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Hockey Canada et Nike dévoilent le nouveau chandail d'Équipe Canada

Le chandail inspiré par notre patrimoine rendra hommage au 150e anniversaire de la nation

NR.071.16
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02 August 2016

TORONTO, ONT., 2 août 2016 - Hockey Canada, en partenariat avec Nike et les joueurs et les joueuses représentant les équipes nationales féminines, masculines et sur luge du Canada, ont dévoilé le nouveau chandail d'Équipe Canada à Toronto, Ont., mardi.

Conçu par Nike pour célébrer le 150e anniversaire de la Confédération, le chandail pourra être vu en compétition cette semaine quand 41 des meilleurs joueurs de moins de 20 ans de la nation affronteront des équipes des États-Unis, de la Finlande et de la Suède à Plymouth, Mich. Ces joueurs tenteront d'être sélectionnés par la formation canadienne qui participera au Championnat mondial junior 2017 de l’IIHF à la maison quand l'événement fera un retour à Toronto et Montréal en décembre.

Faits sur mesure pour les athlètes de la nation, les chandails d’Équipe Canada se veulent un clin d’œil à la riche histoire du Canada tout en incorporant l’innovation de performance de Nike.

« Ce chandail a été conçu pour que performance concorde avec patriotisme », a déclaré Tom Renney, président et chef de la direction de Hockey Canada. « J'ai eu la chance de me servir de ma passion pour le hockey pour en faire une carrière; j'ai réalisé très tôt que le hockey allait bien au-delà de ce qu'on apprend sur la glace. Ce sport est au cœur de la structure de notre nation et il enseigne toutes les leçons de vie qui forment de bons citoyens. Nous voulions nous assurer que chaque aspect de ce chandail ait une signification profonde pour les Canadiens, tout en poussant l'innovation dans sa fabrication. De la bande blanche au bas aux feuilles d'érable intégrées, le chandail est emblématique de ce lien intrinsèque entre le hockey et les 35 millions de Canadiens qui portent la feuille d'érable dans leur coeur. »

Conçu à l'aide de la technologie AeroSwift et fait d’un tissu indéchirable, le chandail a été fabriqué pour résister aux performances rapides et robustes des athlètes sur la glace. Les zones maillées sous les bras amènent une thermorégulation grâce à une ventilation optimale qui permet aux joueurs de rester au frais pendant un match.

Le chandail affiche de façon proéminente le logo du 150e anniversaire du Canada sur les deux manches, composées d'une série de diamants qui représentent les quatre provinces originales de la Confédération, donnant la forme de la feuille d'érable iconique. Sur la partie supérieure du chandail, des rangées de feuilles d'érable remplissent les épaules du chandail, formant l'une des figures les plus patriotiques jamais vues sur le chandail d'une équipe nationale. L'icône de la feuille d'érable représente une voix et la répétition de l'icône symbolise la nation se ralliant autour du hockey. La double rayure unique et classique sur les manches du chandail revient, mais elle a été rehaussée avec un accent rouge et noir, de sorte que ce design exclusif saute aux yeux comme jamais avant.

« En 2017, alors que nous célébrerons le 150e anniversaire de la Confédération, un jalon de notre histoire, nous réfléchissons naturellement au rôle intégral que joue le hockey dans l’unification des Canadiens, a déclaré M. Raj Grewal, député de Brampton-Est. Le chandail de cette année reflète la fierté que ce grand sport procure à notre pays et son importance dans notre culture. »

En plus des matchs du prochain camp de développement de l'équipe nationale junior, les amateurs d'Équipe Canada pourront voir le nouveau chandail à la Coupe commémorative Ivan Hlinka ce mois-ci quand l'équipe masculine estivale tentera de défendre sa séquence de médailles d'or gagnées, ainsi que lors d'une série de trois matchs à Calgary, alors que l'équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada et l'équipe nationale féminine de développement du Canada affronteront leurs rivales des États-Unis.

Le nouveau chandail d'Équipe Canada sera en vente dès le 2 août dans les boutiques Nike et en ligne sur le Nike.com et HockeyCanada.ca/Boutique, chez le détaillant officiel de Hockey Canada, SportChek, et d'autres détaillants canadiens d'un océan à l'autre à l’autre.

À propos de Hockey Canada

Chef de file mondial du sport, Hockey Canada est l'organisme de régie du hockey au Canada et membre de la Fédération internationale de hockey sur glace (IIHF). Elle compte plus de 700 000 joueurs, entraîneurs et officiels au sein de ses 13 associations provinciales membres. Hockey Canada est une organisation à but non lucratif qui crée des programmes de développement du hockey de pointe pour ses membres et les présente aux quatre coins du Canada. Elle assure aussi l’uniformité des règles et des règlements, offre d’autres services à ses membres d’un océan à l’autre à l'autre, gère plusieurs championnats et événements régionaux, nationaux et internationaux et dirige les activités de toutes les équipes qui représentent le Canada lors de compétitions internationales. La mission de Hockey Canada est de « diriger, développer et promouvoir des expériences enrichissantes au hockey ». Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada, veuillez consulter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux sur Facebook, Instagram, SnapChat (@hockey_canada) et Twitter.

À propos de NIKE Inc.

NIKE, Inc., basée près de Beaverton, Oregon, est le premier concepteur, marchandiseur et distributeur mondial de souliers, vêtements, équipements et accessoires authentiques pour une vaste gamme de sports et d’activités physiques. Parmi les filiales détenues en propriété exclusive par NIKE Inc., notons Converse Inc., qui conçoit, met en marché et distribue des souliers, vêtements et accessoires pour un mode de vie actif, et Hurley International LLC, qui conçoit, met en marché et distribue des souliers, vêtements et accessoires pour le surf et les jeunes. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le www.nikeinc.com et suivre @Nike.

Larocque, 200 matchs plus tard

De Lake Placid à České Budějovice en passant par une multitude de destinations, Jocelyne Larocque s’apprête à marquer l’histoire de l’équipe nationale féminine sans faire de bruit, fidèle à elle-même

Jason La Rose
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20 April 2025

Jocelyne Larocque se souvient encore de son tout premier match.

C’était le 4 novembre 2008, à Lake Placid, dans l’État de New York. Alors âgée de 20 ans, Larocque perçait l’alignement de l’équipe nationale féminine du Canada pour la première fois au match contre la Finlande en lever de rideau de la Coupe des 4 nations.

« Je me souviens que j’étais à la fois extrêmement nerveuse et très reconnaissante d’avoir l’occasion de jouer pour l’équipe nationale, raconte Larocque. Tous les jours, je me disais de profiter de chaque instant, de prendre exemple sur les autres joueuses et de tâcher de les imiter. »

Le succès a immédiatement été au rendez-vous, autant pour la joueuse que pour l’équipe. Le Canada a blanchi la Finlande 6-0, et c’est Larocque elle-même qui a inscrit le sixième but en s’amenant en appui depuis la ligne bleue pour s’emparer du retour à la suite d’un tir de Sarah Vaillancourt dans la dernière minute de jeu.

Seize ans et demi plus tard, Larocque cogne aux portes de l’histoire. Lorsqu’elle foulera la glace dimanche au match pour la médaille d’or du Championnat mondial féminin 2025 de l’IIHF, la joueuse originaire de Sainte-Anne, au Manitoba, deviendra la cinquième joueuse de l’histoire d’Équipe Canada – et la première défenseure – à prendre part à 200 matchs à l’international.

Elle se joindra à Hayley Wickenheiser, Jayna Hefford, Caroline Ouellette et Marie-Philip Poulin, cette dernière ayant franchi ce plateau jeudi lors de la victoire en quart de finale du Canada contre le Japon.

« Quand je repense à mon parcours avec Équipe Canada, je ressens surtout beaucoup de gratitude », affirme Larocque, qui poursuit sa carrière avec la Charge d’Ottawa dans la Ligue professionnelle de hockey féminin (LPHF). « Ça semble plutôt rare de pouvoir vivre sa passion et compétitionner au plus haut niveau à autant d’occasions. Quand je pense à mon arrivée au sein de l’équipe et à tout mon cheminement depuis, j’en retiens surtout les gens : le personnel et les joueuses avec qui j’ai eu la chance de jouer. »

Quadruple championne mondiale (2012, 2021, 2022, 2024) et double médaillée d’or olympique (2014, 2022), elle possède une feuille de route des plus impressionnantes au hockey.

