Le programme national féminin du Canada annonce les formations pour la série de décembre et la Coupe des nations
L'équipe nationale féminine affrontera les États-Unis lors de la série de décembre de deux matchs; l'équipe nationale féminine de développement tentera de défendre son titre à la Coupe des nations
CALGARY, Alb. – Quarante des meilleures joueuses du pays ont été choisies pour porter le rouge et le blanc au sein de deux équipes nationales féminines à la série de décembre et à la Coupe des nations.
Les deux équipes – l'équipe nationale féminine du Canada et l'équipe nationale féminine de développement du Canada – ont été choisies par Melody Davidson, directrice générale des programmes de l'équipe nationale féminine de Hockey Canada, avec l'aide de Gina Kingsbury, directrice des programmes de l’équipe nationale féminine de Hockey Canada, de dépisteurs régionaux de Hockey Canada et du personnel des entraîneurs des équipes.
« Ces événements marquent des étapes critiques dans le processus de sélection pour le Championnat mondial féminin de l'IIHF et la centralisation de l'équipe en préparation des Jeux olympiques d'hiver de 2018 », a affirmé Davidson. « Alors que nous nous dirigeons vers le choix de ces formations, nous utiliserons la série de décembre et la Coupe des nations pour évaluer nos joueuses sur la scène internationale. »
L'équipe nationale féminine du Canada affrontera ses rivales à Sarnia, Ontario.
Du 13 au 20 décembre, 22 joueuses (2 gardiennes de but, 7 défenseures et 13 avants) affronteront les États-Unis lors de la série de décembre de deux matchs à Sarnia, Ontario, et à Plymouth, Michigan.
L’équipe nationale féminine du Canada pour la première série de décembre comprend :
- 14 joueuses qui ont remporté une médaille d’argent avec l’équipe nationale féminine du Canada au Championnat mondial féminin 2016 de l’IIHF (Agosta, Clark, Fortino, Jenner, Johnston, Krzyzaniak, Larocque, Mikkelson, Poulin, Rougeau, Saulnier, Spooner, Turnbull, Wakefield);
- 12 joueuses qui ont remporté une médaille d’or avec l’équipe nationale féminine du Canada aux Jeux olympiques d’hiver de 2014 à Sotchi, Russie (Agosta, Fortino, Irwin, Jenner, Johnston, Larocque, Mikkelson, Poulin, Rougeau, Spooner, Szabados, Wakefield);
- 10 joueuses qui ont remporté une médaille d’argent avec l’équipe nationale féminine du Canada à la Coupe des 4 nations 2016 à Vierumäki, Finlande (Agosta, Ambrose, Fortino, Irwin, Jenner, Johnston, Larocque, Poulin, Spooner, Wakefield);
- 3 joueuses qui feront leurs débuts avec l’équipe nationale féminine du Canada à la série de décembre 2016 (Hart, A. Potomak, Shirley).
La série de deux matchs s'amorce à Plymouth le 17 décembre à 16 h 30 HE/13 h 30 HP au USA Hockey Arena. La finale aura lieu le 19 décembre à 19 h HE/16 h HP au Progressive Auto Sales Arena à Sarnia. L'horaire complet de la série est affiché ici.
L’équipe nationale féminine de développement du Canada tentera de défendre sa médaille d’or à la Coupe des nations
Du 4 au 7 janvier, 23 joueuses (2 gardiennes de but, 7 défenseures et 14 avants) tenteront de défendre leur titre à la Coupe des nations 2017 à Füssen, Allemagne, et Telfs, Autriche.
La Coupe des nations, qui a déjà porté le nom de Coupe Air Canada, Coupe MLP et Coupe Meco, rassemble l’équipe nationale féminine de développement du Canada et les équipes nationales de l’Allemagne, l'Autriche, la Finlande, la République tchèque, la Russie, la Suède et la Suisse à l’occasion d’un tournoi international de quatre jours.
L’équipe nationale féminine de développement du Canada pour la Coupe des nations 2017 comprend :
- 11 joueuses qui ont joué avec l'équipe nationale féminine de développement du Canada lors d’une série de trois matchs contre les États-Unis en août à Calgary (Agnew, Bach, Downie-Landry, Gosling, Hart, Howe, Krzyzaniak, Leslie, Nurse, O’Neill, Potomak);
- 7 joueuses qui ont remporté une médaille d’or avec l’équipe nationale féminine de développement du Canada à la Coupe des nations 2016 (Ambrose, Bach, Gosling, Hart, Lacquette, Leslie, L. Stacey);
- 7 joueuses qui ont remporté une médaille d’argent avec l’équipe nationale féminine du Canada au Championnat mondial féminin 2016 de l’IIHF (Clark, Davis, Krzyzaniak, Howe, Lacquette, Maschmeyer, Saulnier);
- 3 joueuses qui en seront à leurs débuts avec l’équipe nationale féminine de développement du Canada à la Coupe des nations (Bourbonnais, Giguère, B. Stacey).
Avant son premier match le 4 janvier contre la République tchèque à Füssen, l’équipe nationale féminine de développement du Canada participera à un match hors concours contre l'Allemagne le 2 janvier. L'horaire complet du tournoi est affiché ici.
Après la série de décembre et la Coupe des nations 2017, les dépisteurs de Hockey Canada et le personnel des entraîneurs continueront d’évaluer les joueuses auprès de leur équipe de club durant la saison 2016-2017 en vue du championnat mondial qui aura lieu à Plymouth en avril.
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Quarante-huit joueuses invitées au camp de septembre de l’équipe nationale féminine, présenté par BFL CANADA
Vingt et une championnes du monde parmi le groupe de joueuses qui commenceront la saison 2024-2025 à Thorold
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a dévoilé le nom de 48 des meilleures hockeyeuses au pays qui participeront au camp de septembre de l’équipe nationale féminine, présenté par BFL CANADA, du 9 au 15 septembre au Canada Games Park de Thorold, en Ontario.
Six gardiennes de but, 16 défenseures et 26 avants ont été choisies par la directrice générale Gina Kingsbury (Rouyn-Noranda, QC/Toronto, LPHF), la première responsable du développement des joueuses et du dépistage Cherie Piper (Scarborough, ON) et l’entraîneur-chef Troy Ryan (Spryfield, NS/Toronto, LPHF). Les entraîneuses adjointes Kori Cheverie (New Glasgow, NS/Montréal, LPHF), Caroline Ouellette (Montréal, QC/Université Concordia, RSEQ) et Britni Smith (Port Perry, ON/Université de Syracuse, CHA), de même que le consultant des gardiennes de but Brad Kirkwood (Calgary, AB/Toronto, LPHF), ont aussi contribué à la sélection.
