Devenir des agents de changement
Hockey Canada a tenu un séminaire obligatoire sur la diversité et l’inclusion pour ses athlètes et son personnel en misant sur son engagement à faire une différence dans le sport du Canada
Une semaine plus tard, une phrase reste collée à la mémoire de Sarah Nurse.
« La diversité a trait aux personnes qui composent une équipe, tandis que l’inclusion, à celles qui ont l’occasion de jouer. »
La joueuse d’avant de l’équipe nationale féminine était l’une des près de 500 athlètes et membres du personnel des équipes nationales masculines, féminines et de parahockey du Canada qui ont participé au séminaire obligatoire sur la diversité et l’inclusion la semaine dernière.
Hockey Canada demeure engagée à continuer d’écouter et d’apprendre et à rester ouverte à changer afin de prendre des mesures en matière de diversité. Les séminaires représentent une première étape vers cet engagement.
Des discussions sur la diversité et l’inclusion ont eu lieu depuis plus d’un an, menées par la directrice des ressources humaines de Hockey Canada, Denise Pattyn. À mesure que le portrait mondial a changé au fil des derniers mois, les conversations ont repris.
« Au début du mois de juin, nous avons eu une occasion de poursuivre cette discussion et de parler des prochaines étapes du plan de Denise », a expliqué Scott Salmond, premier vice-président des équipes nationales de Hockey Canada. « Puis, j’ai réalisé que compte tenu de ce qui arrive dans notre sport et autour, ainsi qu’ailleurs dans le monde, nous manquions de vision de ne pas offrir cette occasion et de profiter, bien honnêtement, de ce temps que nous avons avec nos athlètes présents virtuellement pour avoir un impact. »
Salmond et Pattyn ont fait leurs recherches et découvert Tina Varughese, qui a collaboré à plusieurs reprises avec le bureau de l’immigration de la province de l’Alberta et qui est la présidente de t Works Inc., une société spécialisée dans la présentation de séminaires sur les communications interculturelles et la conciliation travail-vie qui offre une formation personnalisée sur la diversité culturelle.
« Elle comprend notre sport et elle a vraiment bien communiqué son message aux athlètes », lance Salmond.
Varughese a mis l’accent sur l’idée des préjugés inconscients – des attitudes et stéréotypes implicites que les gens ont pour une autre personne ou un groupe de personnes qui affectent la façon dont ils comprennent les autres et qu’ils interagissent avec eux.
« Je pense que la majorité d’entre nous, si ce n’est pas tout le monde, croient qu’ils n’ont aucun préjugé envers les autres. Qu’ils ne font jamais preuve de discrimination », raconte Salmond. « Mais quand tu commences à comprendre ce que c’est un préjugé inconscient et l’impact du langage que tu peux utiliser dans les conversations que tu as avec les autres, tu réalises que d’une certaine façon, sans le vouloir, tu as peut-être développé ce préjugé ou que tu l’as en toi. »
Pour sa part, Varughese a été animée par la réceptivité qu’elle a eue des athlètes et du personnel.
« Ils étaient très motivés à devenir des agents de changement… c’était vraiment inspirant pour moi parce qu’ils sont tous des athlètes en position d’influence », a commenté Varughese dans une entrevue publiée la semaine dernière dans le Toronto Star.
« J’ai trouvé qu’ils ont été vraiment transparents et honnêtes en reconnaissant non seulement qu’ils ont eu des préjugés inconscients ou qu’ils ne savaient même pas ce que c’était, mais aussi dans leur compréhension de ce que les autres peuvent vivre comme situation. »
Et quelle est la suite? Comment Hockey Canada peut-elle s’assurer que cette conversation se poursuive à l’interne et qu’elle ait lieu à l’extérieur de l’organisation au sein de la grande communauté du hockey?
« Nous avons tenu la portion virtuelle. La prochaine fois que les joueurs seront réunis en personne, nous organiserons des ateliers », exprime Salmond. « Nous parlerons de ce que nous voulons comme environnement, de ce que les athlètes veulent. Je pense qu’il y a une certaine marge entre avoir une politique ou des attentes et de la présenter ou de l’expliquer à l’écrit. Tout ça aura plus de poids si les athlètes y donnent leur voix et ont une occasion de participer à la création de cet environnement. »
« En tant qu’organisme national de sport, c’est vraiment une responsabilité et une occasion d’avoir un impact à l’échelle nationale avec nos athlètes et notre personnel. Nous espérons que cet impact se fera sentir au sein des équipes de clubs et des communautés canadiennes. »
Vincent Boily, de sommet en sommet
Habitué aux défis, dont celui de s’être relevé d’une paralysie incomplète à la moelle épinière, le parahockeyeur québécois a repoussé ses limites en faisant l’ascension du mont Kilimandjaro
« Je me suis effondré et je me suis mis à pleurer comme un gros bébé. J’étais tellement émotif et brûlé mort. J’étais si fier de moi. »
C’était le matin du 28 juillet dernier.