Forte de deux titres nationaux dans la NCAA (2008, 2010) et de deux sélections à la première équipe des étoiles américaines (2008-2009, 2010-2011) lors de son passage à l’Université du Minnesota à Duluth, Larocque a également décroché trois championnats dans la Western Women’s Hockey League avec l’Oval X-Treme de Calgary de 2005 à 2007 et le titre de la Coupe Clarkson avec le Thunder de Markham en 2018. En outre, elle est la première Canadienne à avoir été sélectionnée lors du repêchage inaugural de la LPHF en 2023, elle qui a été choisie deuxième au total par Toronto.

Malgré toutes ces réussites, elle figure toujours parmi les joueuses les plus sous-estimées au hockey féminin. Son faible apport offensif y est peut-être pour quelque chose – elle a peut-être touché la cible dès ses débuts en 2008, mais elle n’a noirci la colonne des buts que neuf fois au total dans l’uniforme canadien.

Qu’à cela ne tienne, sa valeur pour l’équipe, et surtout pour la brigade défensive, reste inestimable.

« Elle n’a pas été en mesure de produire offensivement en raison de ce rôle défensif crucial qui lui a été attribué », estime Renata Fast, sa coéquipière depuis 2015 avec qui elle patrouille régulièrement la ligne bleue. « Elle embrasse ce rôle, qu’elle remplit à merveille. Elle adore neutraliser les autres équipes, et c’est fréquent pour des joueuses comme elle, qui ont un style très défensif, de ne pas se voir accorder le mérite qui leur revient. Je pense que, depuis des années, elle demeure la joueuse la plus difficile à affronter au monde, et une grande part des succès de notre programme découle de la constance qu’elle apporte.

« Depuis que je fais partie du programme, j’ai pu voir l’ampleur de son influence sur la culture de l’équipe. Elle permet aux joueuses de rester d’emblée fidèles à leur identité sur la glace, on sent cette qualité chez elle dès qu’on la côtoie. Elle est une coéquipière incroyable et l’une de nos plus grandes meneuses. »

Larocque a pu apprendre des meilleures à ce chapitre. Ses débuts à la Coupe des 4 nations 2008 lui font aussi penser à la générosité des vétérantes Becky Kellar et Cheryl Pounder, qui lui ont montré tous les rouages d’Équipe Canada. Les noms de Wickenheiser et de Colleen Sostorics figurent aussi sur la liste de ses modèles.

C’est maintenant à elle de jouer le rôle de mentore à České Budějovice, où le groupe de défenseures comprend Sophie Jaques, 24 ans, et Chloe Primerano, 18 ans, deux jeunes joueuses dont l’expérience combinée avec l’équipe senior était limitée à six matchs avant l’amorce du tournoi.

Mais pour Larocque, l’expérience ne fait pas partie de l’équation. C’est une question d’avoir du plaisir, de jouer de manière détendue et de simplement profiter de l’occasion de porter la feuille d’érable. Pour elle, les succès commencent par ces ingrédients.

« Je suis extrêmement compétitive, avoue-t-elle. Tout le monde l’est au Mondial féminin, mais il ne faut pas oublier que tout ça est censé être une grande source de bonheur. À mon avis, c’est quand je joue avec légèreté, liberté et plaisir que je joue de mon mieux. Depuis de nombreuses années maintenant, au sein de notre unité défensive, on parvient à rire et à s’amuser tout en faisant preuve d’une grande concentration et d’un excellent souci du détail. Je suis très fière de la culture qu’on a créée.

« J’aime rappeler aux jeunes qu’on a atteint le sommet. C’est normal qu’il y ait des erreurs, il suffit de ne pas s’y attarder et de garder confiance. On peut apprendre de ses erreurs tout en restant confiante en soi et en ses moyens, sans que ça fasse boule de neige. »

Née le 19 mai 1988, Larocque est la doyenne d’Équipe Canada depuis plusieurs années déjà. Mais celle qui soufflera bientôt ses 37 bougies révèle que ce n’est qu’il y a quelques saisons, à l’arrivée de Sarah Fillier, première joueuse née dans les années 2000, qu’elle a vraiment commencé à porter attention à son âge.

Sans surprise, la gratitude est le thème qui se dégage de ses réflexions.

« Évidemment, plus on joue longtemps, plus on sera entourée de jeunes, dit-elle. C’est normal, mais ça vient quand même avec ces instants de reconnaissance de pouvoir encore vivre ma passion à ce niveau, parce que le hockey me procure tellement de bonheur. »

« Il y a Chloe, qui est beaucoup plus jeune qu’elle, à ce championnat mondial, et je sais que Chloe est tout à fait à l’aise d’aller voir Jocelyne pour lui demander des conseils et passer du temps avec elle, ajoute Fast. Moi-même, quand j’ai rejoint le programme, je me suis rapidement tournée vers Jocelyne en raison de ce qu’elle dégage. C’est une présence tellement réconfortante et positive dans notre vestiaire. »

Mais on a beau parler de son âge en long et en large, ce n’est qu’un chiffre à ses yeux. Larocque, qui participe à une 12e édition du Mondial féminin et qui vise une quatrième présence aux Jeux olympiques d’hiver dans moins d’un an, n’a aucunement l’intention d’accrocher ses patins dans un avenir rapproché.

« Je n’ai jamais laissé mon âge me définir ou me retenir. Je reste d’avis que je m’améliore de plus en plus chaque année, mais disputer 200 matchs implique aussi beaucoup de discipline, il faut garder la forme. Et je pense que c’est ce qui m’a aidé à faire ma place dans cette équipe pendant autant d’années, le fait d’être toujours prête physiquement, mentalement et émotionnellement. »

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Canada c. États-Unis

Aperçu du Mondial féminin : Canada c. États-Unis

Dimanche 20 avril | 12 h HE | České Budějovice, Tchéquie | Match pour la médaille d’or

Shannon Coulter
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20 April 2025

NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (20 AVRIL)

Et nous voici au moment crucial du tournoi. L’ équipe nationale féminine du Canada affrontera les États-Unis dimanche dans le match pour la médaille d’or du Championnat mondial féminin 2025 de l’IIHF.

Dernier match de chaque équipe

Avec quatre buts inscrits en 1 min 58 s tard en deuxième période, le Canada a vaincu la Finlande 8-1 en demi-finale samedi. Les Finlandaises ont ouvert le pointage après seulement 46 secondes de jeu, mais Erin Ambrose a rapidement répliqué et avant la fin de la première période, Marie-Philip Poulin a marqué un but (l’éventuel but gagnant) qui lui a permis de battre un record. Quinze joueuses ont récolté au moins un point dans le match; Claire Thompson (1-2—3) a sonné la charge en obtenant trois points pour un deuxième match de suite, et Daryl Watts a inscrit un doublé. Ann-Renée Desbiens a réalisé 19 arrêts pour signer sa 22 e victoire au Mondial féminin, soit le plus haut total par une gardienne de but dans l’histoire du tournoi.

Les Américaines ont confirmé leur place au match pour la médaille d’or grâce à un gain serré de 2-1 face à la Tchéquie. Les Tchèques ont inscrit le seul but de la première période, mais Laila Edwards a créé l’égalité lors d’un avantage numérique en deuxième période et Kelly Pannek a inscrit le but de la victoire à mi-chemin au troisième vingt pour permettre aux États-Unis de passer en finale pour une 24efois en 24 tournois.

Dernière rencontre entre les deux équipes

Lors du match le plus attendu de la ronde préliminaire, les Canadiennes ont subi une défaite de 2-1 face aux Américaines dimanche dernier. Les États-Unis avaient une avance de 2-0 après deux périodes, avant que Laura Stacey ne marque en échappée pour réduire l’écart de moitié après sept minutes de jeu au troisième vingt. Desbiens a bloqué 26 tirs devant le filet.

