada.

L’information figurant dans ce rapport forme une étape importante et s’inscrit dans les efforts soutenus de l’organisation visant à améliorer la détection, le traitement et le suivi des cas de maltraitance.

En décembre 2022, l’organisation et ses membres ont publié un rapport sur l’ensemble des incidents ayant trait à des injures, à des insultes ou à de l’intimidation de nature discriminatoire survenus au cours de la saison 2021-2022, conformément à la règle de jeu 11.4 de Hockey Canada.

Le rapport de suivi de la maltraitance au hockey sanctionné élargit la portée des cas de maltraitance suivis grâce aux données tirées des processus suivants :

  • plaintes reçues par le tiers indépendant de Hockey Canada;
  • plaintes liées au hockey sur glace reçues par le Bureau du Commissaire à l’intégrité dans le sport (BCIS);
  • suivi des punitions et des allégations liées à la règle 11.4 effectué par chacun des 13 membres;
  • projet pilote où un suivi des autres types de punitions imposées en application de la règle 11 était effectué par certains membres de l’organisation.

« Le rapport de suivi de la maltraitance au hockey sanctionné est un outil essentiel à notre travail pour déceler et enrayer les comportements graves qui n’ont pas leur place au hockey ni dans aucun autre sport », a déclaré Natasha Johnston, vice-présidente de la sécurité dans le sport à Hockey Canada. « Nous continuerons de faire preuve de transparence auprès du public dans la communication des données que nous recueillons avec l’aide de nos membres et nous nous servirons des analyses connexes afin de mieux guider les mesures prises collectivement pour la suite.

« De pair avec nos membres, nous sommes résolus à élargir la production de rapports sur la maltraitance au hockey sanctionné pour la saison 2023-2024 ainsi qu’à prévenir et à traiter adéquatement les incidents de maltraitance dans les programmes de hockey sanctionnés. À mesure que nous continuons de multiplier nos efforts de sensibilisation et les occasions de signalement en toute confiance, il est prévu que le nombre d’incidents de maltraitance sur la glace et ailleurs qui sont rapportés augmente. »

Hockey Canada continuera de publier ses rapports nationaux sur la maltraitance annuellement dans la foulée de son cadre global de sécurité dans le sport.

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Hockey Canada pourvoit deux postes clés

Natasha Johnston devient la directrice de la sécurité dans le sport, et Marin Hickox est embauchée à titre de directrice du hockey féminin

NR.023.22
|
18 May 2022

CALGARY, Alb. – Hockey Canada a annoncé l’embauche de deux gestionnaires de renom du sport canadien, soit Natasha Johnston et Marin Hickox, afin de diriger les stratégies de l’organisation en ce qui a trait à la sécurité dans le sport et au hockey féminin, respectivement.

« Nous sommes ravis d’accueillir Natasha et Marin chez Hockey Canada à ces nouveaux postes qui visent à faire progresser les dossiers de deux de nos secteurs stratégiques », a commenté le président et chef de l’exploitation de Hockey Canada, Scott Smith. « Les deux arrivent avec une expérience inestimable acquise dans le secteur du sport et joueront un rôle crucial pour faire en sorte que le hockey soit un sport sécuritaire et inclusif pour l’ensemble des participants et des participantes. »

Dans le rôle de directrice de la sécurité dans le sport, Mme Johnston se verra confier le champ de responsabilités de la sécurité chez Hockey Canada, dont l’élaboration de solutions durables à l’égard de la sécurité des athlètes et de la maltraitance. Elle collaborera également avec les 13 membres de Hockey Canada pour mettre en œuvre des initiatives stratégiques qui font la promotion de l’inclusion et permettent à tout le monde d’un océan à l’autre et du nord au sud de vivre des expériences enrichissantes au hockey pour de nombreuses années.

Plus récemment, Mme Johnston a été la directrice administrative de Ringuette Canada; elle a contribué au Code de conduite universel pour prévenir et contrer la maltraitance dans le sport (CCUMS) en tant que représentante nationale. Auparavant, elle a occupé des postes à responsabilité croissante au Centre canadien pour l’éthique dans le sport et à Football Canada.