Vincent Boily venait enfin d’atteindre le sommet du mont Kilimandjaro. Le toit de l’Afrique, en Tanzanie.
Un long périple jusqu’à 5 895 m d’altitude qu’il a complété en marchant plus de 90 km avec des orthèses tibiales, accompagné de dix adeptes de la randonnée et de plusieurs guides.
« J’ai fait des câlins avec les autres et j’ai partagé ma fierté avec eux », confie Vincent, qui était l’un des plus jeunes du groupe, à 24 ans.
Le jeune homme de Saint-Eustache avait besoin d’un autre défi dans sa vie, malgré qu’elle lui en avait donné plusieurs jusque-là. Et il voulait donner une visibilité à son sport, le parahockey, tout en amassant des sommes pour la Fondation moelle épinière et motricité Québec.
Au fil de l’ascension, Vincent a pu admirer des paysages à couper le souffle. (Vincent Boily)« Je voulais prouver aux gens que, même si j’étais handicapé, je pouvais faire quelque chose d’extraordinaire que même des personnes avec leurs capacités complètes auraient de la misère à réussir. »
Ce défi, il l’avait choisi. Contrairement à celui qui s’est présenté sur son chemin, bien malgré lui, le 26 décembre 2017.
Vincent était de passage dans sa région natale du Saguenay–Lac-Saint-Jean pour le temps des fêtes.
Quelques jours plus tard, il devait aller rejoindre sa nouvelle équipe de la LHJMQ, l’Océanic de Rimouski, et son bon ami du hockey mineur, Alexis Lafrenière.
Il roulait à motoneige avec son parrain. Sur des pistes glacées, il a pris une courbe trop vite et a été violemment éjecté du véhicule. Vincent a subi de nombreuses fractures.
Mais surtout, une paralysie incomplète de la moelle épinière a changé à jamais la trajectoire de sa vie.
Il a passé plusieurs mois à l’hôpital et a dû réapprendre à marcher.
« C’est inhumain ce que j’ai enduré à l’hôpital. J’avais mal aux heures. Je suis passé de 160 à 120 livres en raison des chirurgies et de ma longue hospitalisation. »
Joueur de hockey rapide et habile au petit gabarit, Vincent avait toujours dû redoubler d’ardeur pour atteindre les plus hauts niveaux du hockey mineur avec les Vikings de Saint-Eustache de la LHM18AAAQ.
Mais, cette fois, plus que jamais, il avait besoin d’aide pour traverser la plus grande épreuve de sa vie.
Une aide qui lui a permis de développer une force de caractère insoupçonnée.
« Mes parents ont été des superhéros, encore plus que moi. Ma mère m’a accompagné chaque jour et mon père chaque soir pendant tout mon séjour à l’hôpital. Ensuite, ma mère a pris un an de congé pour s’occuper de moi à la maison. Sans mes parents, je n’aurais pas pu sortir de mon accident aussi fort. »
Au cours de sa longue réadaptation, Vincent a profité du soutien indéfectible de ses parents, Ann Mathieu et Érick Boily. (Vincent Boily)Son retour à la maison, après environ cinq mois à l’hôpital et au centre de réadaptation, a probablement été encore plus difficile pour lui. Une fois la poussière retombée, il a vécu une sévère dépression.
« Ça a vraiment crashé pour moi. Mes amis retournaient à leurs camps de hockey. Je n’étais pas encore autonome. J’ai remis mes patins et j’ai réalisé que mon rêve d’aller plus loin au hockey était terminé. Tout ce que j’avais fait en physio, c’était dans l’esprit de pouvoir rejouer. »
En janvier 2019, un peu plus d’un an après son accident, Vincent a décidé de reprendre sa vie en main.
« Je suis parti seul en Australie pendant trois mois. J’avais besoin de faire quelque chose par moi-même pour retrouver mes repères. J’ai profité de la vie en faisant du surf et ça m’a vraiment fait du bien. Mais à mon retour, il me manquait quelque chose. J’avais toujours été un athlète et je carburais encore à ça. »
La découverte d’un nouveau sport
À la recherche des sensations qui le faisaient vibrer lorsqu’il jouait au hockey, Vincent a essayé l’aviron et le paracyclisme.
« Patrick Desnoyers [le capitaine d’Équipe Québec au parahockey], avec qui je faisais de la physio, n’arrêtait pas de m’inciter à essayer le parahockey. Moi j’avais fait mon deuil du hockey depuis mon accident et je ne voulais pas pratiquer ce sport différemment.
« Finalement, je me suis laissé tenter et j’ai aimé ça. À ma première saison en 2021-2022, j’ai été choisi par Équipe Québec. »
Déjà très habile au hockey debout, Vincent s’est rapidement adapté à son nouveau sport. Si bien qu’il a été sélectionné par l’équipe nationale de parahockey du Canada pour la saison 2022-2023.