« Il s’agit d’une occasion en or d’évaluer la profondeur de notre groupe de joueuses et de donner le ton en vue de la prochaine saison, a mentionné Kingsbury. Nous continuerons aussi à progresser et à forger notre identité collective au fil de notre préparation pour la Série de la rivalité jusqu’au prochain Championnat mondial féminin de l’IIHF qui sera présenté en avril en Tchéquie. »
La liste de joueuses en comprend 21 qui ont remporté la 13e médaille d’or du Canada au Championnat mondial féminin 2024 de l’IIHF (Ambrose, Bell, Bourbonnais, Campbell, Clark, Desbiens, Fast, Fillier, J. Gosling, N. Gosling, Jenner, Larocque, Maltais, Nurse, O’Neill, Poulin, Rattray, Serdachny, Shelton, Stacey, Turnbull).
Sept joueuses en seront à leur premier camp avec l'équipe nationale féminine (Amos, Cooper, Kraemer, Pais, Primerano, Watts, Woods).
Les athlètes seront divisées en deux équipes, soit les Rouges et les Blancs, et participeront à des entraînements, à des évaluations de la forme physique, ainsi qu’à deux matchs intraéquipes.
L’Université Brock accueillera les matchs intraéquipes entre les Rouges et les Blancs du 12 et du 14 septembre au Canada Games Park. Cliquez ici pour acheter vos billets. Les membres des médias qui souhaitent assister au camp doivent faire une demande d’accréditation ICI.
Hockey Canada a aussi annoncé le personnel de soutien qui travaillera avec l’équipe nationale féminine durant la saison 2024-2025 :
- L’entraîneur vidéo Andrew Boucher (Timmins, ON)
- La préparatrice physique Vicki Bendus (Wasaga Beach, ON/Montréal, LPHF)
- Les responsables de l'équipement Alana Goulden (Aurora, ON/Toronto, LPHF) et Blair Smook (Airdrie, AB)
- La médecin de l'équipe DreLaura Bennion (Vancouver, BC)
- Les thérapeutes Christine Atkins (Fort Macleod, AB) et Danielle McNally (Wolfville, NS)
- La massothérapeute Meagan Cowell (London, ON)
- La conseillère en performance mentale Sommer Christie (Montréal, QC)
- Le premier responsable des activités hockey Dylan Rockwell (Calgary, AB)
- La responsable des activités hockey Savannah Newton (Halifax, NS)
- La coordonnatrice des activités hockey Cassidy Wait (North Vancouver, BC)
- La responsable des relations avec les médias Esther Madziya (Lethbridge, AB)
Cliquez ici pour la liste complète du personnel de soutien au camp.
Après le camp de septembre, les joueuses se prépareront en vue de leur saison dans la LPHF et au hockey universitaire avant l’annonce de la formation qui prendra part à la première compétition internationale de l’année dans le cadre de la Série de la rivalité 2024-2025, qui commencera le 6 novembre à San Jose, en Californie.
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Formations pour le camp de sélection de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans et la série contre les États-Unis de l’équipe nationale féminine de développement
Le camp de sélection des M18, présenté par BFL CANADA, aura lieu du 5 au 11 août à Thorold, en Ontario
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a dévoilé les formations pour le camp de sélection de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada, présenté par BFL CANADA, et la série de trois matchs contre les États-Unis de l’équipe nationale féminine de développement du Canada. Quarante-six joueuses – 6 gardiennes de but, 14 défenseures et 26 avants – ont été invitées au camp de sélection des M18, qui se déroulera du 5 au 11 août au Canada Games Park de Thorold, en Ontario. La formation comprend cinq joueuses (Cimeroni, Grenier, S. Manness, Primerano, Zablocki) qui ont gagné la médaille de bronze au Championnat mondial féminin des M18 2024 de l’IIHF à Zoug, en Suisse. La semaine de camp, qui sera composée de séances d’entraînement sur glace et hors glace, comportera aussi trois matchs Rouges c. Blancs du 7 au 10 août. Après la sélection des joueuses, Équipe Canada jouera une série de trois matchs contre les États-Unis du 14 au 17 août au Canada Games Park de Thorold. « Le camp de sélection est une étape essentielle qui se veut le premier arrêt au sein de notre programme pour ce groupe d’athlètes talentueuses », a affirmé Vicky Sunohara (Scarborough, ON/Université de Toronto, SUO), entraîneuse-chef de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada. « Les membres du personnel entraîneur et du personnel de soutien ont hâte d’encadrer et de développer ces joueuses. On s’attend à un niveau de compétition relevé pendant le camp parmi ces athlètes qui se battent pour l’honneur de représenter le Canada sur la scène internationale pendant la série et la saison. » Vingt-quatre joueuses – 3 gardiennes de but, 8 défenseures et 13 avants – ont été nommées à l’équipe nationale féminine de développement du Canada pour sa série de trois matchs contre les États-Unis du 14 au 17 août au Canada Games Park. La formation comprend 10 joueuses (Adam, Amos, Baxter, Grober, Iginla, MacLeod, Murphy, Pais, Regalado, Swiderski) qui ont remporté l’or au Championnat mondial féminin des M18 2022 de l’IIHF à Madison, au Wisconsin, et neuf joueuses (Alexander, Amos, Baxter, Graham, Grober, Kraemer, Murphy, Pais, Venusio) qui en ont fait autant à l’édition 2023 du même tournoi à Östersund, en Suède. « Nous sommes emballées par la liste d’athlètes qui se joignent à nous au sein de l’équipe de développement cette année pour compétitionner à nouveau à l’international contre les États-Unis », a déclaré Alison Domenico (Ottawa, ON/Université d’Ottawa, SUO), entraîneuse-chef de l’équipe nationale féminine de développement du Canada. « Notre personnel entraîneur attend impatiemment l’occasion de travailler avec ce groupe, qui compte un bon mélange de joueuses de retour et de nouveaux visages, tandis que nous nous poursuivons leur développement sportif dans notre programme. » Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et le Programme national féminin du Canada, veuillez visiter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux Facebook, X et Instagram.