À surveiller

Jocelyne Larocque deviendra la première défenseure à avoir disputé 200 matchs avec l’équipe nationale féminine du Canada. Depuis plus d’une décennie, l’athlète de 36 ans a été une pierre angulaire de la ligne bleue canadienne. Elle deviendra la cinquième à atteindre ce plateau, que Poulin a atteint plus tôt dans le tournoi. Jusqu’à maintenant à České Budějovice, en plus de faire preuve de fiabilité à la ligne bleue comme à son habitude, Larocque a récolté trois aides et maintenu un différentiel de +5. En attaque, Poulin continue de paver la voie avec quatre buts et sept aides en six matchs, ce qui la place en tête de la liste des meilleures pointeuses du tournoi. La chimie entre la joueuse de 34 ans et ses coéquipières de la Victoire de Montréal, Jenn Gardiner et Laura Stacey, est indéniable : ensemble, elles affichent 11 buts et 27 points en six affrontements et ont un différentiel combiné de +31.

Les Américaines ont déployé une offensive bien répartie au fil de leurs deux premiers matchs, avec six joueuses différentes obtenant au moins quatre points (Carpenter, Janecke, Keller, Knight, Murphy, Pannek). Hilary Knight maintient un niveau de jeu élevé à son 15 e Mondial féminin. La capitaine des États-Unis pointe déjà au premier rang de tous les temps pour le nombre de buts (67) et de points (119) dans l’histoire du tournoi, et le 15 avril, elle a hissé son nom au premier rang de l’histoire dans la colonne des mentions d’aide, surpassant la légendaire Hayley Wickenheiser, qui en a obtenu 49. Knight en compte maintenant 52. Pannek est au premier rang de la colonne des pointeuses des États-Unis avec quatre buts et huit points en six parties.

Pour les adeptes de statistiques

Même si Poulin a surpassé Hayley Wickenheiser, qui était au tout premier échelon des meilleures pointeuses de l’histoire du Championnat mondial féminin de l’IIHF, Capitaine Canada vise aussi deux autres records. Elle a besoin de deux buts pour dépasser Jayna Hefford en tant que meilleure buteuse canadienne de tous les temps à ce tournoi et d’une mention d’aide pour détrôner Wickenheiser.

Rétrospective

Nous en sommes au chapitre 192 de la rivalité entre le Canada et les États-Unis, et les Canadiennes ont une 109 e victoire contre leurs plus grandes adversaires dans la mire.

La Tchéquie est devenue le 11 e pays différent à accueillir les rivales nord-américaines (après les suivants, dans l’ordre : Canada, Finlande, États-Unis, Japon, Suède, Italie, Chine, Russie, Corée du Sud et Danemark).

Fiche de tous les temps : Le Canada mène 108-82-1 (25-21 en PROL. ou TB)
Buts pour le Canada : 530
Buts pour les États-Unis : 467

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Canada c. Finlande

Aperçu du Mondial féminin : Canada c. Finlande

Samedi 19 avril | 13 h HE | České Budějovice, Tchéquie | Demi-finale

Jason La Rose
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19 April 2025

NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. FINLANDE (19 AVRIL)

Place au duel de demi-finale au Championnat mondial féminin 2025 de l’IIHF, où l’équipe nationale féminine du Canada affronte la Finlande dans le carré d’as au Budvar Arena samedi.

Dernier match de chaque équipe

Le Canada a confirmé sa place en demi-finale en battant le Japon 9-1 en quart de finale jeudi. Avec deux buts chacune, Jenn Gardiner et Sarah Fillier ont mené l’offensive des Canadiennes, qui ont décoché 62 tirs au but dans la rencontre. Claire Thompson a ajouté un but et deux aides, et Renata Fast a obtenu trois mentions d’aide. Au total, 14 patineuses ont noirci la feuille de pointage, dont Marie-Philip Poulin. La capitaine a célébré son 200 e match à l’international en inscrivant un 86 e point au Mondial féminin, ce qui la place à égalité avec Hayley Wickenheiser pour le plus grand nombre de points dans l’histoire du tournoi.

Les Finlandaises ont survécu à leurs voisines nordiques en quart de finale, battant la Suède 3-2 jeudi dans le premier match de la journée. Jennina Nylund et Ronja Savolainen ont fait mouche en première période, et Susana Tapani a inscrit le but de la victoire au milieu du deuxième tiers, après la riposte des Suédoises. La Finlande accédait ainsi à la ronde des médailles pour une deuxième année consécutive et pour la 22 e fois en 24 éditions du Mondial féminin depuis la toute première, en 1990.

Dernière rencontre entre les deux équipes

Le Canada et la Finlande ont croisé le fer jeudi dernier au premier match du Canada en ronde préliminaire, qu’il a gagné 5-0. Gardiner a marqué deux buts, Poulin a obtenu un but et une aide, et Kristen Campbell a été parfaite à son tout premier départ au Mondial féminin, réalisant 24 arrêts pour signer le jeu blanc.

À surveiller

Grande découverte chez les Canadiennes, Gardiner est la meilleure buteuse du tournoi, avec cinq buts en autant de matchs, et elle occupe, à égalité avec trois autres, le deuxième rang des pointeuses, avec sept points. À l’amorce du tournoi, elle n’avait auparavant disputé que quatre matchs au sein de l’équipe nationale féminine, et seulement 14 au total au sein des trois volets du programme féminin d’Équipe Canada. La joueuse de Surrey, en Colombie-Britannique, semble par ailleurs très bien s’intégrer, peu importe où l’entraîneur-chef Troy Ryan la place dans son alignement. Elle a entamé le tournoi en marquant deux fois au sein du premier trio aux côtés de Poulin et de Laura Stacey, puis elle a fait mouche à deux reprises sur le quatrième trio avec Kristin O’Neill et Emma Maltais contre les Japonaises. Gardiner sait très bien comment trouver le fond du filet. Elle a obtenu en moyenne plus d’un point par match à ses trois dernières saisons dans la NCAA avec l’Université Ohio State et a gagné deux titres nationaux avec les Buckeyes. Son talent offensif s’est très bien transposé au niveau professionnel dans la LPHF : Gardiner y occupe le deuxième rang des pointeuses chez les recrues avec 16 points (4-12—16) en 27 matchs, derrière Fillier.

Jenni Hiirikoski manque à la Finlande. Élue Meilleure défenseure du Mondial féminin à sept occasions, meneuse de tous les temps pour le plus grand nombre de matchs au tournoi (96) et capitaine dévouée des Finlandaises, Hiirikoski ne figure pas à la formation de l’équipe pour la première fois depuis 2003 en raison d’une mystérieuse maladie qui la tient à l’écart de la compétition depuis le mois de janvier, à l’exception de quatre matchs. En l’absence de la future membre du Temple de la renommée, Savolainen a pris les choses en main à la ligne bleue, inscrivant trois des dix buts des Finlandaises et jouant en moyenne plus de 21 minutes par match. Il faudra par ailleurs que les gardiennes de la Finlande rehaussent leur jeu d’un cran. Sanni Ahola, Anni Keisala et Emilia Kyrkko ont toutes gardé les buts jusqu’à présent, mais le trio occupe le dernier rang du classement avec un pourcentage d’arrêts combiné de 0,870.

Pour les adeptes de statistiques

Plusieurs jalons sont à la portée de Poulin. Capitaine Canada n’a besoin que de trois buts pour dépasser Jayna Hefford en tant que meilleure buteuse canadienne de tous les temps au Championnat mondial féminin de l’IIHF, et de deux aides et un point de plus pour détrôner Hayley Wickenheiser dans ces catégories.

Devant le filet, Ann-Renée Desbiens n’a besoin que d’un gain pour surpasser la légendaire cerbère suisse Florence Schelling et devenir la gardienne avec le plus grand nombre de victoires dans l’histoire du Mondial féminin, soit 22.

Rétrospective

Les Nord-Américaines ont maintenu l’ascendant au fil des affrontements entre les deux nations, le Canada ayant remporté 88 victoires et fait un match nul en 91 rencontres avec la Finlande.

Ce sera la 14 e fois que les Canadiennes et les Finlandaises s’affrontent en demi-finale au Mondial féminin. La 12 e fois, et la plus récente victoire du Canada, c’était en 2017 au Michigan; Poulin avait inscrit un but et une aide, et Shannon Szabados avait bloqué 23 tirs pour signer le jeu blanc dans un gain de 4-0.