Cette découverte a véritablement donné un nouveau souffle à sa vie.
Au Championnat mondial de parahockey 2024 en mai dernier à Calgary, Vincent a participé à la magnifique conquête de la médaille d’or du Canada. Depuis 2017, le titre mondial avait échappé à l’équipe nationale, mais une victoire serrée de 2-1 en finale contre les puissants Américains a permis à Vincent et à ses coéquipiers de prendre place au sommet de leur sport.
Pétillant de fierté, Vincent fait l’accolade à son coéquipier Anton Jacobs-Webb après la conquête de l’or. (Erica Perreaux/Hockey Canada Images)« Je rêvais de représenter mon pays quand je jouais au hockey dans ma cave plus jeune. Je n’avais jamais vécu une victoire contre les États-Unis depuis mes débuts, et de réussir ça avec mes frères qui sont devenus tellement importants dans ma vie, c’était vraiment émouvant. »
Le défi de la Tanzanie
À peine deux mois après avoir vécu l’euphorie du Mondial, Vincent s’est envolé vers la Tanzanie pour y rejoindre un groupe d’inconnus avec qui il allait faire équipe dans son ascension du mont Kilimandjaro.
Il était le seul Canadien. Et le seul avec un handicap.
« Après la première journée, j’étais complètement brûlé, dit-il en riant. J’avais un peu sous-estimé l’ampleur de la tâche, mais je savais que j’étais capable. »
Comme avec ses coéquipiers sur la glace, Vincent a tissé des liens étroits avec ses partenaires de marche et les nombreux guides de l’aventure.
« On est devenus hyper proches, on s’est appuyés les uns les autres au fil des jours. »
Chaque journée de marche d’un camp à l’autre se faisait à un rythme lent, mais le poids des kilomètres jumelé à l’acclimatation à l’altitude rendait la tâche de plus en plus ardue. Malgré ses limitations physiques, Vincent n’a jamais senti qu’il ralentissait le groupe.
Au-delà du défi physique qu’il affrontait, Vincent avait un atout dont il comptait bien se servir jusqu’à la toute fin pour survivre à la dernière montée jusqu’au sommet, qui l’a forcé à puiser dans ses dernières réserves.
« Mon niveau mental était tellement solide, étant donné ce que j’avais vécu après mon accident. Ce qui me motivait le plus, c’est que les médecins m’avaient dit que je ne pourrais plus marcher. Je me disais : check-moi aujourd’hui, check-moi aujourd’hui! »
Au début de la nuit, après la sixième journée de marche, Vincent et son groupe ont amorcé l’ultime étape : une montée d’environ neuf heures jusqu’au plus haut sommet de l’Afrique. Deux personnes de son groupe avaient déjà été contraintes à l’abandon en raison de l’altitude (et deux autres allaient devoir s’arrêter aussi par la suite).
Vincent et ses partenaires ont amorcé la dernière portion vers le sommet à minuit en haute altitude. (Vincent Boily)« Je ressentais l’altitude à un niveau vraiment extrême. J’étais comme un robot, je ne contrôlais pas mon corps ni mon esprit. Personne ne parlait, tout le monde survivait. »
« Quand je suis arrivé près du sommet, je voyais la pancarte du haut de la montagne à environ 200 m, mais je n’arrivais pas à m’y rendre. J’arrêtais aux 30 m. J’ai puisé dans une réserve que je ne savais même pas que j’avais et je me suis rendu. »
C’est à ce moment qu’il a fondu en larmes, si fier d’avoir encore une fois repoussé ses limites.
Et quel sera son prochain défi maintenant, outre sa participation à la Coupe de parahockey 2024 à Charlottetown en décembre?
« Je souhaite représenter mon pays aux prochains Jeux paralympiques. Je veux devenir la meilleure version de moi-même au parahockey et un ambassadeur pour mon sport. »
Annonce des joueurs invités au camp de sélection de l’équipe nationale junior du Canada
32 joueurs viseront un poste pour jouer au Mondial junior à Ottawa
CALGARY, Alberta – À moins d’un mois de l’ouverture du Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF, Hockey Canada a dévoilé le nom des 32 joueurs qui ont reçu une invitation au camp de sélection de l’équipe nationale junior du Canada, lequel se déroulera du 10 au 13 décembre à la Place TD à Ottawa, en Ontario.
Quatre gardiens de but, 10 défenseurs et 18 avants ont été choisis par le dépisteur en chef des M20, Al Murray (Regina, SK), et les membres du groupe de gestion, qui comprend Peter Anholt (Naicam, SK/Lethbridge, WHL) et Brent Seabrook (Tsawwassen, BC), avec l’aide de Scott Salmond (Creston, BC), premier vice-président de la haute performance et des activités hockey, Benoit Roy (Sudbury, ON), directeur des activités hockey et Scott Walker (Cambridge, ON/Guelph, OHL), entraîneur en développement des joueurs. L’entraîneur-chef Dave Cameron (Kinkora, PE/Ottawa, OHL), le dépisteur en chef des M17 Byron Bonora (Brooks, AB) et le consultant des gardiens de but Dan De Palma (Kamloops, BC/Kamloops, WHL), de même que les entraîneurs et directeurs généraux de la Ligue canadienne de hockey (LCH) ont également participé au processus.