Mme Hickox mènera la réalisation des initiatives de recrutement et de rétention de l’organisation visant à soutenir le maintien des programmes de hockey féminin dans l’ensemble du pays et mènera une approche collaborative pour favoriser l’augmentation du nombre de femmes à des postes clés au sein de l’écosystème du hockey, notamment comme dirigeantes, entraîneuses et officielles.  

En 2020, Mme Hickox faisait partie de l’équipe de travail qui s’est occupée du tout premier match 3 contre 3 de l’élite du hockey féminin présenté dans le cadre de la Fin de semaine du Match des étoiles de la Ligue nationale de hockey (LNH). L’ancienne dirigeante en marketing de Maple Leafs Sport & Entertainment et de la LNH a également été consultante auprès de l’Association professionnelle des joueuses de hockey féminin (PWHPA).

Mme Johnston et Mme Hickox sont déjà entrées en poste chez Hockey Canada, à Ottawa et Toronto, respectivement.

Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada, veuillez consulter le HockeyCanada.ca, vous abonner au Cercle des initiés de Hockey Canada ou suivre les médias sociaux Facebook, Twitter et Instagram.

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Hockey Canada annonce une nouvelle règle de jeu sur la maltraitance pour la saison 2021-2022

La section 11 sur la maltraitance met l’accent sur la gestion de tels incidents sur la glace

NR.035.21
|
24 August 2021

CALGARY, Alb. – Dans le cadre de son engagement soutenu à donner l’exemple en matière de sécurité et d’inclusion, Hockey Canada a mis à jour ses règles de jeu pour insister sur la reconnaissance et le signalement des incidents de maltraitance. 

Lors d’une assemblée extraordinaire tenue le 22 juin 2021, Hockey Canada et ses 13 membres ont adopté à l’unanimité la section 11 sur la maltraitance dans les règles de jeu de Hockey Canada. En vigueur dès cette saison, cette section réunit toutes les formes de maltraitance au même endroit dans les règles de jeu et fournit des directives sur la sévérité des punitions à imposer en fonction de la gravité des comportements inappropriés des joueurs et des officiels d’équipe.

« Hockey Canada est résolue à rendre le hockey sécuritaire et inclusif pour toute personne qui souhaite y participer, et l’ajout de la section 11 donne à nos 13 membres, aux associations de hockey locales et aux officiels partout au pays des critères bien définis pour appliquer les règles portant sur les différents types de comportements inappropriés », a affirmé Tom Renney, chef de la direction de Hockey Canada. « Nous croyons qu’il s’agit d’une mesure importante pour veiller à limiter le nombre d’incidents qui se produisent sur la glace et ailleurs, et que ceci mènera à une pratique de notre sport exempte de mauvais traitements, de discrimination, de racisme et de toutes formes de maltraitance pour les joueurs de tous âges. »

Ces nouvelles règles prévoient, pour certaines infractions, des suspensions indéfinies jusqu’à la tenue d’une audience et des audiences obligatoires pour les récidivistes. Pour consulter la section 11 des règles de jeu de Hockey Canada dans son intégralité, veuillez CLIQUER ICI.

Toujours dans l’objectif d’éliminer la discrimination sous toutes ses formes au hockey, Hockey Canada et ses 13 membres ont aussi approuvé un nouveau système national de signalement pour les incidents relevant d’injures, d’insultes ou de formes d’intimidation de nature discriminatoire qui surviennent sur la glace comme ailleurs. La nouvelle règle et le système de signalement connexe visent notamment la discrimination fondée sur la race, l’origine ethnique, la couleur de la peau, la religion, l’âge, l’orientation sexuelle, l’identité de genre ou un handicap.