Fiche de tous les temps : le Canada mène 88-2-1
Buts pour le Canada : 469
Buts pour la Finlande : 115

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Canada vs. Japan

Aperçu du Mondial féminin : Canada c. Japon

Jeudi 17 avril | 14 h 30 HE | České Budějovice, Tchéquie | Quart de finale

Jason LaRose
|
17 April 2025

NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. JAPON (17 AVRIL)

L’équipe nationale féminine du Canada passe en ronde éliminatoire et affronte le Japon en quart de finale jeudi au Championnat mondial féminin 2025 de l’IIHF.

Dernier match de chaque équipe

Le Canada a conclu sa ronde préliminaire lundi en s’imposant contre la Tchéquie par la marque de 7-1 pour confirmer sa deuxième place dans le groupe A. Marie-Philip Poulin a marqué deux fois pour donner une avance de 2-1 aux siennes après deux périodes, et les Canadiennes ont explosé au dernier tiers, inscrivant cinq buts, dont trois en l’espace de 58 secondes. Kristin O’Neill a elle aussi inscrit un doublé, Erin Ambrose a célébré son 100 e match sur la scène internationale avec deux mentions d’aide, et Sophie Jaques a complété la marque avec son premier filet pour Équipe Canada.

Les Japonaises ont terminé au deuxième rang du groupe B en l’emportant de justesse 1-0 contre l’Allemagne à leur dernier match préliminaire mardi. Miyuu Masuhara a été fantastique devant le filet, bloquant les 34 tirs dirigés vers elle, dont 17 en troisième période, au moment où les Allemandes redoublaient d’efforts pour niveler le pointage. Rui Ukita a marqué le seul but du Japon au début du deuxième tiers.

Dernière rencontre entre les deux équipes

Le Canada et le Japon ont croisé le fer en ronde préliminaire au Mondial féminin 2023 à Brampton, duel que les représentantes de l’unifolié ont gagné 5-0. Sarah Fillier avait mené l’offensive avec deux buts et une passe. Les Canadiennes avaient rapidement pris le contrôle de la rencontre, bombardant les Japonaises de 26 tirs au but en première période, pour finir avec un avantage de 60-11 à ce chapitre. Sarah Nurse avait ajouté un but et une aide, et Emerance Maschmeyer avait repoussé 11 tirs pour signer le jeu blanc.

À surveiller

À l’amorce du tournoi, trois membres d’Équipe Canada, toutes défenseures, étaient toujours en quête d’un premier but sur la scène internationale avec l’équipe senior. Micah Zandee-Hart a enfin trouvé le fond du filet contre la Suisse (à son 69e match!), et Jaques a noirci la colonne des buts contre la Tchéquie. Il ne reste plus que Chloe Primerano. La défenseure de 18 ans, qui pointe au troisième rang des plus jeunes joueuses à représenter le Canada au Mondial féminin, a bien fait jusqu’à présent, avec une moyenne de 13 min 31 s de temps de glace par match en trois rencontres préliminaires. Elle s’est fait remarquer sur la scène internationale en inscrivant un but gagnant spectaculaire en tirs de barrage contre les États-Unis lors de la Série de la rivalité en novembre, mais elle est toujours en quête de son premier but officiel. Primerano a par ailleurs l’habitude de trouver le fond du filet avec Équipe Canada : elle a marqué 18 fois en 21 parties au sein de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada, ce qui la place au deuxième rang à ce chapitre dans l’histoire du programme des M18.

Les Japonaises forment une équipe on ne peut plus disciplinée. En quatre matchs de la ronde préliminaire, le Japon n’a écopé que de deux punitions, n’a accordé qu’un seul avantage numérique et a joué plus de 136 minutes sans qu’une infraction soit signalée. Les prouesses de la gardienne de but sont également à surveiller. Masuhara a joué chaque seconde de la ronde préliminaire et affiche une moyenne de buts alloués de 1,01 et un pourcentage d’arrêts de 0,965 tout en occupant le second rang pour le nombre d’arrêts effectués (110).

Pour les adeptes de statistiques

Poulin est sur le point de devenir la cinquième joueuse à disputer 200 matchs avec l’équipe nationale féminine du Canada, mais ce n’est pas le seul jalon qui est à sa portée. Capitaine Canada n’a besoin que de trois buts pour dépasser Jayna Hefford en tant que meilleure buteuse canadienne de tous les temps au Championnat mondial féminin de l’IIHF, et de trois aides et deux points de plus pour détrôner Hayley Wickenheiser dans ces catégories.

Devant le filet, Ann-Renée Desbiens n’a besoin que d’un gain pour surpasser la légendaire cerbère suisse Florence Schelling et devenir la gardienne avec le plus grand nombre de victoires dans l’histoire du Mondial féminin, soit 22.

Rétrospective

Le Canada a été tout simplement dominant dans ses duels contre le Japon : il a remporté les huit rencontres de l’histoire entre les deux nations, a inscrit en moyenne 12 buts par match et n’en a concédé aucun.

Le plus grand nombre de buts marqués par le Canada dans un match international s’élève à 18, exploit qu’il a accompli trois fois, dont deux contre le Japon. Angela James et Vicky Sunohara avaient chacune réussi un tour du chapeau dans un gain de 18-0 à la toute première édition du Mondial féminin en 1990, et Wickenheiser et France St-Louis avaient aussi obtenu trois filets dans une victoire de 18-0 au Championnat Pacific Rim en 1996.

Fiche de tous les temps : le Canada mène 8-0
Buts pour le Canada : 96
Buts pour le Japon : 0

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Canada vs. Czechia

Aperçu du Mondial féminin : Canada c. Tchéquie

Lundi 14 avril | 13 h HE | České Budějovice, Tchéquie | Ronde préliminaire

Shannon Coulter
|
14 April 2025

NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. TCHÉQUIE (14 AVRIL)

Après s’être inclinée contre les États-Unis dimanche, l’équipe nationale féminine du Canada reprend le collier lundi et affronte l’équipe hôte de la Tchéquie à son dernier match de la ronde préliminaire du Championnat mondial féminin 2025 de l’IIHF.

Dernier match de chaque équipe

Toujours un match bien attendu en ronde préliminaire, l’affrontement entre les Canadiennes et les Américaines s’est conclu par une défaite de 2-1 du Canada, son premier revers au tournoi. Les États-Unis avaient une avance de 2-0 après deux périodes, avant que Laura Stacey ne marque en échappée pour réduire l’écart de moitié. Ann-Renée Desbiens a bloqué 26 tirs devant le filet.

Les Tchèques ont perdu leur deuxième match dans le groupe A samedi, s’inclinant 4-2 devant la Finlande. Tereza Vanisova a donné l’avance aux siennes au premier tiers, mais la Finlande a répliqué avec quatre buts consécutifs avant que Kristyna Kaltounkova ne trouve le fond du filet avec tout juste deux minutes à faire. Klara Peslarova a réalisé 24 arrêts.

Dernière rencontre entre les deux équipes

Le Canada et la Tchéquie ont croisé le fer pour la dernière fois en demi-finale du Mondial féminin 2024, et les Canadiennes avaient blanchi les Tchèques 4-0 avant de filer vers la conquête d’une 13 e médaille d’or. Blayre Turnbull avait ouvert la marque après 4 min 32 s de jeu, et Jocelyne Larocque avait donné au Canada une avance de 2-0 au premier entracte. Emily Clark et Sarah Fillier avaient été les autres buteuses chez les Canadiennes, et Ann-Renée Desbiens avait bloqué 9 tirs pour signer le jeu blanc.

À surveiller

Lors de tournois internationaux de courte durée, il est important de créer une bonne chimie au sein des trios et duos, et les représentantes de l’unifolié ont l’avantage de pouvoir miser, sur la scène internationale, sur le premier trio de la Victoire de Montréal. Jenn Gardiner, Marie-Philip Poulin et Laura Stacey sont les trois meilleures pointeuses de la Victoire, qui occupe le premier rang du classement de la LPHF, avec un total combiné de 31 buts et de 59 points. Après trois matchs à České Budějovice, les trois joueuses figurent parmi les 10 meilleures pointeuses du tournoi et affichent ensemble un total de 4 buts et de 14 points et un différentiel combiné de +17. Poulin a inscrit 1 but et 5 aides, ce qui la place en tête de la liste des meilleures pointeuses du tournoi et à quelques points de trois records de tous les temps sur le plan statistique (nous y reviendrons plus loin).