« Nous sommes ravis d’annoncer les 32 joueurs qui ont reçu une invitation au camp de sélection qui aura lieu à Ottawa et d’amorcer le parcours vers notre objectif ultime, soit de gagner la médaille d’or du Championnat mondial junior à domicile, a déclaré Murray. Il s’agit d’un groupe de jeunes joueurs talentueux qui sont déterminés à représenter le Canada avec fierté pendant la période des fêtes, et nous sommes prêts pour un camp où la compétition devrait être très relevée où nous aurons plusieurs décisions difficiles à prendre pour sélectionner notre formation définitive. »
Parmi les 32 joueurs qui espèrent représenter le Canada au Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF à Ottawa, sept ont fait partie de l’édition 2024 (Bonk, Cowan, Molendyk, Ratzlaff, Rehkopf, Wood, Yager), huit ont remporté la médaille d’or au Championnat mondial des M18 2024 de l’IIHF (Beaudoin, Brunicke, George, Ivankovic, Luchanko, Martone, McKenna, Schaefer) et trois ont gagné l’or à la Coupe Hlinka-Gretzky 2024 (Ivankovic, McKenna, Schaefer).
Le camp de sélection comprendra deux duels contre une équipe d’étoiles d’U SPORTS, le 12 décembre à 15 h HE et le 13 décembre à 12 h HE. Il est possible de se procurer des billets pour les matchs du camp de sélection au HockeyCanada.ca/MondialJunior, dont des forfaits pour les deux matchs à partir de 52 $, et des billets unitaires à compter de 35 $ seulement. Les deux matchs seront webdiffusés en direct au HNLive.ca.
Après le camp de sélection, l’équipe nationale junior du Canada se rendra à Petawawa, en Ontario, pour un camp d’entraînement de quatre jours qui aura lieu du 15 au 18 décembre à l’aréna Silver Dart, en préparation pour le Mondial junior 2025. Équipe Canada croisera le fer avec la Suisse, la Suède et la Tchéquie dans le cadre du calendrier préparatoire du Mondial junior.
« Nous nous réjouissons pour les 32 joueurs qui ont l’occasion de compétitionner pour un poste au sein de l’équipe nationale junior du Canada en vue du Mondial junior, a commenté Anholt. Nous avons hâte d’amorcer la dernière portion de notre processus d’évaluation au camp de sélection. Nous sommes également ravis de rassembler notre équipe à Ottawa et à Petawawa et de permettre à nos partisans et partisanes de voir les meilleurs joueurs de moins de 20 ans affronter l’équipe des étoiles d’U SPORTS avant le tournoi. »
Le Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF commence le 26 décembre avec quatre matchs, dont un affrontement entre le Canada et la Finlande au Centre Canadian Tire à 19 h 30 HE. TSN et RDS, les diffuseurs officiels de Hockey Canada, assureront une fois de plus une couverture exhaustive de l’événement en présentant les 29 matchs du tournoi, de même que les trois rencontres préparatoires d’Équipe Canada.
Hockey Canada a également annoncé qu’elle tiendra encore des tirages moitié-moitié, présentés par Tim Hortons, tout au long du Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF. Les gens dans 11 provinces et territoires peuvent participer au moitié-moitié par excellence du Canada en achetant des billets pour les trois tirages principaux (du 4 au 26 déc., du 26 au 31 déc. et du 31 déc. au 5 janv.). Les profits nets demeureront dans les communautés locales en appui à l’essor du hockey et à la rétention dans le sport, au hockey féminin et à des initiatives qui rendent le hockey plus sécuritaire. Pour plus d’information, veuillez visiter le 5050HockeyCanada.ca.
Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et l’équipe nationale junior du Canada, veuillez consulter le HockeyCanada.ca, ou suivre les médias sociaux sur Facebook, X, Instagram et TikTok.