Annonce du personnel entraîneur d’équipes nationales féminines
Vicky Sunohara sera l’entraîneuse-chef de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans et Alison Domenico dirigera l’équipe nationale féminine de développement
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a nommé les membres du personnel entraîneur de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada et de l’équipe nationale féminine de développement du Canada pour la saison 2024-2025, notamment pour les séries de trois matchs contre les États-Unis en août. La légende d’Équipe Canada Vicky Sunohara (Scarborough, ON/Université de Toronto, SUO) sera à la barre de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans, tandis qu’Alison Domenico (Ottawa, ON/Université d’Ottawa, SUO) sera l’entraîneuse-chef de l’équipe nationale féminine de développement. « Nous sommes ravis de présenter les membres du personnel entraîneur de l’équipe nationale féminine de développement ainsi que de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans qui se joignent à nous pour la prochaine saison », a exprimé Dylan Rockwell (Calgary, AB), premier responsable des activités hockey. « À ces échelons de notre programme, nos entraîneurs et entraîneuses, qui reviennent année après année pour contribuer au développement de nos athlètes, doivent faire preuve d’un haut niveau d’engagement. Nous savons que le professionnalisme et les aptitudes de ces personnes seront mis à l’avant-plan pour guider nos équipes sur la scène internationale cette année. » Après avoir agi comme adjointe au cours des saisons 2021-2022 et 2023-2024, Sunohara fera ses débuts à la barre d’une équipe lors d’une compétition internationale. Elle sera épaulée par Marc-André Côté (Montréal, QC/Université de Moncton, SUA) et Stefanie McKeough (Carlsbad Springs, ON/Boston, LPHF), de même que par le consultant des gardiennes de but Sheldon Goertzen (Saskatoon, SK/Université de la Saskatchewan, CW) et l’entraîneur vidéo Andrew Boucher (Timmins, ON). Sunohara en sera à sa 14e campagne à la barre de l’équipe de hockey féminin de l’Université de Toronto. Elle a été nommée Entraîneuse de l’année du Sport universitaire de l’Ontario (SUO) et d’U SPORTS lors de trois saisons consécutives (2020-2023) et elle a mené les Blues à la conquête du championnat national U SPORTS en 2022 et 2023. À l’international, elle a gagné une médaille d’or comme entraîneuse adjointe au Championnat mondial féminin des M18 2022 de l’IIHF et le bronze au tournoi de 2024. Comme joueuse à l’international, Sunohara a remporté deux médailles d’or olympiques, auxquelles s’ajoutent sept titres du Championnat mondial féminin de l’IIHF. Avec 119 points (56-63—119) en 164 parties jouées, elle occupe le 10e rang des pointeuses dans l’histoire de l’équipe nationale féminine. Côté commencera sa 13e saison avec l’équipe de hockey féminin de l’Université de Moncton. Au cours des six dernières campagnes, il a été l’entraîneur-chef et lors des six précédentes, il avait occupé un poste d’adjoint. Il a également été un entraîneur adjoint lors de deux séries de trois matchs contre les États-Unis, soit une avec l’équipe nationale féminine de développement (2022) et une avec l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans (2023). Comme joueur, Côté a remporté une médaille d’or lors de la Coupe du monde junior 2004 avec l’équipe nationale masculine estivale des moins de 18 ans du Canada et le bronze avec le Québec au Défi mondial de hockey des moins de 17 ans 2004. McKeough vient de terminer sa deuxième saison comme entraîneuse adjointe de l’équipe de Boston dans la LPHF. Elle a accepté ce poste peu de temps après sa nomination au poste d’entraîneuse-chef de l’équipe de hockey féminin des Gee-Gees de l’Université d’Ottawa en 2023. Elle a été une entraîneuse adjointe des Gee-Gees pendant deux campagnes (2021-2023) et entraîneuse-chef du HC de Göteborg dans la Svenka Damhockeyligen (SDHL) en Suède pendant la saison 2020, après avoir occupé la fonction d’adjointe pendant deux ans. En 2023, elle a aussi obtenu une médaille de bronze comme entraîneuse adjointe au Championnat mondial féminin des M18 2024 de l’IIHF, ainsi qu’une médaille d’or en 2023. Comme joueuse, McKeough a remporté une médaille d’argent avec le Canada au Championnat mondial féminin des M18 2009 de l’IIHF. Le camp de sélection de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans, présenté par BFL CANADA, aura lieu du 5 au 10 août au Canada Games Park de Thorold, en Ontario. Après la sélection des joueuses, l’équipe jouera une série de trois matchs contre les États-Unis du 14 au 17 août au Canada Games Park. Veuillez cliquer ici pour voir la liste complète du personnel de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada et la liste des membres du personnel de soutien au camp. Avec l’équipe nationale féminine de développement du Canada, Domenico occupera pour la première fois un poste d’entraîneuse-chef à l’international. Elle sera accompagnée par les adjointes Rachel Flanagan (Pontypool, ON/Université de Guelph, SUO) et Tara Watchorn (Newcastle, ON/Université de Boston, HE), la consultante des gardiennes de but Katie Greenway (Guelph, ON) et l’entraîneur vidéo Jessie Leung (Penticton, BC/Okanagan Hockey Academy, CSSHL). Domenico a récemment été nommée entraîneuse-chef de l’équipe de hockey féminin de l’Université d’Ottawa après avoir passé une décennie dans la NCAA avec l’Université Ohio State (2010-2011), l’Université de Syracuse (2011-2018) et le Collège de Providence (2018-2021). Sur la scène mondiale, elle a remporté l’or comme entraîneuse adjointe de l’équipe nationale féminine du Canada aux Jeux olympiques d’hiver de 2022 et au Championnat mondial féminin 2022 de l’IIHF. Comme joueuse, elle a gagné l’or avec Ontario Rouge au Championnat national féminin des moins de 18 ans 2005, de même que l’or avec l’Ontario aux Jeux d’hiver du Canada 2003. Flanagan a occupé un poste d’entraîneuse adjointe avec l’équipe de Toronto de la LPHF après 16 saisons à la barre de l’équipe de hockey féminin de l’Université de Guelph. À Guelph, elle a mené les Gryphons à la conquête du titre du championnat national U SPORTS en 2019 et à trois titres du SUO, en plus d’avoir été nommée Entraîneuse de l’année du SUO à cinq occasions. Flanagan a aussi agi comme entraîneuse adjointe de l’équipe nationale féminine du Canada lors de la Série de la rivalité en 2022-2023, ainsi qu’avec l’équipe nationale féminine de développement du Canada à trois reprises (2011, 2012, 2022). Mentionnons également sa nomination en tant qu’Entraîneuse de l’année BFL lors de la saison 2020-2021. Watchorn amorcera une deuxième saison à titre d’entraîneuse-chef de l’Université de Boston. Auparavant, elle a été la toute première entraîneuse-chef de l’équipe de hockey féminin du Collège Stonehill (2021-2023), où elle a été nommée Entraîneuse de l’année de la NEWHA lors de la saison inaugurale du programme. Avant son arrivée à Stonehill, Watchorn a été une entraîneuse adjointe à l’Université de Boston pendant quatre saisons (2017-2020). Médaillée d’or olympique comme joueuse en 2014, elle a été nommée à la barre de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada l’an dernier, remportant une médaille de bronze au Championnat mondial féminin des M18 2024 de l’IIHF. Lors des éditions 2022 et 2023 du tournoi, elle avait mis la main sur l’or en tant qu’entraîneuse adjointe. L’équipe nationale féminine de développement du Canada se réunira à Thorold, en Ontario, du 14 au 17 août pour participer à une série de trois matchs contre les États-Unis. Veuillez cliquer ici pour voir la liste complète du personnel de l’équipe nationale féminine de développement du Canada. 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Annonce de l’horaire 2024-2025 de la Série de la rivalité
La série de cinq matchs fera escale au Canada à Halifax et à Summerside
CALGARY, Alberta– Hockey Canada, en partenariat avec USA Hockey, a annoncé le retour de la Série de la rivalité opposant l’équipe nationale féminine du Canada aux États-Unis pour la saison 2024-2025. Deux affrontements sont prévus au Canada atlantique.