Le système national de signalement permettra à Hockey Canada et à ses 13 membres de mieux comprendre l’origine et la fréquence des incidents de maltraitance, et l’organisation pourra ainsi mettre en place les mesures nécessaires pour éliminer ces incidents en misant sur les interventions et l’éducation. En outre, des outils et des ressources seront fournis aux 13 membres de Hockey Canada et aux associations de hockey locales dans l’ensemble du pays pour sensibiliser les participants à la maltraitance, notamment un module d’arbitrage et des ressources en entraînement portant sur la règle 11.

« L’ajout de la section 11 aux règles de jeu de Hockey Canada marque une étape majeure en vue de rendre le hockey plus inclusif pour tous », a déclaré Scott Smith, président et chef de l’exploitation de Hockey Canada. « Grâce au système de signalement, Hockey Canada et ses 13 membres pourront procéder activement à des changements par des efforts d’éducation et une compréhension accrue de l’origine de ces problèmes. Tandis que nous continuons d’apprendre et de cultiver un milieu diversifié, inclusif et sécuritaire, nous croyons que les règles de jeu mises à jour seront hautement bénéfiques pour tous les participants et permettront à plus d’enfants et d’adultes de profiter des bienfaits du hockey. »

Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada, veuillez consulter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux FacebookTwitter et Instagram.

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Faites preuve d’empathie

En cette Journée du chandail rose, la médaillée d’argent olympique Jill Saulnier parle de la place des femmes et des filles dans le sport et de viser #ZéroIntimidation

TELUS
|
24 February 2021

C’est la Journée du chandail rose aujourd’hui. Cette journée vise à sensibiliser le public à l’intimidation et à l’existence de programmes de soutien qui favorisent l’estime de soi chez les jeunes. Tout le monde est invité à porter du rose pour prendre position contre l’intimidation.

TELUS Averti est solidaire de la Journée du chandail rose. Le programme d’ateliers de littératie numérique gratuits de TELUS Averti aide les Canadiens à se protéger en ligne. Grâce à des entrevues, des articles et des ateliers instructifs, les Canadiens apprennent à créer des expériences positives en tant que citoyens numériques.

Cette année, TELUS Averti profite de la Journée du chandail rose pour parler d’intimidation dans le monde du sport. C’est pourquoi nous nous sommes associés à TELUS pour créer Le Code. Ce programme vise à sensibiliser le public à l’intimidation dans le monde du hockey et à aider les familles des joueurs à se protéger en ligne.

Jill Saulnier, fière ambassadrice du Code, s’est entretenue avec TELUS Averti pour donner son point de vue. Médaillée d’argent aux Jeux olympiques de 2018, Jill a disputé plus de 100 matchs pour Équipe Canada. Elle s’entraîne actuellement pour représenter le Canada au Championnat mondial féminin 2021 de l’IIHF (qui aura lieu à Halifax, sa ville natale) et aux Jeux olympiques de Beijing, en 2022.

Jill nous fait part de son expérience et nous parle de sport féminin, d’intimidation dans le monde du sport, de sa participation à l’initiative Le Code et de l’importance de faire preuve d’empathie à la patinoire, sur Internet et au quotidien.

Q : Comment avez-vous débuté comme athlète? Quels obstacles avez-vous rencontrés?

JS : J’ai grandi à Halifax et nous avions une patinoire dans la cour. J’ai commencé à patiner et à jouer au hockey quand j’avais cinq ans. C’était une activité familiale. Chacun à leur tour, mes parents arrosaient la patinoire pour que nous ayons toujours une belle couche de glace. « Patine au lever, patine après l’école » : telle était notre devise.

Dès mon plus jeune âge, j’étais absolument passionnée par le hockey. Quand j’ai vu l’équipe féminine gagner aux Jeux olympiques de 2002, j’ai su que je voulais faire la même chose un jour. J’ai continué de patiner et de jouer au hockey. Il n’y avait pas vraiment d’équipe pour filles à Halifax. À l’âge de 14 ans, j’ai donc décidé que, pour m’entraîner sérieusement, je devais quitter ma ville natale. À 15 ans, je suis allée m’entraîner aux États-Unis. Cette décision a marqué un vrai tournant dans ma carrière. Ensuite, on m’a invitée à jouer pour l’équipe nationale, ce qui m’a ramenée au Canada. J’ai intégré la Professional Women’s Hockey Players Association (PWHPA). À chaque étape de mon parcours, j’ai saisi les occasions de devenir la meilleure athlète et la meilleure personne possible.