La formation tchèque compte de jeunes talents qui émergent cette saison. Natalie Mlynkova, l’une des coéquipières de Chloe Primerano à l’Université du Minnesota, a récolté 16 buts et 34 points à sa cinquième saison dans la NCAA, tandis qu’Adela Sapovalivova, 18 ans, a inscrit 15 buts et 36 points pour MoDo dans la ligue de hockey féminin de la Suède. Kaltounkova fait ses débuts dans l’équipe senior après être devenue la première joueuse tchèque à être nommée parmi les 10 finalistes au prix Patty-Kazmaier et est la meneuse de son équipe au tournoi avec deux buts.

Pour les adeptes de statistiques

Quelques plateaux importants sont à la portée de Poulin. Elle a besoin de cinq buts pour dépasser Jayna Hefford en tant que meilleure buteuse canadienne de tous les temps au Championnat mondial féminin de l’IIHF, et de trois aides et quatre points de plus pour détrôner Hayley Wickenheiser dans ces catégories.

Devant le filet, Desbiens a rejoint la cerbère suisse Florence Schelling pour le plus grand nombre de victoires dans l’histoire du Mondial féminin (21).

D’autres records de longévité sont également menacés du côté de la ligne bleue. Erin Ambrose atteindra les 100 parties en carrière avec Équipe Canada lorsqu’elle sautera sur la glace lundi, et il ne manque que quatre affrontements à Jocelyne Larocque pour devenir la première défenseure avec 200 matchs à son compteur.

Rétrospective

L’historique entre les deux nations au Championnat mondial féminin de l’IIHF est relativement récent. Les formations ne se sont affrontées qu’à trois reprises : une fois à Brampton en 2023, puis deux fois l’an dernier.

Fiche de tous les temps : le Canada mène 3-0-0
Buts pour le Canada : 14
Buts pour la Tchéquie : 1

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La Nouvelle-Écosse accueillera le Championnat mondial féminin des M18 2026 de l’IIHF

Le Mondial féminin des M18 revient en sol canadien pour la première fois depuis 2016

NR.017.25
|
13 April 2025

CALGARY, Alberta – Hockey Canada et la Fédération internationale de hockey sur glace (IIHF) ont annoncé que Sydney et Membertou, en Nouvelle-Écosse, accueilleront le Championnat mondial féminin des M18 2026 de l’IIHF en janvier prochain, où l’on pourra voir la relève du hockey féminin au Canada pour la première fois depuis 2016.

La proposition retenue pour l’accueil de cet événement est le fruit d’un partenariat entre Hockey Nouvelle-Écosse, la province de la Nouvelle-Écosse, la Municipalité régionale du Cap-Breton, la Première Nation de Membertou et l’Association de hockey féminin du Blizzard du Cap-Breton.

« Il y a trois mois, nous avons eu l’honneur d’annoncer une convention d’accueil historique conclue avec l’IIHF pour la tenue de cinq championnats féminins de la scène internationale au Canada entre 2026 et 2030 », a déclaré Katherine Henderson, présidente et chef de la direction de Hockey Canada. « Cette entente marque un nouveau chapitre dans la volonté de Hockey Canada de développer le hockey féminin. En ce sens, les communautés de Sydney et de Membertou nous semblent tout indiquées pour l’accueil du premier de ces cinq championnats, puisque le hockey féminin est en plein essor au Cap-Breton et partout en Nouvelle-Écosse.

« Ce tournoi fera briller les futures étoiles de l’équipe nationale féminine du Canada, et nous sommes ravis de donner aux fédérations participantes l’occasion de découvrir l’hospitalité chaleureuse du Cap-Breton, d’inspirer la prochaine génération de hockeyeuses et de tisser des liens avec la population locale tout au long du championnat. »

Les meilleures joueuses de la relève à l’échelle mondiale se donneront en spectacle au Centre 200, un aréna de 5 000 places qui sert de domicile aux Eagles du Cap-Breton dans la Ligue de hockey junior des Maritimes, et au Membertou Sport and Wellness Centre, qui compte 1 250 sièges.

« À mon esprit, il n’y a pas de meilleur endroit au monde où assister à l’essor du hockey féminin qu’ici au Cap-Breton », a affirmé Cecil Clarke, maire de la Municipalité régionale du Cap-Breton. « Nous sommes emballés d’accueillir la crème de la prochaine génération de joueuses et d’inspirer l’excellence ici, au Canada et partout sur la planète. »

Huit pays participeront à l’événement : le Canada, les États-Unis, la Finlande, la Hongrie, la Slovaquie, la Suède, la Suisse et la Tchéquie. L’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada défendra son titre à domicile après avoir remporté une huitième médaille d’or plus tôt cette année en Finlande. Le Canada a grimpé sur la plus haute marche du podium lors de quatre des six éditions précédentes du tournoi.

« C’est un moment qui remplit notre province et notre communauté du hockey de fierté », a dit Leijsa Wilton, présidente du conseil du hockey féminin de Hockey Nouvelle-Écosse. « En plus de montrer à quel point le hockey féminin profite d’un merveilleux élan en Nouvelle-Écosse, l’accueil de cet événement à Sydney et à Membertou envoie un puissant message aux jeunes athlètes que leurs rêves peuvent prendre forme dans nos arénas et sur nos patinoires. Nous savons que cet événement inspirera et élèvera le hockey féminin dans toutes ses sphères partout dans la province. Ce sera un énorme plaisir pour nous d’accueillir certaines des meilleures joueuses du monde au Cap-Breton l’an prochain. »

Pour recevoir les dernières nouvelles concernant le Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF et obtenir l’occasion d’acheter des billets dès leur mise en vente, vous pouvez maintenant vous inscrire sur la liste prioritaire. Il s’agit de la meilleure chance de voir l’équipe nationale féminine des M18 du Canada en action en Nouvelle-Écosse.

Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et le Championnat mondial féminin des M18 2026 de l’IIHF, veuillez consulter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux Facebook, X, Instagram et TikTok.

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Canada c. États-Unis

Aperçu du Mondial féminin : Canada c. États-Unis

Dimanche 13 avril | 13 h HE | České Budějovice, Tchéquie | Ronde préliminaire

Jason La Rose
|
13 April 2025

NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (13 AVRIL)

L’équipe nationale féminine du Canada reprendra l’action dimanche dans le duel le plus attendu de la ronde préliminaire du Championnat mondial féminin 2025 de l’IIHF lorsqu’elle affrontera les États-Unis avec la première place du groupe A à l’enjeu.

Dernier match de chaque équipe

Le Canada a porté sa fiche à deux victoires – et deux jeux blancs – en autant de matchs grâce à un blanchissage de 4-0 contre la Suisse vendredi. Marie-Philip Poulin a récolté trois aides, Micah Zandee-Hart a marqué son premier but avec Équipe Canada à son 69 e match à l’international, et les Canadiennes ont frappé trois fois en 2 min 32 s à mi-chemin de la deuxième période – des buts inscrits par Natalie Spooner, Laura Stacey et Daryl Watts (avec son premier à l’international également) – pour s’imposer. Ann-Renée Desbiens a prouvé qu’elle était bel et bien prête à revenir au jeu après sa blessure en repoussant les 17 tirs dirigés vers elle pour signer le jeu blanc.

Les Américaines ont aussi fait passer leur dossier à 2-0 vendredi en défaisant l’équipe hôte de la Tchéquie par un blanchissage de 4-0. Abbey Murphy a touché la cible dans chacune des deux premières périodes, puis au dernier tiers, les vétérantes Hilary Knight et Alex Carpenter ont accentué l’avance des États-Unis, qui ont dominé les Tchèques 48-10 au chapitre des tirs au but. Megan Keller a ajouté trois aides dans la victoire, et Gwyneth Philips a réussi le jeu blanc.

Dernière rencontre entre les deux équipes

La Série de la rivalité s’est conclue le 8 février à Summerside, à l’Île-du-Prince-Édouard, où les Canadiennes ont remporté la série pour une troisième année consécutive grâce à un gain de 3-1 lors du cinquième et ultime match. Jenn Gardiner avait compté son premier but sur la scène internationale avec moins de sept minutes à jouer. Il s’agirait du but gagnant pour les Canadiennes, qui avaient aussi obtenu des buts de Brianne Jenner et Stacey.