Au total, cinq matchs sont au programme de la Série de la rivalité 2024-2025, dont un en Nouvelle-Écosse et un à l’Île-du-Prince-Édouard en février. Le premier arrêt au nord de la frontière se fera le jeudi 6 février à 19 h HA au Scotiabank Centre, domicile des Mooseheads de Halifax dans la Ligue de hockey junior Maritimes Québec (LHJMQ). Les équipes se rendront ensuite à Summerside, à l’Île-du-Prince-Édouard, et croiseront le fer à la Credit Union Place, domicile des Western Capitals de Summerside dans la Ligue de hockey des Maritimes (MHL), le samedi 8 février à 19 h HA.
« Nous avons le grand plaisir de travailler une fois de plus en collaboration avec USA Hockey pour la présentation de la Série de la rivalité, et d’offrir à l’élite du hockey féminin au Canada et aux États-Unis l’occasion de montrer toute l’étendue de son talent à Halifax et à Summerside », a commenté Katherine Henderson (Thunder Bay, ON), présidente et chef de la direction à Hockey Canada. « La série s’est établie, depuis 2018, comme un événement à ne pas manquer pour l’ensemble des amateurs et amatrices aux quatre coins du pays, et joue un rôle déterminant pour l’essor du hockey féminin partout en Amérique du Nord. Nous sommes heureux de présenter cinq duels qui s’annoncent encore une fois des plus enlevants, et nous nous réjouissons à l’idée de laisser un legs durable en Nouvelle-Écosse et à l’Île-du-Prince-Édouard. »
« Halifax et Summerside ont prouvé qu’elles étaient des hôtes dignes des plus grands tournois internationaux, et il ne fait aucun doute dans notre esprit que les deux communautés saisiront cette occasion d’accueillir et d’encourager les meilleures joueuses canadiennes et américaines dans le cadre de la Série de la rivalité en février 2025 », a déclaré D’Arcy Hutcheson (Barrie, ON) , directrice des événements à Hockey Canada. « La Série de la rivalité est devenue l’un des événements de hockey international les plus appréciés. Parions que les deux équipes auront beaucoup de plaisir à s’affronter devant des foules passionnées dans ces deux merveilleuses communautés canadiennes. »
Les billets pour les matchs à Halifax et à Summerside seront mis en vente à une date ultérieure au HockeyCanada.ca/Billets .
Hockey Canada et ses membres dévoileront prochainement des activités locales qui précéderont les affrontements de la Série de la rivalité dans les deux communautés hôtes canadiennes. Ces initiatives seront l’occasion pour la prochaine génération d’interagir avec les membres de l’équipe nationale féminine du Canada.
« La Série de la rivalité est un événement formidable autant pour les joueuses que pour les amateurs et amatrices, et je sais à quel point un événement de ce genre peut avoir un impact sur les jeunes partout au pays », a souligné l’avant d’Équipe Canada Blayre Turnbull (Stellarton, NS/Toronto, LPHF) . « Je suis ravie que les gens dans les Maritimes aient l’occasion d’assister à ces deux matchs et de venir encourager Équipe Canada la saison prochaine. On ne rate jamais l’occasion d’appuyer l’équipe nationale sur la côte Est, et je m’attends donc à une ambiance du tonnerre là-bas. Ce sera particulièrement spécial pour moi, puisque je suis originaire de la Nouvelle-Écosse et que j’ai grandi tout près de ces deux merveilleuses communautés. »
La série s’amorcera a vec trois duels aux États-Unis en novembre. Le coup d’envoi sera donné au Tech CU Arena de San Jose, en Californie, le mercredi 6 novembre à 19 h HP. Le volet américain de la Série de la rivalité se poursuivra au Maverik Center de West Valley City, dans l’Utah, le vendredi 8 novembre à 19 h HP, et se conclura le à l’Idaho Central Arena de Boise, en Idaho, le dimanche 10 novembre à 17 h HR.
TSN et RDS, partenaires officiels de diffusion de Hockey Canada, présenteront les cinq rencontres de la Série de la rivalité. Veuillez consulter votre programmation locale pour plus de détails.
La saison dernière, la Série de la rivalité s’est conclue de façon enlevante pour une deuxième année de suite, l’équipe nationale féminine du Canada s’imposant lors de quatre parties consécutives pour remporter les grands honneurs en sept matchs. Les duels à Kitchener, à Sarnia et à Regina avaient été présentés à guichets fermés. L’assistance moyenne lors des rencontres tenues au nord de la frontière dans ces trois villes ainsi qu’à Saskatoon avait atteint 6 200 personnes par match. Ottawa, Kingston, Kelowna et Trois-Rivières ont également accueilli un match de la Série de la rivalité au cours des deux dernières saisons, faisant salle comble dans chacun des cas.
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Dans mes propres mots : Emerance Maschmeyer
La gardienne de l’équipe nationale féminine se confie sur sa vie avec sa partenaire Geneviève Lacasse, la fondation d’une famille, son rôle de pionnière dans la LPHF et l’importance d’être soi-même
Geneviève et moi avions décidé de ne pas faire de coming out officiel. Nous avions plutôt simplement choisi de publier des photos de notre mariage en juillet dernier. Nos proches – les personnes les plus importantes dans nos vies – étaient déjà au courant de notre relation.
Nous étions sceptiques à l’idée d’en faire une grosse histoire d’affirmation. Nous avons pensé que publier des photos de notre mariage serait une façon amusante de dire : « C’est nous. Nous sommes maintenant mariées ». Comme n’importe qui le ferait. Nous étions rendues là. Nous voulions le dire, sans peur. La vague d’amour et de soutien qui a suivi notre publication était si grande, et ça a été très inspirant d’en constater l’impact.
Nous avons une plateforme et une influence. Plusieurs suivent nos aventures. Les personnes qui sont derrière nous sans hésitation, nous les voulons dans nos vies. Nous tenons à maintenir un lien avec elles. Pour les autres, ce n’est pas plus grave que ça.
Nous savions que notre dévoilement pourrait avoir une influence. Une influence positive. Nous espérions pouvoir aider d’autres personnes qui vivent une situation similaire. Je crois qu’on avait le courage, à notre âge, d’aller de l’avant pour raconter notre histoire. Nous avons tout le soutien dont nous avons besoin. Après coup, pour nous, la question était de savoir comment nous pouvions aider les autres maintenant.
Annoncer publiquement notre relation nous a libérées d’un énorme poids qui, sans qu’on en soit conscientes, pesait sur nos épaules. Aujourd’hui, je sens vraiment que nous sommes ouvertes à l’idée d’engager des conversations à propos de notre relation. Nous n’avons pas peur d’être nous-mêmes. Tout ça a été une aventure gratifiante pour nous. Ça fait seulement un an que nous avons officialisé notre union, et nous nous amusons tellement depuis. Nous sommes un couple. Et les gens le savent.
Geneviève et moi avons commencé à nous fréquenter en 2015. Ça n’a pas été trop long avant que je parle à ma sœur de notre relation. Geneviève était la première femme dans ma vie. Donc, avant de l’annoncer à toute ma famille, je voulais m’assurer que notre couple soit solide. C’est ce que j’aurais fait pour n’importe quelle relation.