Q : D’après une enquête de Femmes et sport au Canada (juin 2020), 62 % des filles canadiennes ne pratiquent aucun sport. En vous basant sur votre expérience, quel message aimeriez-vous transmettre aux filles et aux femmes canadiennes sur la pratique d’un sport à court et à long terme?

JS : Il y a un réel manque de visibilité et d’occasions pour les athlètes féminines. Parfois, il n’y a même pas d’équipe féminine. J’en ai moi-même fait l’expérience. Je dis toujours aux filles de trouver un sport qui les passionne. Ce ne sont pas les options qui manquent! Je leur conseille d’expérimenter pour trouver un sport qui leur plaît. Le hockey a enrichi ma vie de tellement de façons : j’ai beaucoup gagné en assurance et je me suis fait des amis pour la vie. Pour réussir dans mon sport, il faut être forte et faire preuve d’intensité. Pour moi, les femmes fortes et en santé qui aiment ce qu’elles font sont magnifiques. À l’ère des médias sociaux, on véhicule beaucoup d’images et de messages malsains sur l’apparence physique et l’image corporelle. Pratiquer un sport permet de renverser la tendance et de véhiculer un autre message. Il est beau d’être forte!

Q : L’intimidation reste un problème dans le monde du sport. Selon l’organisme Childhelp, de 40 à 50 % des athlètes ont subi du harcèlement dans le cadre de leur pratique sportive, qu’il s’agisse de harcèlement dit léger ou de mauvais traitements graves. Quelle est votre expérience personnelle en matière d’intimidation dans le monde du sport, en ligne et hors ligne?

JS : Je n’ai pas été victime de harcèlement quand j’étais jeune. Je savais ce que j’avais à faire et si quelqu’un essayait de m’en empêcher, je l’ignorais pour rester sur la bonne voie. J’étais entourée de personnes formidables qui m’offraient un soutien continu; personne n’essayait de me mettre des bâtons dans les roues. Aujourd’hui, la cyberintimidation est omniprésente. J’en ai moi-même vécu. Je suis fière de mes réalisations, mais il m’est arrivé d’être cyberhacelée ou d’être blessée par des commentaires négatifs en ligne.

Malheureusement, c’est une tendance qu’on observe dans le sport féminin. Certains internautes anonymes essaient de rabaisser des personnes fortes et passionnées qui tentent de réaliser leurs rêves. La plupart des athlètes arrivent à se détacher de cette négativité et ne lui accordent aucune crédibilité. Mais parfois, quand on lit quelque chose de choquant ou de blessant en ligne, on l’intériorise – les athlètes n’échappent pas à cette réalité. La plupart des intimidateurs sont très doués pour cibler les insécurités. Si vous êtes victime d’intimidation, parlez-en à un ami ou à un membre de votre famille. Ne vous laissez pas abattre. Nommez ce qui s’est passé, parlez-en et allez chercher le soutien dont vous avez besoin pour passer à autre chose.

Q : Qu’est-ce que Le Code? Depuis quand faites-vous partie du projet?

JS : Le Code permet d’aborder les questions de cyberintimidation dans le cadre d’ateliers destinés aux entraîneurs, aux joueurs et à leur famille. Je m’y implique depuis 2018. Je suis honorée de collaborer avec TELUS et avec l’équipe du Code pour changer les mentalités. En tant qu’athlète, j’ai à cœur les valeurs mises de l’avant par Le Code. Il existe un lien très fort entre le sport et le monde numérique. Il faut absolument nommer ces problèmes et en parler. Je suis très fière de m’impliquer dans un projet qui vise à éduquer les gens et à changer les choses.