Formation pour la Coupe de parahockey 2024
Dix-huit joueurs porteront le chandail orné de la feuille d’érable à Charlottetown
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a procédé à l’annonce des 18 joueurs qui feront partie de l’équipe nationale de parahockey à la Coupe de parahockey 2024, du 8 au 14 décembre, à Charlottetown, Île-du-Prince-Édouard. Trois gardiens de but, cinq défenseurs et dix avants ont été choisis par l’entraîneur-chef Russ Herrington (Unionville, ON/Université York, SUO) et le responsable des activités hockey Adam Janssen (Richmond Hill, ON). Les entraîneurs adjoints Steve Arsenault (Spruce Grove, AB), Mike Fountain (Gravenhurst, ON), Liam Heelis (Georgetown, ON), Boris Rybalka (Vernon, BC) et Greg Westlake (Oakville, ON) ont également participé au processus de sélection. « La Coupe de parahockey est un superbe événement qui nous permet de mettre notre sport en lumière auprès de la population canadienne, et nous sommes vraiment contents de revenir à Charlottetown cette année pour tenir ce tournoi, a déclaré Herrington. Nous nous attendons à une forte opposition de la Chine, des États-Unis et de la Tchéquie, et le groupe que nous avons assemblé sera prêt à compétitionner et à représenter le pays le mois prochain. » La formation comprend 16 joueurs qui ont remporté une médaille d’or au Championnat mondial de parahockey 2024 (Armstrong, Boily, Burnett, Cozzolino, Dixon, Dunn, Halbert, Henry, Hickey, Jacobs-Webb, Kingsmill, Kovacevich, Lavin, Lelièvre, McGregor, Watson). Les sélections au sein de l’équipe nationale de parahockey du Canada ont été effectuées à partir de la liste de 32 athlètes qui ont pris part au camp d’évaluation tenu du 27 septembre au 2 octobre à Elmira, en Ontario. TSN et RDS, partenaires officiels de diffusion de Hockey Canada, présenteront les matchs pour des médailles le samedi 14 décembre; veuillez consulter votre programmation locale pour plus de détails. Tous les matchs de la ronde préliminaire et des demi-finales seront diffusés en direct sur le Web au HNLive.ca. Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada et l’équipe nationale de parahockey du Canada, veuillez visiter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux Facebook, X, Instagram et TikTok.
Aperçu de la Série de la rivalité : Canada c. États-Unis
Dimanche 10 novembre | 17 h HR | Boise, Idaho | Match no 3
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (10 NOV.)
Le volet américain de la Série de la rivalité prend fin dimanche à Boise; l’équipe nationale féminine du Canada tentera de prendre l’avance avant la dernière étape de la série au Canada en février.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Le Canada a créé l’égalité dans la série en remportant un match endiablé au compte de 5-4 en tirs de barrage vendredi soir à West Valley City, Utah. Laura Stacey a obtenu deux buts en temps réglementaire, mais les Canadiennes ont perdu une avance de trois filets en troisième période. Il a fallu que Chloe Primerano joue les héroïnes lors de la cinquième ronde des tirs de barrage grâce à un but sensationnel pour confirmer la victoire des siennes.
À surveiller
C’est de plus en plus évident : Stacey adore être sous les feux de la rampe. La joueuse de Kleinburg, en Ontario, a enfilé l’aiguille deux fois lors du deuxième match, démontrant encore une fois qu’elle sait se montrer à la hauteur dans les grands matchs. Depuis les Jeux olympiques d’hiver de 2022, Stacey a récolté 27 points (14-13—27) en 44 matchs aux Jeux olympiques, aux Mondiaux féminins et à la Série de la rivalité; cela représente près des deux tiers de son total de points en carrière dans près de la moitié de son total de matchs (elle a 44 points en 98 matchs). Le trio de vétéranes formé de Stacey, Blayre Turnbull et Emily Clark a fait preuve de constance dans le clan canadien, ayant obtenu trois des six buts inscrits en temps réglementaire lors des deux premières parties de la série.
Ce sera un match spécial dimanche soir; Hilary Knight, la capitaine des États-Unis, jouera dans son État natal pour la première fois dans l’uniforme de son pays – la ville de Boise est située trois heures à l’ouest de sa ville d’origine de Sun Valley. À 35 ans, Knight continue de produire. Elle a marqué deux fois dans les six dernières minutes vendredi pour aider les États-Unis à combler un déficit de trois buts tard dans la rencontre et forcer la tenue d’une prolongation. Elle a huit points (4-4—8) en huit matchs de la Série de la rivalité au cours des deux dernières saisons. La future membre du Temple de la renommée du hockey se rapproche du plateau des 300 points en carrière avec les États-Unis (elle en a actuellement 276) et détient plusieurs records du Mondial féminin, notamment le plus grand nombre de médailles (14), de buts (65) et de points (111).
Jalon à surveiller
Après avoir marqué un but en désavantage numérique vendredi soir, Marie-Philip Poulin n’a besoin que d’un seul point pour dépasser Danielle Goyette, joueuse d’avant intronisée au Temple de la renommée du hockey, au quatrième rang des meilleures pointeuses de l’histoire de l’équipe nationale féminine (219 points).
Brianne Jenner n’est qu’à deux buts du plateau des 50 en carrière avec Équipe Canada. Si elle l’atteint, elle deviendra la 14 e joueuse à y arriver. Stacey et Sarah Nurse joueront quant à elles un 99 e match à l’international, ce qui les approche du plateau des 100.