J’étudiais à Harvard à ce moment. Mes coéquipières et amis à l’école l’ont su assez rapidement. Je voulais le dire à ma famille, mais je voulais l’annoncer en personne. Je ne tenais pas à en faire toute une histoire. Mais je sais bien aussi que, encore à ce jour dans notre société, une personne est hétérosexuelle jusqu’à preuve du contraire. Il faut faire un coming out, raconter son histoire. Je voulais l’annoncer de la façon la plus normale possible, mais je me devais d’avoir des conversations en personne avec ma famille aussi.
Un an après le début de notre fréquentation, j’ai commencé à en parler. Je l’ai dit à mes parents, un à la fois. J’ai fait le tour de ma famille, qui est nombreuse, donc des conversations, il y en a eu beaucoup! J’étais jeune (j’avais 20 ans), donc je ressentais pas mal de nervosité, mais mes proches m’ont manifesté un si grand soutien. J’ai retenu de chacune de mes discussions que ma famille était là pour moi et qu’elle allait m’aimer coûte que coûte. Je sais que ce n’est pas tout le monde qui a cette chance, mais je suis vraiment bénie des dieux d’avoir une famille qui me soutient quoi qu’il arrive. Tout le monde était juste heureux que je sois en amour.
Nous avons hésité à en parler publiquement, mais ça n’avait rien à voir avec notre orientation sexuelle. C’était plus en raison de notre implication avec l’équipe nationale féminine. Nous n’étions pas vraiment friandes à l’idée que les nouvelles autour de nous soient à propos de notre relation ou de notre orientation. Nous voulions qu’elles portent sur le hockey et nos performances.
C’est assurément un défi lorsqu’on pratique la même profession que sa partenaire. Au début, nous avons convenu que, à plus d’un égard, notre relation devait primer sur le reste. Mais il nous fallait aussi réserver une place de choix à notre carrière au hockey. Non pas d’une manière égoïste, mais plutôt… Si tu fais tout ce que tu peux pour être sélectionnée à une équipe et que tu es disposée à jouer, et que je fais tout ce que je peux pour être sélectionnée à une équipe et que je suis disposée à jouer, et bien notre couple ne fait pas partie de l’équation dans ce cas. Ce sont des facteurs externes qui décideront de notre sort… le personnel entraîneur et de dépistage.
Nous étions ensemble dans cette même aventure. Sur le plan individuel, nous ne ménagions pas les efforts et faisions tout notre possible pour arriver à nos fins. Mais une fois une décision rendue, il n’y avait aucune rancœur entre nous. Nous pouvions éprouver de l’empathie si l’une s’était démarquée par rapport à l’autre, mais en fin de compte, si l’une d’entre nous était désignée pour défendre la cage, nous étions là pour nous épauler.
Nous avons eu quelques obstacles en cours de route. Je n’ai pas été choisie pour les Jeux olympiques de 2018. Elle, oui. Le contraire s’est produit pour les Jeux de 2022. J’étais de l’aventure, mais pas elle. Ça nous a donné de la très belle matière pour apprendre de notre relation. La première fois, quand c’est moi qui ai subi le couperet, nous n’avions pas vraiment les aptitudes pour bien réagir. Je caressais ce grand rêve de jouer aux Jeux olympiques. Alors, que dire à sa partenaire, à celle qui y va, ou à celle qui n’y va pas? C’était une situation complexe à gérer pour nous. Nous nous soutenions mutuellement, alors nous avons senti qu’il valait mieux nous abstenir de parler de hockey. Pour le bien de notre couple.
La deuxième fois, pour les Jeux de Beijing, nous avons appris comment en parler. Nous avons appris à dialoguer dans des circonstances périlleuses. À nous ouvrir franchement à l’autre. Il aurait été préférable que ces situations ne se produisent jamais, mais en fait, elles ont contribué à solidifier notre relation. Nous avons acquis les aptitudes pour bien nous épauler l’une l’autre à travers les tempêtes et communiquer de la bonne façon. Nous avons pris conscience de l’importance de toujours faire mieux dans ces moments.
Au début de l’année 2023, quelques mois après notre mariage, nous avons appris que nous allions avoir un enfant. Par chance, nous avons des amies qui avaient déjà suivi un traitement de fertilité. Nous avons pu leur poser une tonne de questions. Faire plusieurs recherches sur le sujet. Nous vivions au Québec, et heureusement, des mesures financières sont en place pour aider. Et la fécondation s’est faite assez rapidement. Nous en sommes très reconnaissantes.
Ça a été une belle expérience. Nous sommes très heureuses de fonder notre famille et d’accueillir notre petit garçon. Nous attendons ce moment depuis si longtemps. Étant donné nos carrières sur la glace, ce n’était pas une possibilité, surtout sans les salaires et la sécurité financière d’une ligue professionnelle. Mais aujourd’hui, je joue dans la LPHF, et Geneviève occupe un emploi stable à titre de responsable des commandites et des ventes de la ligue. Il y a longtemps que nous avions goûté à une telle sécurité et stabilité. Nous sommes emballées de fonder notre famille.
Nous souhaitons que notre garçon grandisse auprès de femmes fortes. Et nous sommes certaines qu’il sera un être respectueux des femmes et que lorsqu’il verra des athlètes féminines, il ne verra que des athlètes tout court.
Le dévoilement du sexe de notre bébé est un souvenir récent qui me revienten mémoire constamment! J’étais assise dans l’autobus avec Emily Clark lors d’un voyage cette année, et nous nous sommes mises à discuter de la façon dont nous pourrions l’annoncer Geneviève et moi. Des idées ont germé. Puis, nous avons réalisé qu’une course à obstacles avec l’équipe pourrait être très amusante. Nous sommes passés d’un duel Clark contre Jenner, à un duel Équipe gars contre Équipe fille.
Geneviève et moi, nous voulions vivre l’effet de surprise, donc nous avons donné aux autres membres de l’équipe le lien vers la confirmation du sexe de notre bébé. Un jour, après un entraînement, Clarky et Jenner ont expliqué le déroulement de la course. Tout a si bien fonctionné!
La dernière année a été un vrai tourbillon. Le mariage, l’annonce de la création de la LPHF, ma signature avec Ottawa, la nouvelle de notre enfant, le lancement de la ligue, la conquête d’un autre championnat… c’est difficile de croire que tout cela s’est passé dans les 11 derniers mois seulement.
C’est tellement incroyable, l’élan que nous donne la LPHF, l’appui des partisans et partisanes, le soutien de partout, les investissements et la visibilité. Et la croissance que nous avons connue à notre première saison seulement. Mais la fierté que j’ai ressentie chaque fois que j’ai sauté sur la glace avec mes coéquipières à Ottawa cette saison… je n’ai pas de mots pour décrire à quel point c’est spécial.
Évidemment, il reste encore beaucoup de chemin à parcourir pour atteindre l’équité et la parité, mais nous avons fait quelques pas de géant au cours des dernières années. Même à l’échelle locale, il y a un effet d’entraînement généré par la LPHF pour que les femmes s’initient au sport et continuent de le pratiquer.