Q : À votre avis, comment peut-on atteindre l’objectif #ZéroIntimidation dans le monde du sport?

JS : Il faut saisir toutes les occasions de s’éduquer et de s’améliorer. La cyberintimidation peut causer des ravages. Chez les athlètes, elle peut nuire à la santé mentale et à la performance. Il faut bien s’entourer et acquérir des compétences et des stratégies pour réagir à la cyberintimidation de façon saine et productive. Je pense aussi que les politiques de tolérance zéro correctement appliquées peuvent grandement contribuer à changer les choses, à décourager l’intimidation et à limiter les dégâts.

Q : La pandémie de COVID-19 a-t-elle eu une incidence sur l’intimidation dans le monde du sport? Si oui, laquelle?

JS : Depuis le début de la pandémie, nous sommes tous très isolés et nous passons beaucoup plus de temps qu’avant sur nos téléphones. Comme athlètes, on ne peut pas pratiquer notre sport, nous entraîner ou aller à l’école. Les défis et les horaires ne sont plus les mêmes. Comme la plupart des gens, les athlètes se tournent vers Internet pour passer le temps. Dans ce contexte, beaucoup de sportifs ont tendance à se comparer. Quand on voit ce que d’autres font en ligne, on ressent une énorme pression : on veut être le meilleur. Il a fallu aussi revoir entièrement les méthodes d’entraînement. Plus tôt cette année, nous avons eu notre premier camp de Hockey Canada depuis un an. Le camp a duré 14 jours. Les protocoles en place étaient très rigoureux. Beaucoup d’entre nous avons dû nous entraîner dans nos chambres d’hôtel. En ce moment, ce qui compte le plus, c’est d’avoir une bonne attitude et de profiter au maximum de chaque instant, quelle que soit la situation.

Q : Quel message aimeriez-vous transmettre aux enfants et à leurs parents en lien avec la Journée du chandail rose?

JS : Faites preuve d’empathie. Aidez ceux qui vous entourent à se sentir bien. C’est tellement important! Il y a énormément de problèmes d’intimidation en ligne et au quotidien. Au lieu de rabaisser les gens, aidez-les à réussir. Cela fera de vous une meilleure personne. Il y a tellement d’obstacles à surmonter dans la vie, particulièrement ces temps-ci. Plus que jamais, faire preuve d’empathie est essentiel. J’ai la chance incroyable d’être entourée de gens et d’athlètes merveilleux. Concentrez-vous sur les personnes qui ont une attitude positive, qui sont là pour vous et qui vous aident à réussir. Ne vous laissez pas rabaisser par des internautes anonymes.

Pour savoir comment vous protéger en ligne, visitez le telus.com/averti. Vous y trouverez toutes les ressources et tous les ateliers proposés par TELUS Averti.

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Nouvelle Règle de Hockey Canada Sur Le Contact Avec la Tête

GN.018.11
|
31 August 2011

Approuvée lors de l'assemblée générale annuelle de Hockey Canada à Calgary, Alberta, en mai, la nouvelle règle de Hockey Canada sur le contact avec la tête prônant la tolérance zéro a été adoptée pour diminuer le nombre de blessures à la tête dans le jeu.

 La nouvelle règle entrera en vigueur dès le début de la saison 2011-12.

Vous trouverez ci-dessous l'énoncé paraissant dans le livre des règles de Hockey Canada décrivant les circonstances dans lesquelles l'infraction doit être signalée ainsi que la ou les punitions devant être imposées.

Article 6.5 – Contact avec la tête

(a) Au hockey mineur et féminin, une punition mineure sera imposée à tout joueur qui entre accidentellement en contact avec la tête, le visage ou le cou d'un adversaire avec son bâton ou toute partie de son corps ou de son équipement.

(b) Au hockey mineur et féminin, une double punition mineure ou, à la discrétion de l'arbitre selon la violence de l'impact, une punition majeure et une punition d'extrême inconduite seront imposées à tout joueur qui entre intentionnellement en contact avec la tête, le visage ou le cou d'un adversaire avec son bâton ou toute partie de son corps ou de son équipement.