Rétrospective
L'Idaho devient le 19eÉtat différent à accueillir un duel entre le Canada et les États-Unis; les Canadiennes détiennent un avantage de 35-29-1 lors des parties jouées au sud de la frontière.
L’histoire nous dit que la prolongation est souvent nécessaire lors des duels entre ces deux pays aux États-Unis. En 65 matchs depuis 1994, 16 ont nécessité une prolongation, dont sept des 15 derniers. C’est au match pour la médaille d’or du Championnat Pacific Rim 1995 que les deux pays ont croisé le fer en prolongation pour la première fois aux États-Unis; le Canada avait gagné 2-1 en tirs de barrage. Caroline Ouellette a été la première à sceller l’issue d’un match en prolongation lors du match pour la médaille d’or du Mondial féminin 2012.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 106-80-1 (25-20 en PROL. ou TB) Buts pour le Canada : 521 Buts pour les États-Unis : 461
Aperçu de la Série de la rivalité : Canada c. États-Unis
Vendredi 8 novembre | 19 h HR | West Valley City, Utah | Match no 2
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (8 NOV.)
L’équipe nationale féminine du Canada reprend l’action dans la Série de la rivalité après avoir plié l’échine au premier duel contre les États-Unis. Le deuxième acte de la série aura lieu vendredi soir à West Valley City, en banlieue de Salt Lake City.
Dernière rencontre entre les deux équipes
Le Canada a amorcé la série avec un revers de 7-2 contre les États-Unis mercredi soir à San Jose, en Californie. Blayre Turnbull et Sarah Nurse ont marqué à 92 secondes d’intervalle en fin de deuxième période, mais une première période de cinq buts des Américaines a fait la différence. Ann-Renée Desbiens a été solide en remplacement de la gardienne de but partante Kristen Campbell, repoussant 12 des 14 tirs reçus au cours des 40 dernières minutes.
À surveiller
Daryl Watts a emprunté un chemin plutôt unique pour faire ses débuts avec Équipe Canada à San Jose. Après avoir gagné deux médailles d’argent au Championnat mondial féminin des M18 de l’IIHF en 2016 et en 2017, la joueuse de Toronto a connu une carrière historique dans les rangs universitaires. En 2018, elle est devenue la première joueuse de première année à remporter le prix Patty-Kazmaier à titre de Joueuse de l’année dans la NCAA avec le Collège de Boston et, en 2021, elle a mis la main sur un titre national avec l’Université du Wisconsin. Watts a signé une entente record avec le Six de Toronto en janvier 2023 et, quelques mois plus tard, elle a gagné le championnat de la PHF avant d’être sélectionnée par Ottawa lors du repêchage inaugural de la LPHF. Elle a terminé la saison au premier rang des buteuses d’Ottawa avant de signer un contrat avec les Sceptres de Toronto. Et maintenant, elle peut dire qu’elle a porté le chandail de l’équipe nationale féminine.
Laila Edwards a été élue Joueuse par excellence du Championnat mondial féminin 2024 de l’IIHF sur sa patinoire à Utica, marquant six buts en sept matchs, un sommet dans le tournoi. Elle a également remporté le prix Bob-Allen remis par USA Hockey à la Joueuse de l’année. Mais qui dit nouvelle saison, dit nouveau défi. Edwards est passée d’attaquante à défenseure – lors du premier match mercredi soir, elle a formé un duo avec la vétérane Megan Keller. Elle n’a pas semblé dérangée par ce changement (elle avait patrouillé la ligne bleue au hockey mineur et à l’école secondaire), obtenant deux mentions d’aide dans la victoire.
Jalon à surveiller
Marie-Philip Poulin n’a besoin que d’un seul point pour rejoindre Danielle Goyette, joueuse d’avant intronisée au Temple de la renommée du hockey, au quatrième rang des meilleures pointeuses de l’histoire de l’équipe nationale féminine (218 points).
Brianne Jenner n’est qu’à deux buts du plateau des 50 en carrière avec Équipe Canada. Si elle l’atteint, elle deviendra la 14 e joueuse à y arriver. Sarah Nurse et Laura Stacey joueront quant à elles un 98 e match à l’international, ce qui les approche du plateau des 100.
Rétrospective
Une page du grand livre d’histoire du hockey est associée à l’aréna où se déroulera ce match. Le Maverik Center a auparavant été connu sous le nom d’E Center. C’est là qu’ont eu lieu les tournois de hockey des Jeux olympiques d'hiver de 2002.
Les partisans et partisanes du pays se souviendront sans doute de la conclusion du tournoi chez les femmes – le 21 février 2002, Jayna Hefford avait inscrit le but de la victoire dans les dernières secondes de la deuxième période, et le Canada avait vaincu les États-Unis 3-2 pour remporter sa première médaille d’or olympique.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 105-80-1 (24-20 en prolongation ou TB) Buts pour le Canada : 516 Buts pour les États-Unis : 457
Aperçu de la Série de la rivalité : Canada c. États-Unis
Mercredi 6 novembre | 19 h HP | San Jose, Californie | Match no 1
NOTES SUR LE MATCH : CANADA C. ÉTATS-UNIS (6 NOV.)