À surveiller

Les jeunes talents que sont Gardiner, Watts et Chloe Primerano ont apporté une nouvelle dimension à la formation depuis le début de l’événement, mais c’est encore Poulin qui bat la mesure pour l’équipe canadienne. Même si la capitaine s’approche du plateau des 200 rencontres en carrière (plus que trois parties avant qu’elle devienne la quatrième joueuse à atteindre cette marque), elle ne montre aucun signe de ralentissement. Son total d’un but et de quatre aides lors des deux premiers matchs la place en tête de la liste des meilleures pointeuses du tournoi et à quelques points de trois records de tous les temps sur le plan statistique (nous y reviendrons plus loin). En outre, la chimie entre l’athlète de 34 ans et ses coéquipières de la Victoire de Montréal Gardiner et Stacey est indéniable : ensemble, elles affichent 4 buts et 11 points en deux affrontements et un différentiel combiné de +14.

Les Américaines ont déployé une offensive bien répartie au fil de leurs deux premiers matchs, avec cinq joueuses différentes obtenant au moins trois points (Carpenter, Keller, Knight, Murphy, Pannek). Knight maintient un niveau de jeu élite à son 15 e Mondial féminin. La capitaine des États-Unis pointe déjà au premier rang de tous les temps pour le nombre de buts (67) et de points (114) dans l’histoire du tournoi, et seulement deux aides la séparent du record à ce chapitre (elle en a 47). Mais sa coéquipière Kendall Coyne Schofield en compte autant, et Poulin suit avec 46, donc elles risquent toutes trois de dépasser la légendaire Hayley Wickenheiser et ses 49 aides d’ici à ce qu’une équipe championne soit couronnée à České Budějovice.

Pour les adeptes de statistiques

Comme nous le disions, quelques plateaux importants sont à la portée de Poulin. Elle a besoin de cinq buts pour dépasser Jayna Hefford en tant que meilleure buteuse canadienne de tous les temps au Championnat du monde féminin de l’IIHF, et de quatre aides et cinq points de plus pour détrôner Wickenheiser dans ces catégories.

Devant le filet, le gain de Desbiens lui a permis de rejoindre la cerbère suisse Florence Schelling pour le plus grand nombre de victoires dans l’histoire du Mondial féminin (21). On ne connaîtra pas l’identité de la gardienne partante contre les États-Unis avant les heures qui précéderont le duel, mais Desbiens montre une fiche de 19-8 avec une moyenne de buts alloués de 2,28 et un pourcentage d’arrêts de 0,908 en carrière contre les Américaines.

D’autres records de longévité sont également menacés, du côté de la ligne bleue. Erin Ambrose est à deux apparitions d’atteindre les 100 parties en carrière avec Équipe Canada, et il ne manque que cinq affrontements à Jocelyne Larocque pour devenir la première défenseure avec 200 matchs à son compteur.

Rétrospective

Nous en sommes au chapitre 191 de la rivalité entre le Canada et les États-Unis, et les Canadiennes ont une 109 e victoire contre leurs plus grandes adversaires dans la mire.

Il s’agira d’un tout premier duel en Tchéquie, qui devient ainsi le 11 e pays différent à avoir accueilli les rivales nord-américaines (après les suivants, dans l’ordre : Canada, Finlande, États-Unis, Japon, Suède, Italie, Chine, Russie, Corée du Sud et Danemark).

Fiche de tous les temps : le Canada mène 108-81-1 (25-21 en PROL. ou TB)
Buts pour le Canada : 529
Buts pour les États-Unis : 465

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Mathieu Turcotte, Travis Crickard, Cory Stillman et Dan De Palma.

Annonce du personnel de l’équipe nationale masculine des moins de 18 ans pour le Championnat mondial masculin des M18 2025 de l’IIHF

Dix-huit joueurs sélectionnés pour le camp préparatoire en vue du Mondial masculin des M18

NR.016.25
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12 April 2025

CALGARY, Alberta – À moins de deux semaines du Championnat mondial masculin des M18 2025 de l’IIHF, Hockey Canada a dévoilé la composition du personnel qui formera et dirigera l’équipe nationale masculine des moins de 18 ans du Canada, bientôt en action à Frisco et à Allen, au Texas.

Scott Walker (Guelph, ON/Guelph, OHL), directeur général, sera épaulé au sein du groupe de gestion par Kyle Turris (New Westminster, BC). Les deux travailleront aux côtés du dépisteur en chef Byron Bonora (Brooks, AB) et du directeur des activités hockey Benoit Roy (Sudbury, ON), avec le soutien de Scott Salmond (Creston, BC), premier vice-président de la haute performance et des activités hockey.

Par ailleurs, le double champion de la Coupe Stanley Cory Stillman (Peterborough, ON/Guelph, OHL) a été nommé entraîneur-chef de l’équipe. Travis Crickard (St. John’s, NL/Saint John, LHJMQ) occupera le poste d’entraîneur associé, tandis que Mathieu Turcotte (Kirkland, QC/Blainville-Boisbriand, LHJMQ) agira comme entraîneur adjoint, et Dan De Palma (Kamloops, BC/Kamloops, WHL), comme consultant des gardiens de but.

« Nous sommes ravis de dévoiler le groupe de gestion, le personnel entraîneur et le personnel de soutien de l’équipe nationale masculine des moins de 18 ans du Canada, un groupe de calibre mondial motivé à défendre notre titre au Texas, a déclaré Roy. Chacun des membres du personnel possède une riche expérience, acquise au fil de divers événements internationaux ainsi que dans Ligue canadienne de hockey. Nous sommes impatients de nous retrouver tous ensemble et d’amorcer le travail pour atteindre notre objectif d’une deuxième médaille d’or consécutive au Mondial masculin des M18. »

Stillman a récemment complété sa première saison à titre d’entraîneur-chef du Storm de Guelph dans la Ligue de hockey de l’Ontario (OHL) après avoir occupé un poste d’entraîneur adjoint pendant quatre campagnes (2020-2024) avec les Coyotes de l’Arizona. Il a également été entraîneur-chef des Wolves de Sudbury dans l’OHL pendant trois saisons (2017-2020), directeur du développement des joueurs pour les Hurricanes de la Caroline (2012-2013) et entraîneur en développement des joueurs pour les Panthers de la Floride (2011-2012) Il a disputé au total 1 025 parties durant sa carrière comme joueur dans la LNH, remportant la Coupe Stanley avec le Lightning de Tampa Bay en 2004 et avec la Caroline en 2006, en plus d’avoir représenté le Canada lors du Championnat mondial 1999 de l’IIHF.

Crickard a récemment conclu sa troisième saison comme entraîneur-chef des Sea Dogs de Saint John dans la LHJMQ après une saison dans un rôle d’adjoint. Il a également été à l’emploi des 67’s d’Ottawa dans l’OHL (2013-2014) et des Rockets de Kelowna dans la Ligue de hockey de l’Ouest (2014-2019). Plus récemment, il a mis la main sur la médaille d’argent à la barre d’Équipe Canada Rouges au Défi mondial des M17 2024. Il a aussi remporté deux médailles d’or avec l’équipe nationale masculine des moins de 18 ans du Canada au Championnat mondial des M18 de l’IIHF – l’une en 2024 en tant qu’adjoint, et l’autre en 2021 à titre d’entraîneur vidéo. Crickard était entraîneur adjoint de l’équipe de hockey masculin du Canada qui a terminé en quatrième position aux Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver de 2024, en plus d’avoir été entraîneur vidéo (2016) et entraîneur adjoint (2017) d’Équipe Canada Noirs au Défi mondial de hockey des moins de 17 ans, gagnant la médaille d’argent en 2016.

Turcotte vient quant à lui de terminer sa deuxième saison comme entraîneur-chef de l’Armada de Blainville-Boisbriand dans la Ligue de hockey junior Maritimes Québec (LHJMQ). Avant de se joindre au club, il a dirigé le Blizzard du Séminaire Saint-François dans la Ligue de hockey M18 AAA du Québec (LHM18AAAQ), mettant la main sur l’or au Championnat national masculin des clubs de M18 2023. Il a également passé trois saisons avec les Voltigeurs de Drummondville dans la LHJMQ à titre d’entraîneur adjoint (2019-2022) et six avec les Chevaliers de Lévis de la LHM18AAAQ comme entraîneur adjoint (2008-2010) et DG/entraîneur-chef (2015-2019). À cela s’ajoutent des séjours en tant qu’adjoint chez les Foreurs de Val-d’Or (2010-2012) et les Saguenéens de Chicoutimi (2012-2014) dans la LHJMQ. Sur la scène internationale, Turcotte a mis la main sur la médaille d’or à la barre d’Équipe Canada Blancs au Défi mondial des M17 2024.