À nos matchs, je vois des jeunes (pas seulement des petites filles, mais aussi des petits garçons) qui nous perçoivent simplement comme des athlètes qui pratiquent le hockey. Ces jeunes ne nous considèrent pas comme des joueuses de hockey féminin. Garçons et filles voient simplement leur avant ou cerbère modèle. On n’entend pas : « Tu es ma gardienne de but favorite… au hockey féminin. » C’est fantastique de voir l’évolution de l’état d’esprit. Et il y a tant de jalons à venir.
Puisque c’est le Mois de la fierté, un événement qui a une grande signification pour moi, je voulais conclure sur ce sujet.
Individuellement, tout le monde peut faire une introspection et trouver des pistes d’amélioration. Je pense que souvent, des présomptions sont faites lorsque deux personnes se rencontrent pour la première fois. Mais nous pouvons faire mieux en laissant l’autre raconter son histoire au lieu de l’étiqueter en lui disant : « Tu es ceci ou tu es cela. » Il peut être intimidant d’être soi-même. Les idées préconçues sont un frein.
Malheureusement, il y aura toujours de la haine sur Internet. À l’ère des médias sociaux, c’est inévitable. Mais je pense qu’autant que possible, nous devons nous accrocher à l’amour et au soutien, et veiller à ce que les voix bienveillantes, aimantes et encourageantes l’emportent sur les voix négatives.
En tant que personne en couple avec une personne du même sexe, je suis parfois un peu timide ou hésitante de montrer la vraie version de moi-même. Mais aux personnes de notre communauté, je dis : soyez aussi braves que possible. Soyez vous-mêmes. Si vous participez aux conversations et que vous laissez aller votre vraie personnalité, les mentalités commenceront à changer lentement. Une personne à la fois.
Nous avançons dans la bonne direction. Et c’est ensemble que nous continuerons de le faire.
Aperçu du Mondial masculin des M18 : Canada c. Suède
Jeudi 25 avril | 12 h HE | Vantaa, Finlande | Ronde préliminaire
Le Championnat mondial des M18 2024 de l’IIHF débute jeudi en Finlande, et l’équipe nationale masculine des moins de 18 ans du Canada affronte la Suède en ronde préliminaire au Trio Areena de Vantaa.
Dernier match de chaque équipe
Les Canadiens ont joué leur dernier duel préparatoire mardi, une victoire de 4-3 en prolongation contre la Norvège à Vantaa. Matthew Schaefer a inscrit le but gagnant à 2 min 18 s de la prolongation pour l’unifolié, qui a vu les Norvégiens marquer deux fois en cinq secondes au milieu de la troisième période pour rattraper une avance de deux buts en faveur de la délégation canadienne. Schaefer a terminé la rencontre avec une récolte d’un but et une aide, tout comme Ryder Ritchie.
Les Suédois ont conclu leur calendrier préparatoire lundi. Leo Sahlin Wallenius a touché la cible à deux reprises, et Love Härenstam a bloqué 26 tirs pour signer un jeu blanc de 4-0 aux dépens de la Lettonie à Vierumäki. Jack Berglund et Melvin Fernström ont été les autres buteurs pour la Suède, et Alexander Zetterberg a récolté deux mentions d’aide.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Les nations rivales ont croisé le fer pour la dernière fois en demi-finale du Mondial masculin des M18 il y a un an. Les Suédois l’avaient emporté 7-2 en route vers la médaille d’argent. Macklin Celebrini et Angus MacDonell avaient fait mouche au premier tiers pour les Canadiens, mais une deuxième période de quatre buts pour les Suédois s’est révélée déterminante.
À surveiller
Ce n’est pas la première fois que Porter Martone porte le chandail à la feuille d’érable. En effet, au cours des 17 derniers mois, le capitaine du Canada a participé au Défi mondial de hockey des moins de 17 ans, au Championnat mondial des M18 de l’IIHF (à titre de joueur surclassé) et à la Coupe Hlinka-Gretzky, y récoltant respectivement l’argent, le bronze et l’or ainsi qu’une fiche de 12 buts et 23 points en 19 matchs. L’avant des Steelheads de Mississauga, qui a inscrit 71 points (33-38—71) à sa deuxième saison dans l’OHL, est un nom à surveiller au repêchage 2025 de la LNH (il n’est pas admissible cette année puisqu’il est né le 25 octobre).
Sahlin Wallenius était le deuxième Suédois au classement final du Bureau central de dépistage de la LNH en prévision du repêchage 2024 de la ligue, pointant au septième rang des patineurs répertoriés à l’international. Il a obtenu une moyenne de près d’un point par match à la défensive de l’équipe des M20 des Växjö Lakers cette saison (11-31—42 en 43 parties jouées). Lunis Eriksson a lui aussi attiré l’attention du Bureau central de dépistage, qui le classe dixième parmi les patineurs de l’étranger. Il a passé la majeure partie de la saison chez les professionnels au sein des Djurgårdens IF, inscrivant 11 points (3-8—11) en 29 rencontres dans la HockeyAllsvenskan.
Rétrospective
Les deux pays sont pratiquement au coude à coude dans l’histoire du Championnat mondial des M18 de l’IIHF. Les Canadiens ont un mince avantage, ayant remporté 11 duels contre 10 pour les Suédois.
Parmi les victoires les plus récentes, citons celles de l’édition 2021 au Texas. Shane Wright avait inscrit un tour du chapeau et Brandt Clarke avait ajouté deux buts et deux aides dans un gain de 12-1 en ronde préliminaire, tandis que Connor Bedard avait obtenu trois buts et Wright, un but et trois aides, dans un triomphe de 8-1 en demi-finale .
Fiche de tous les temps : le Canada mène 11-10 (1-1 en PROL. ou TB) Buts pour le Canada : 83 Buts pour la Suède : 67
Aperçu du Mondial féminin : Canada c. États-Unis
Dimanche 14 avril | 17 h HE | Utica, New York | Match pour la médaille d’or
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (14 AVRIL) Ça y est. L’équipe nationale féminine du Canada n’est plus qu’à une victoire d’ajouter un 13e titre à sa fiche record de 12 médailles d’or au Championnat mondial féminin de l’IIHF et affronte l’équipe hôte des États-Unis en finale dimanche soir.
Dernier match de chaque équipe
Le Canada a pris les choses en main en demi-finale, blanchissant la Tchéquie 4-0 pour confirmer sa place au match pour la médaille d’or. Laura Stacey a mis la table pour Blayre Turnbull et Jocelyne Larocque en première période. Emily Clark et Sarah Fillier ont été les autres buteuses chez les Canadiennes. Ann-Renée Desbiens a fait 9 arrêts, tandis que le Canada a dirigé 47 tirs vers la cerbère tchèque Klara Peslarova.