L’équipe nationale féminine du Canada amorce une nouvelle saison mercredi soir contre une nation qu’elle est très habituée d’affronter! L’édition 2024-2025 de la Série de la rivalité se met en branle dans le nord de la Californie.
Dernière rencontre entre les deux équipes
La dernière fois que les deux équipes rivales de l’Amérique du Nord ont croisé le fer remonte au 14 avril dernier lors du match pour la médaille d’or du Championnat mondial féminin 2024 de l’IIHF à Utica, dans l’État de New York. Après une troisième période endiablée où les Canadiennes et les Américaines ont marqué quatre buts en six minutes, Danielle Serdachny a joué les héroïnes en poussant un retour d’Erin Ambrose dans le filet adverse à 5 min 19 s de la prolongation. Ce but a permis au Canada de l’emporter 6-5 et de mettre la main sur un 13 e titre mondial. Ambrose a terminé la rencontre avec un but et une aide, tandis que Marie-Philip Poulin a démontré encore une fois qu’elle excelle dans les grandes occasions en inscrivant un doublé.
Pour une deuxième année de suite, le Canada a complété le balayage inversé en remportant quatre matchs consécutifs lors de la Série de la rivalité, couronnant le tout le 11 février à St. Paul, dans l’État du Minnesota. Natalie Spooner et Emma Maltais ont chacune récolté deux buts et une aide, Sarah Nurse a ajouté trois aides à sa fiche et les Canadiennes ont signé une victoire convaincante de 6-1 au match n o 7 pour remporter les honneurs de la série.
À surveiller
Tous les yeux seront rivés sur Chloe Primerano. D’abord, l’arrière de 17 ans a dépassé Ambrose pour devenir la meilleure buteuse de l’histoire chez les défenseures de l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans lors de la série estivale contre les États-Unis. Aussi, elle devrait jouer un rôle de premier plan au Championnat mondial féminin des M18 2025 de l’IIHF en janvier. Mais surtout, lors du premier acte de la Série de la rivalité, elle deviendra la deuxième plus jeune défenseure à jouer pour l’équipe nationale féminine, après Cheryl Pounder lors du Mondial féminin 1994, qui n’avait que deux semaines de moins à l’époque. L’athlète originaire de North Vancouver, en Colombie-Britannique, a été formidable jusqu’ici en tant que joueuse de première année à l’Université du Minnesota, accumulant six points (1-5—6) en 10 matchs pour les Golden Gophers, qui sont au troisième rang du classement.
Les Américaines s’amènent à San Jose avec une formation beaucoup moins expérimentée que celle du Canada; 10 de leurs 27 joueuses évoluent au hockey universitaire cette saison. À la tête de ce groupe, il y a Casey O’Brien, hockeyeuse de cinquième année de l’Université du Wisconsin. Elle trône au sommet des meilleures pointeuses de la NCAA avec 26 points (7-19—26) en 12 matchs pour les Badgers, invaincues et classées en première place. O’Brien, qui a fait ses débuts avec l’équipe nationale lors de la Série de la rivalité l’an dernier, ne faisait pas partie du premier groupe de joueuses nommées à la formation américaine au début du mois d’octobre, mais elle a fait sa place avec l’équipe grâce à un départ canon cette saison.
Jalon à surveiller
Poulin n’a besoin que d’un seul point pour rejoindre Danielle Goyette, attaquante membre du Temple de la renommée du hockey, au quatrième rang des meilleures pointeuses de l’histoire de l’équipe nationale féminine (218 points).
Brianne Jenner n’est qu’à deux buts du plateau des 50 en carrière avec Équipe Canada. Si elle l’atteint, elle deviendra la 14 e joueuse à y arriver. Nurse jouera quant à elle un 97 e match à l’international, ce qui l’approche du plateau des 100.
Rétrospective
Il s’agit de la 186 e rencontre entre le Canada et les États-Unis depuis 1990.
L’historique des duels entre les deux pays favorise le Canada, mais les États-Unis ont un léger avantage pour les affrontements tenus à San Jose, avec trois victoires en cinq parties. Le Canada a signé la victoire la dernière fois que les équipes se sont affrontées au « Shark Tank », en l’emportant 3-1 lors d’une série avant les Jeux olympiques en décembre 2017. Nurse, Poulin et Haley Irwin ont touché la cible.
Fiche de tous les temps : le Canada mène 105-79-1 (24-20 en prolongarion ou TB) Buts pour le Canada : 514 Buts pour les États-Unis : 450
Dévoilement de la formation de l’équipe nationale féminine pour la première portion de la Série de la rivalité
Un premier affrontement entre Équipe Canada et les États-Unis aura lieu le 6 novembre à San Jose, en Californie
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a annoncé le nom des 25 joueuses qui porteront l’unifolié au sein de l’équipe nationale féminine du Canada lors des trois premières rencontres de la Série de la rivalité 2024-2025, qui s’amorcera le 6 novembre à San Jose, en Californie.