(c) Au hockey junior et senior, une punition mineure et une punition d'inconduite ou, à la discrétion de l'arbitre selon la violence de l'impact, une punition majeure et une punition d'extrême inconduite seront imposées à tout joueur qui assène une mise en échec à la tête d'un adversaire de quelque façon que ce soit.

(d) Une punition majeure et une punition d'extrême inconduite ou une punition de match seront imposées à tout joueur qui blesse un adversaire en vertu de cette règle.

(e) Une punition de match sera imposée à tout joueur qui, délibérément, tente de blesser ou blesse un adversaire en vertu de cette règle.

Remarque : Tout contact au-dessus des épaules (tête, visage, cou) doit être considéré comme un contact avec la tête en vertu d'un des alinéas précédents (au hockey mineur et féminin).

Éclaircissements sur le contact avec la tête au hockey junior et senior seulement

Les arbitres devraient être conscients des conséquences tragiques des blessures à la tête et des commotions et appliquer la règle à la lettre. Il relève de la responsabilité des joueurs, des officiels des équipes et des arbitres de faire tout en leur pouvoir pour diminuer l'incidence de ces terribles blessures. Les officiels d'équipe peuvent enseigner aux joueurs des façons légitimes de mettre un adversaire en échec et les joueurs peuvent être informés des dangers des mises en échec à la tête. L'arbitre a la responsabilité de punir tout joueur qui entre en contact avec la tête d'un adversaire. Si les arbitres appliquent uniformément et strictement les règles en présence d'infractions pouvant causer des commotions et que les joueurs et les officiels d'équipe collaborent, les infractions de ce genre et les risques que des joueurs subissent de telles blessures peuvent être considérablement réduits. La punition pour contact avec la tête est fondée sur la « violence de l'impact » qui peut appartenir à trois catégories : impact minime, modéré ou grave.

Un impact minime serait puni en vertu des autres règles appropriées, par ex., donner du coude, bâton élevé, rudesse, rudesse après le sifflet, etc., tout coup qui ricoche ou tout impact minime à la tête pour lequel une punition s'impose.

Un impact modéré serait le résultat d'un geste beaucoup plus violent qui n'entraîne pas de blessure, mais qui exige une punition mineure et une punition d'inconduite en vertu de la règle sur le contact avec la tête.

Un impact grave serait le résultat d'un geste très violent, avec blessure ou non, qui exige une punition majeure et une punition d'extrême inconduite ou une punition de match, à la discrétion de l'arbitre, en vertu de la règle sur le contact avec la tête.

Ce qui auparavant pouvait être considéré comme une mise en échec réglementaire portée à la tête avec l'épaule sera maintenant puni comme un contact avec la tête si l'impact est moyen ou grave. Ces infractions pour contact avec la tête peuvent survenir n'importe où sur la surface de jeu à la suite d'un premier contact à la tête. Un contact avec la tête peut aussi provenir d'un coup dans un espace libre, que la tête du joueur ayant subi le coup ait été baissée ou non. La mise en échec corporelle n'a pas été retirée du jeu, mais les coups hauts et le fait de viser la tête seront punis. Une bataille doit continuer d'être désignée comme une bataille et non un contact avec la tête. Les arbitres doivent imposer des punitions de façon stricte en présence d'infractions en vertu desquelles des coups bas sont portés, car ce type d'infractions risque d'augmenter. Le signal pour indiquer un contact avec la tête sera l'application de la main (paume ouverte) ne tenant pas le sifflet sur le côté de la tête.

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Pour plus d'informations :

Esther Madziya
Responsable, communications
Hockey Canada

(403) 284-6484 

[email protected]

 

Spencer Sharkey
Responsable, communications
Hockey Canada

(403) 777-4567

[email protected]

 

Jeremy Knight
Responsable, communications organisationnelles
Hockey Canada

(647) 251-9738

[email protected]

 

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