Les Américaines s’amènent au match pour l’or avec une fiche parfaite, fortes d’un jeu blanc de 5-0 aux dépens de la Finlande en demi-finale. L’avant de l’Université du Wisconsin, Laila Edwards, a réussi un tour du chapeau, tandis que Hannah Bilka et Savannah Harmon ont également trouvé le fond du filet. La Finlandaise Sanni Ahola a réalisé 50 arrêts, et Aerin Frankel a bloqué 15 tirs dans une cause gagnante en demi-finale.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Les rivales nord-américaines ont croisé le fer lundi dernier dans ce qui fut peut-être le meilleur affrontement en ronde préliminaire, un match très serré dans lequel les Canadiennes se sont inclinées 1-0 en prolongation. Ann-Renée Desbiens a offert une performance sensationnelle de 29 arrêts, mais les siennes n’ont pas su déjouer Aerin Frankel. Ce n’est que la troisième fois en 184 rencontres que le Canada et les États-Unis ont joué 60 minutes sans parvenir à trouver le fond du filet – les deux autres fois, c’était au match pour l’or du Mondial féminin, en 2005 et en 2016.
À surveiller
Alors que des noms comme Poulin, Nurse, Spooner et Fast font les manchettes, Jocelyne Larocque, originaire de Ste. Anne, au Manitoba, continue de vaquer tranquillement et efficacement à ses occupations, prête pour une 10e participation à un match pour la médaille d’or du Mondial féminin. La défenseure, qui figure parmi les 10 joueuses les plus âgées de la délégation canadienne (elle avait 35 ans, 10 mois et 17 jours en lever de rideau du tournoi), est la représentante du Canada qui a obtenu le plus de temps de glace (22 min 21 s par match) et présente le meilleur différentiel du tournoi, soit +15. Elle a aussi inscrit un but et quatre mentions d’aide en six matchs.
Pour que le Canada ait du succès aujourd’hui, il devra résoudre l’énigme Frankel. La gardienne de but a réalisé une performance record pour les États-Unis, n’accordant que trois buts en cinq matchs, avec une moyenne de buts alloués de 0,59 et un pourcentage d’arrêts de 0,962. Grâce à son match parfait en demi-finale, la cerbère de 24 ans a établi le record du plus grand nombre de jeux blancs en une même édition du Mondial féminin, avec quatre.
Rétrospective Ce sera la 22e fois que le Canada et les États-Unis s’affrontent pour l’or au Mondial féminin, et le Canada détient un avantage de 12-9 dans les 21 premières rencontres. Sans surprise, les duels entre les deux nations semblent toujours chaudement disputés lorsqu’un titre mondial est à l’enjeu.
Si les Américaines l’ont emporté 6-3 l’an dernier, le match était encore à égalité avec quatre minutes à jouer, et sept des huit affrontements précédents pour la médaille d’or se sont soldés par un écart d’un but. La seule exception, en 2015, est un duel qui s’est terminé avec un écart de deux buts. Sur ces huit matchs, cinq se sont tranchés en prolongation – en 2011, 2012, 2016, 2017 et 2021.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 104-79-1 (23-20 en PROL. ou TB) Buts pour le Canada : 508 Buts pour les États-Unis : 445
Aperçu du Mondial féminin : Canada c. Tchéquie
Samedi 13 avril | 19 h HE | Utica, New York | Demi-finale
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. TCHÉQUIE (13 AVRIL) L’équipe nationale féminine du Canada est maintenant au sein du carré d’as du Championnat mondial féminin 2024 de l’IIHF. Samedi soir, en demi-finale à Utica, elle croisera le fer avec la Tchéquie dans l’espoir de passer au match pour la médaille d’or.
Dernier match de chaque équipe
Le Canada a décroché son billet pour les demi-finales après avoir battu la Suède 5-1 en quart de finale jeudi. Renata Fast a inscrit un doublé, marquant le premier but du match en première période et un but d’assurance au deuxième tiers, tandis que Laura Stacey, Natalie Spooner et Jaime Bourbonnais ont été les autres buteuses. Comme Fast, Jocelyne Larocque a récolté deux points en participant à deux buts. Emerance Maschmeyer a repoussé 17 des 18 tirs dirigés vers elle.
La Tchéquie a assuré sa place en demi-finale grâce à Daniela Pejsova, qui a dirigé un tir du point d’appui dans la circulation lourde pour inscrire le seul but de la rencontre avec 7 min 6 s à jouer, aidant la Tchéquie à vaincre l’Allemagne 1-0. Klara Peslarova a arrêté les 24 tirs des Allemandes, signant ainsi son deuxième jeu blanc du tournoi.
Dernière rencontre entre les deux équipes
En ronde préliminaire dimanche dernier, Kristin O’Neill a inscrit deux buts et une aide, Sarah Nurse a accumulé deux aides et Ann-Renée Desbiens a réalisé 13 arrêts dans un gain par jeu blanc de 5-0 du Canada aux dépens de la Tchéquie. À surveiller
Bien sûr, le tandem Desbiens-Maschmeyer a attiré l’attention. Après tout, les deux ont maintenu un pourcentage d’arrêts combiné de 0,973 en cinq parties. Mais jetons un regard sur le bas de la formation en attaque. Pendant que le premier trio n’a marqué que deux buts (dont un dans un filet désert), la quatrième unité avec O’Neill au centre et Danielle Serdachny et Julia Gosling aux ailes a été sensationnelle (O’Neill est la meilleure pointeuse du Canada). Le troisième trio de Stacey, Blayre Turnbull et Emily Clark a marqué le but de la victoire en quart de finale. Mais ne pensez pas que les gros canons de l’équipe vont se tenir tranquilles; l’an dernier, en demi-finale Sarah Fillier a inscrit un tour du chapeau lors de la victoire contre la Suisse.
Natálie Mlýnková est en feu dans le clan tchèque. La joueuse de 22 ans est à égalité au deuxième rang des meilleures buteuses de la compétition avec quatre buts et à égalité au deuxième échelon des meilleures pointeuses avec six points. Seules des joueuses américaines la devancent dans le classement des pointeuses. Vous aimez les jeux-questionnaires? Anezka Cabelova, Tereza Plosova et Adela Sapovalivova pourraient écrire une page d’histoire en gagnant une médaille à Utica; Marie-Philip Poulin (Canada, 2009), Susanna Tapani (Finlande, 2011), de même que Nelli Laitnen et Viivi Vainikka (Finlande, 2019) sont les seules qui ont gagné une médaille au Championnat mondial féminin des M18 de l’IIHF et au Championnat mondial féminin de l’IIHF lors de la même saison. Rétrospective L’historique entre ces deux équipes est très mince. Elles se sont affrontées seulement deux fois - l’année dernière à Brampton et la fin de semaine passée à Utica.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 2-0-0 Buts pour le Canada : 10 Buts pour la Tchéquie : 1
Aperçu du Mondial féminin : Canada c. Suède
Jeudi 11 avril | 17 h HE | Utica, New York | Quart de finale
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. SUÈDE (11 AVRIL) L’équipe nationale féminine du Canada passe en ronde éliminatoire et affronte la Suède en quart de finale jeudi au Championnat mondial féminin 2024 de l’IIHF.