Voici les membres du personnel de soutien qui travailleront auprès de l’équipe nationale masculine des moins de 18 ans du Canada au Championnat mondial masculin des M18 2025 de l’IIHF :

  • L’entraîneur vidéo Matthew Smith (Tatamagouche, NB/Acadie-Bathurst, LHJMQ)
  • L’entraîneur en développement des habiletés Dean Seymour (Saskatoon, SK)
  • Les thérapeutes en sport Andy Brown (Montréal, QC/Owen Sound, OHL) et Terence Robertson (Red Deer, AB/Red Deer, WHL)
  • Le médecin de l’équipe Dr Nolan Rau (Summerland, BC/Kelowna, WHL)
  • Le responsable de l’équipement A.J. Murley (St. John’s, NL)
  • Le préparateur physique Sean Young (Ennismore, ON/Ottawa, OHL)
  • Le coordonnateur des activités hockey Jared Power (Calgary, AB)

Dix-huit joueurs invités au camp préparatoire en vue du Championnat mondial masculin des M18 2025 de l’IIHF

Hockey Canada a également dévoilé le nom des 18 joueurs qui seront du camp préparatoire de l’équipe nationale masculine des moins de 18 ans du Canada, qui se tiendra du 12 au 15 avril à Oakville, en Ontario, en vue du Championnat mondial masculin des M18 2025 de l’IIHF.

Les joueurs qui seront du camp ont été sélectionnés par Walker et Bonora, avec l’aide de Turris, Roy et De Palma. Le groupe comprend trois gardiens de but, six défenseurs et neuf avants, et compte un joueur qui a remporté l’or au Mondial masculin des M18 2024 (Ivankovic), en plus de six qui ont mis la main sur le titre à la Coupe Hlinka-Gretzky (Beauchesne, Cootes, Czata, Ivankovic, Martin, Smith). La liste inclut aussi dix-sept joueurs qui ont porté les couleurs du Canada au Défi mondial des M17 (Beauchesne, Carels, Chartrand, Cootes, Czata, Di Iorio, Edwards, Ellsworth, Ivankovic, Katzin, Lin, Martin, Mbuyi, Roobroeck, Smith, Villeneuve, Wassilyn) et six qui en ont fait autant lors des Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver de 2023 (Chartrand, Di Iorio, Edwards, Ellsworth, Lin, Wassilyn).

« Nous sommes très heureux de dévoiler le nom des 18 joueurs qui seront du camp à Oakville en vue du Mondial masculin des M18 2025, a commenté Walker. Nous sommes convaincus d’avoir réuni un groupe talentueux dont l’expérience et les succès à l’international nous seront fort utiles durant le tournoi. C’est sans compter l’excellent personnel en place, qui saura aider nos joueurs dans leur mission. S’il est vrai que nous gardons un œil sur les séries éliminatoires dans la Ligue canadienne de hockey, nous sommes déjà impatients d’entamer notre parcours d’ici quelques semaines au Texas, en espérant défendre notre titre. »

Des ajouts à la formation seront annoncés au cours des prochaines semaines à l’issue de la deuxième ronde des séries éliminatoires de la Ligue canadienne de hockey (LCH). La formation définitive pour le Championnat mondial masculin des M18 2025 de l’IIHF sera annoncée avant le début du tournoi.

L’équipe nationale masculine des moins de 18 ans du Canada se réunira au Sixteen Mile Sports Complex à Oakville, avant de prendre la direction du Texas. Elle affrontera l’Allemagne le 19 avril à 15 h HE / 12 HP puis la Suède le 21 avril à 18 h HE / 15 h HP dans le cadre de son calendrier préparatoire au Children’s Health StarCenter de Farmers Branch, au Texas.

Le Championnat mondial masculin des M18 2025 de l’IIHF s’amorce officiellement le 23 avril et prend fin le 3 mai avec les matchs pour les médailles. Le Canada croisera le fer avec la Slovaquie, la Lettonie, la Finlande et la Norvège en ronde préliminaire. TSN et RDS, partenaires officiels de diffusion de Hockey Canada, présenteront 16 et 10 rencontres respectivement pendant le tournoi. TSN diffusera toutes les parties d’Équipe Canada en ronde préliminaire, de même que les quarts de finale, les demi-finales et les matchs pour des médailles, tandis que RDS présentera tous les matchs d’Équipe Canada en ronde préliminaire, deux quarts de finale, les demi-finales et les matchs pour des médailles.

Pour en savoir plus sur le Championnat mondial masculin des M18 2025 de l’IIHF, veuillez consulter le site officiel du tournoi au IIHF.com.

Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et l’équipe nationale masculine des M18 du Canada, veuillez visiter HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux sur FacebookX, Instagram et TikTok.

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Canada c. Suisse

Aperçu du Mondial féminin : Canada c. Suisse

Vendredi 11 avril | 9 h HE | České Budějovice, Tchéquie | Ronde préliminaire

Shannon Coulter
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11 April 2025

NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. SUISSE (11 AVRIL)

Moins de 18 heures après la victoire de l’équipe nationale féminine du Canada à son premier match du Championnat mondial féminin 2025 de l’IIHF, les représentantes de l’unifolié ont rendez-vous avec la Suisse en ronde préliminaire du tournoi au Budvar Arena.

Dernier match de chaque équipe

Départ canon pour le Canada, qui a blanchi la Finlande 5-0 jeudi. Jennifer Gardiner, qui disputait un premier match en carrière au Mondial féminin, a mené l’offensive des siennes avec deux buts et une mention d’aide. Ella Shelton, Marie-Philip Poulin et Emma Maltais ont été les autres buteuses de la rencontre, et Kristen Campbell a bloqué 24 tirs pour signer le jeu blanc à son premier départ au tournoi.

La Suisse a entamé son tournoi mercredi par une défaite de 3-0 contre l’équipe hôte de la Tchéquie. Les Suisses ont dirigé 26 tirs vers Klara Peslarova et ont bénéficié de six occasions en avantage numérique, mais en vain. Andrea Brändli a réalisé 26 arrêts.

Dernière rencontre entre les deux équipes

Les Canadiennes ont affronté les Suisses en ronde préliminaire du Mondial féminin l’an dernier, blanchissant leurs adversaires au compte de 3-0. Emma Maltais avait inscrit le Canada au pointage 70 secondes après le début du match, et Sarah Nurse avait doublé l’avance un peu plus de six minutes plus tard. Sarah Filler avait complété la marque dans un filet désert, et Emerance Maschmeyer avait bloqué 17 tirs pour signer le jeu blanc.

À surveiller

Maschmeyer et Ann-Renée Desbiens ayant été toutes deux blessées au bas du corps en mars, Campbell et Ève Gascon ont l’occasion de briller sur la scène internationale. En 19 matchs avec les Sceptres de Toronto cette saison, Campbell présente une moyenne de buts alloués de 2,23 et un pourcentage d’arrêts de 0,913. Gascon vient de terminer sa deuxième année à l’Université du Minnesota à Duluth et a été nommée à la première équipe des étoiles américaines grâce à une moyenne de buts alloués de 1,83 et à un pourcentage d’arrêts de 0,942.

L’offensive de la Suisse est propulsée par Lara Stalder et Alina Müller, qui ont représenté leur nation à trois éditions des Jeux olympiques. Stalder, la capitaine, a inscrit 27 buts et 50 points en 22 matchs avec l’EV de Zoug dans la Women’s League, tandis que Müller poursuit actuellement sa deuxième saison dans la LPHF, où elle a récolté 7 buts et 19 points avec le Fleet de Boston. Brändli a offert une solide performance au Mondial féminin l’an dernier à Utica, ayant fait face à 173 tirs en 5 rencontres et présentant un pourcentage d’arrêts de 0,921.