Dernier match de chaque équipe
Ann-Renée Desbiens a offert une performance sensationnelle de 29 arrêts lundi soir, mais le Canada s’est incliné par la marque de 1-0 en prolongation contre les États-Unis en fin de ronde préliminaire à Utica lundi soir pour terminer en deuxième place du groupe A. Laura Stacey et Natalie Spooner ont tenté tant bien que mal d’animer l’offensive canadienne en dirigeant chacune quatre tirs au but.
Comme les Canadiennes, les Suédoises amorcent les quarts de finale au terme d’une défaite de 1-0. La Suède a perdu son dernier match en ronde préliminaire aux mains de l’Allemagne lundi, malgré une domination de 32-24 en sa faveur au chapitre des tirs au but. L’avant Lina Ljungblom a décoché à elle seule sept de ces 32 tirs suédois.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Le Canada avait tout juste évité la catastrophe en quart de finale l’année dernière lors du Mondial féminin à Brampton en finissant par décrocher un gain de 3-2 grâce aux prouesses de Sarah Nurse en prolongation. Nurse avait réussi un doublé dans cette rencontre, tandis que Blayre Turnbull avait inscrit l’autre filet du Canada, qui s’était buté à une Emma Söderberg en grande forme devant le filet suédois malgré un impressionnant total de 54 tirs au but contre seulement 14 pour ses adversaires.
À surveiller
Pourrait-on se passer de parler des gardiennes de but? Ann-Renée Desbiens a été tout simplement époustouflante tout au long de la ronde préliminaire, conservant un pourcentage d’arrêts de 0,974 et une moyenne de buts alloués de 0,65 en trois départs, en plus de couronner son parcours d’une performance magistrale de 29 arrêts contre les Américaines. Et si le Canada choisit de lui accorder un repos en vue de la fin de semaine, Emerance Maschmeyer demeure une deuxième gardienne de luxe. Elle a été parfaite lors de son seul départ en ronde préliminaire contre la Suisse, repoussant les 12 tirs dirigés vers elle dans un triomphe de 3-0 pour ainsi récolter son sixième jeu blanc en 13 apparitions au total au Mondial féminin.
La Suède, quant à elle, mise sur Lina Ljungblom, Hilda Svensson, Hanna Olsson et Söderberg. Âgée de 17 ans, Svensson, qui avait forcé la tenue d’une prolongation contre le Canada l’année dernière en nivelant le pointage à seulement 10 secondes de la fin du temps réglementaire, pointe à égalité au deuxième rang pour le nombre de buts (trois) et de points (cinq) en ronde préliminaire. Le total de 29 tirs au but de Svensson la place devant toutes ses paires, et c’est elle qui avait inscrit l’autre but des siennes dans leur défaite en quart de finale à Brampton. De son côté, Olsson affiche un taux d’efficacité inégalé de 72,15 % au cercle des mises au jeu dans le tournoi, devançant tout juste Marie-Philip Poulin à ce chapitre, et Söderberg continue d’épater, elle qui n’a accordé que quatre buts en trois matchs.
Rétrospective Le Canada reste invaincu contre la Suède au Mondial féminin, fort d’une fiche de 11-0. New York sourit généralement au Canada lorsqu’il y affronte les Suédoises. Son dossier est de 4-1 contre la Suède dans cet État, où le dernier duel entre les deux pays remonte à la Coupe des 4 nations 2013 à Lake Placid. Natalie Spooner avait alors réussi un doublé pour permettre aux Canadiennes de l’emporter par la marque de 4-3 .
Fiche de tous les temps : le Canada mène 79-2-1 Buts pour le Canada : 509 Buts pour la Suède : 70
Aperçu du Mondial féminin : Canada c. États-Unis
Lundi 8 avril | 19 h HE | Utica, New York | Ronde préliminaire
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (8 AVRIL) L’équipe nationale féminine du Canada se mesure à un adversaire familier en fin de ronde préliminaire au Championnat mondial féminin 2024 de l’IIHF, soit ses voisines du sud de la frontière. Les deux équipes sont encore invaincues, et le premier rang du groupe A est à l’enjeu.
Dernier match de chaque équipe
Le Canada a signé dimanche une troisième victoire consécutive – et un troisième jeu blanc de suite –, s’imposant 5-0 face à la Tchéquie. Kristin O’Neill a mené la charge avec trois points, marquant deux fois et ajoutant une passe en première période, Danielle Serdachny, Renata Fast et Laura Stacey ont été les autres buteuses, et Ann-Renée Desbiens a repoussé les 13 tirs dirigés vers elle, dans un duel où les Canadiennes ont dominé les Tchèques 42-13 au chapitre des tirs au but.
Les États-Unis ont vaincu la Finlande 5-3 samedi soir dans un troisième gain de suite en ronde préliminaire. Kendall Coyne Schofield, qui a marqué deux fois, Abbey Murphy, Hilary Knight ainsi que Taylor Heise ont permis aux Américaines de l’emporter.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Pour une deuxième année de suite, le Canada a complété le balayage inversé lors de la Série de la rivalité, s’imposant face aux Américaines au compte de 6-1 au match no 7 à St. Paul, dans l’État du Minnesota, le 11 février dernier. Natalie Spooner et Emma Maltais ont fait mouche à deux reprises, tandis que Marie-Philip Poulin et Ashton Bell ont été les autres buteuses de la rencontre. Desbiens a été excellente, bloquant 24 rondelles sur 25 dans une cause gagnante. À surveiller Bien qu’il se soit montré discret depuis deux matchs, le premier trio du Canada, composé de Sarah Filler, Marie-Philip Poulin et Brianne Jenner, s’est avéré très efficace contre les Américaines au fil des ans. Ces joueuses ont inscrit un total de 132 points (69-63-132) en 197 matchs contre les États-Unis, et Jenner a marqué deux buts lors de la dernière rencontre des rivales au Mondial féminin. Oh, et si vous suivez le compte, Jenner n’est plus qu’à deux buts du plateau des 50 au sein de l’équipe nationale féminine du Canada. Elle serait la treizième à atteindre cette marque.
Les Américaines misent sur leurs gros canons : Coyne Schofield, Knight, Alex Carpenter et Caroline Harvey figurent parmi les six meilleures pointeuses du tournoi. Coyne Schofield, qui n’a pas participé au Mondial féminin l’an dernier et a donné naissance à son fils Drew en juillet, mène la charge avec 6 points (3-3—6). Knight, bien sûr, est la meilleure pointeuse de l’histoire du Championnat mondial féminin de l’IIHF. Avec les cinq points qu’elle a inscrits en trois matchs, elle cumule 106 points (63-43-106) jusqu’à maintenant au cours de son illustre carrière.
Rétrospective Le Canada a une fiche de 5-3-1 contre les États-Unis à New York. La dernière fois que ces deux équipes se sont affrontées dans l’État de New York, c’était lors du tour préliminaire de la Coupe des 4 Nations 2013 à Lake Placid. Le Canada avait remporté ce match 4-2 grâce à des buts de Jenner, Spooner, Haley Irwin et Mélodie Daoust.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 104-78-1 (23-19 en PROL. ou TB) Buts pour le Canada : 508 Buts pour les États-Unis : 444
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