Pour les adeptes de statistiques

Brianne Jenner n’est qu’à un but du plateau des 50 en carrière avec Équipe Canada. Si elle l’atteint, elle deviendra la 14 e joueuse à y arriver. Stacey est à 3 points des 50 en carrière. Marie-Philip Poulin pourrait battre plusieurs records canadiens à cette édition du Mondial féminin : les records pour le nombre de buts (5), de passes (7) et de points (8) par une Canadienne au tournoi sont à la portée de la capitaine. Elle est également à 4 matchs du plateau des 200 en carrière avec Équipe Canada, tandis que Jocelyne Larocque doit jouer encore 6 matchs pour devenir la première défenseure à atteindre les 200 matchs.

Rétrospective

Étonnamment, le Canada et la Suisse ne se sont affrontés que 20 fois depuis 1997, mais les deux nations ont souvent croisé le fer aux quatre dernières éditions du Mondial féminin.

Leur dernier duel en Europe remonte à la demi-finale du tournoi en 2022 au Danemark, que les Canadiennes avaient emportée 8-1. Poulin (2-1—3) et Fillier (1-2—3) avaient toutes deux inscrit trois points.

Fiche de tous les temps : le Canada mène 20-0-0
Buts pour le Canada : 155
Buts pour la Suisse : 9

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Kyle Dubas.

Kyle Dubas nommé directeur général en vue du Championnat mondial 2025 de l’IIHF

Dubas effectue un retour au sein de l’équipe nationale masculine, avec qui il a occupé le poste de DG associé au Mondial masculin de 2024

NR.015.25
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10 April 2025

CALGARY, Alberta – Hockey Canada a annoncé que Kyle Dubas (Sault Ste. Marie, ON/Pittsburgh, LNH) agira à titre de directeur général de l’équipe nationale masculine du Canada à l’occasion du Championnat mondial 2025 de l’IIHF, qui se tiendra du 9 au 25 mai à Stockholm, en Suède, et à Herning, au Danemark.

Dubas, qui a récemment aidé Équipe Canada à remporter la Confrontation des 4 nations, revient au Mondial masculin pour une deuxième année consécutive après avoir été directeur général associé en 2024. Il sera appuyé par le conseiller en relations avec les joueurs Ryan Getzlaf (Regina, SK/Anaheim, LNH) et par Scott Salmond (Creston, BC), premier vice-président de la haute performance et des activités hockey.

De plus, un comité de sélection formé de quatre dirigeants de la LNH ─ Dennis Bonvie (Antigonish, NS/Boston, LNH), Gregory Campbell (Tilsonburg, ON/Florida, LNH), Andrew Cogliano (Woodbridge, ON/Colorado, LNH) et Jason Spezza (Mississauga, ON/Pittsburgh, LNH) ─ contribuera à l’évaluation et à la sélection des joueurs en vue du Championnat mondial 2025 de l’IIHF.

Dubas et le comité de sélection ont été choisis par Doug Armstrong (Sarnia, ON/St. Louis, LNH), directeur administratif de l’équipe nationale masculine du Canada, avec l’appui de Salmond et de Katherine Henderson (Thunder Bay, ON), présidente et chef de la direction de Hockey Canada, qui font partie d’un comité de direction en préparation pour les Jeux olympiques d’hiver de 2026.

« Kyle est un excellent directeur général, et sa récente expérience à la Confrontation des 4 nations et au Mondial masculin de l’an dernier sera bénéfique pour former et guider l’équipe nationale masculine du Canada, qui tentera de reconquérir le titre au Championnat mondial de l’IIHF, a déclaré Armstrong. Kyle maintient de bonnes relations avec les joueurs et les membres du personnel des équipes de la LNH, et nous sommes certains qu’il est la meilleure personne, en tant que membre du groupe de gestion en vue des Jeux olympiques de 2026, pour guider Équipe Canada lors du tournoi à Stockholm et Herning en mai. Il profitera aussi de l’expertise de Dennis, Gregory, Andrew et Jason. »

Dubas en est à sa deuxième saison à titre de directeur général et président des activités hockey des Penguins de Pittsburgh. Auparavant, il a passé neuf campagnes avec les Maple Leafs de Toronto, dont cinq (2018-2023) en tant que directeur général. À Toronto, il est devenu l’un des plus jeunes DG de l’histoire de la LNH, devancé par une seule autre personne à ce chapitre. Il a également évolué comme directeur général adjoint et DG des Marlies de Toronto de la Ligue américaine de hockey (AHL) pendant quatre saisons (2014-2018), menant l’équipe à son premier championnat de la Coupe Calder en 2018. Dubas a amorcé sa carrière de dirigeant avec les Greyhounds de Sault Ste. Marie dans la Ligue de hockey de l’Ontario (OHL), passant quatre saisons (2003-2007) dans un rôle de recruteur et trois campagnes (2011-2014) en tant que directeur général. À l’international, il a remporté la Confrontation des 4 nations à titre de directeur du personnel des joueurs. Il occupera le même poste avec l’équipe olympique masculine du Canada lors des Jeux olympiques de 2026.

La formation complète ainsi que le personnel entraîneur et de soutien pour le Championnat mondial 2025 de l’IIHF seront annoncés au cours des prochaines semaines.

Le Canada amorcera le tournoi contre la Slovénie le 10 mai à 6 h 20 HE / 3 h 20 HP. Il a aussi rendez-vous avec la Lettonie, la France, l’Autriche, la Slovaquie, la Finlande et la Suède en ronde préliminaire. Le tournoi prendra fin le 25 mai avec les duels pour les médailles. L’équipe nationale masculine du Canada disputera deux matchs préparatoires avant le début du tournoi ─ un contre l’Autriche à Vienne le 4 mai et un autre face à la Hongrie à Budapest le 6 mai.

Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et l’équipe nationale masculine du Canada, veuillez visiter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux FacebookX, Instagram et TikTok.

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Pour plus d'informations :

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(403) 284-6484 

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Responsable, communications
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(403) 777-4567

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Responsable, communications organisationnelles
Hockey Canada

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Coupe TELUS 2025 : jour 2 (mardi 22 avril)
Les Chevaliers, les Pat Canadians et les Rockets l’emportent mardi à Chilliwack.
Coupe Esso 2025 : lundi 21 avril (ronde préliminaire)
Edmonton, Laurentides-Lanaudière et North York récoltent des points au jour 2 de la Coupe Esso 2025.
Coupe TELUS 2025 : jour 1 (dimanche 21 avril)
Les Canucks, les Chevaliers et les Pat Canadians l’emportent au jour 1 à Chilliwack.
Coupe Esso 2025 : dimanche 20 avril (ronde préliminaire)
Edmonton, Lloydminster et Saskatoon l’emportent au jour 1 de la Coupe Esso 2025.
CMF 2025 : USA 4 – CAN 3 PROL. (médaille d’or)
Fillier force la tenue d’une prolongation, mais le Canada s’incline.
CMF 2025 : CAN 8 – FIN 1 (demi-finale)
Poulin a battu un record de buts dans un gain du Canada en demi-finale.
CMF 2025 : CAN 9 – JPN 1 (quart de finale)
Gardiner et Fillier marquent deux buts, et le Canada accède à la demi-finale.
CMF 2025 : CAN 7 – CZE 1 (ronde préliminaire)
Poulin et O’Neill ont deux buts dans un gain du Canada face aux hôtes.
CMF 2025 : USA 2 – CAN 1 (ronde préliminaire)
Stacey marque, mais le Canada perd un premier duel au Mondial féminin.
2025 WWC: CAN 4 – SUI 0 (Preliminary)
Poulin obtient trois aides dans un gain du Canada sur la Suisse.
CMF 2025 : CAN 5 – FIN 0 (ronde préliminaire)
Gardiner inscrit deux buts, et le Canada blanchit la Finlande en lever de rideau.
ENP 2025 : CAN 2 – USA 1 (Match no 3)
Lelièvre et Boily marquent, et le Canada conclut la série sur un gain.
Horaire
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Lloydminster, AB, Canada
avr. 20 - 26
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Fraser Valley, BC, Canada
avr. 21 - 27
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Frisco et Allen, Texas, États-Unis
avr. 23 - mai 03
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Stockholm, Suède et Herning, Danemark
mai 09 - 25
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Buffalo, New York, États-Unis
mai 24 - 31