Trois gardiennes de but, huit défenseures et quatorze avants ont été choisies par la directrice générale Gina Kingsbury (Rouyn-Noranda, QC/Toronto, LPHF), l’entraîneur-chef Troy Ryan (Spryfield, NS/Toronto, LPHF) et la première responsable du développement des joueuses et du dépistage Cherie Piper (Scarborough, ON). Les entraîneuses adjointes Kori Cheverie (New Glasgow, NS/Montréal, LPHF), Caroline Ouellette (Montréal, QC/Université Concordia, RSEQ) et Britni Smith (Port Perry, ON/Université de Syracuse, CHA), de même que le consultant des gardiennes de but Brad Kirkwood (Calgary, AB/Toronto, LPHF), ont aussi contribué aux sélections.
« Nous ne sommes qu’à six mois du Championnat mondial féminin 2025 de l’IIHF, et ces trois premiers matchs vont nous donner un bon aperçu de notre profondeur, a expliqué Kingsbury. On parle de deux équipes qui se connaissent très bien, mais cela ne nous empêche pas de poursuivre le travail entamé lors du camp de septembre. Il s’agit de bien évaluer notre équipe, dès maintenant et tout au long de la saison. »
La liste de joueuses en comprend 21 qui ont remporté la 13e médaille d’or du Canada lors du Championnat mondial féminin 2024 de l’IIHF (Ambrose, Bell, Bourbonnais, Campbell, Clark, Desbiens, Fast, Fillier, J. Gosling, Jenner, Larocque, Maltais, Maschmeyer, Nurse, O’Neill, Poulin, Rattray, Serdachny, Shelton, Stacey, Turnbull).
Chloe Primerano (North Vancouver, BC/Université du Minnesota, WCHA) et Daryl Watts (Toronto, ON/Toronto, LPHF) en seront à leurs débuts au sein de l’équipe nationale féminine.
C’est dans les Maritimes que la Série de la rivalité se conclura en février prochain. L’avant-dernier duel sera disputé le jeudi 6 février à 19 h HA au Scotiabank Centre, domicile des Mooseheads de Halifax dans la Ligue de hockey junior Maritimes Québec (LHJMQ). Les équipes se rendront ensuite à Summerside, à l’Île-du-Prince-Édouard, et croiseront le fer à la Credit Union Place, domicile des Western Capitals de Summerside dans la Ligue de hockey des Maritimes (MHL), le samedi 8 février à 19 h HA.
Hockey Canada, en partenariat avec ses 13 membres, annoncera des initiatives locales pour ces deux affrontements en sol canadien, l’objectif pour l’équipe nationale féminine du Canada étant de multiplier les interactions dans les deux communautés et d’y laisser un legs durable à la prochaine génération.
TSN et RDS, partenaires officiels de diffusion de Hockey Canada, présenteront chacun des cinq matchs de la Série de la rivalité; veuillez consulter votre programmation locale pour plus de détails.
Le Canada a remporté les deux dernières éditions de la Série de la rivalité, gagnant les quatre dernières parties en 2023 et en 2024 pour s’assurer de la victoire lors des deux années. Les
Canadiennes détiennent l’avantage 15-13 sur les Américaines depuis la création de la Série de la rivalité en 2018-2019.
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Publication du calendrier préparatoire du Mondial junior
Sept communautés de l’Ontario accueilleront des matchs préparatoires en décembre en vue du Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF
CALGARY, Alberta – Le calendrier préparatoire du Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF a été annoncé. Sept communautés seront les hôtes des matchs hors concours, qui auront lieu du 19 au 23 décembre 2024. Au total, 11 matchs seront présentés dans l’Est de l’Ontario en vue du Mondial junior. Le programme préparatoire débute et se termine à Ottawa. La capitale nationale accueillera trois matchs, et les autres parties seront disputées à Arnprior, Bellville, Brockville, Cornwall, Hawkesbury et Kingston. Les dix équipes participantes seront sur la glace au cours des cinq jours du calendrier préparatoire. Le Canada disputera d’abord deux matchs à la Place TD d’Ottawa, soit un duel contre la Suisse le 19 décembre et un autre contre la Suède le 21 décembre, puis se mesurera à la Tchéquie au Centre Canadian Tire le 23 décembre. Les trois affrontements débuteront à 19 h HE / 16 h HP. Outre les matchs préparatoires, sept communautés de l’Ontario accueilleront les équipes participantes venant de l’étranger pour des camps préparatoires en amont de la tradition de hockey du temps des fêtes : Arnprior (Lettonie), Belleville (Tchéquie et Suède), Brockville (Suisse), Carleton Place (Kazakhstan), Cornwall (Finlande et Slovaquie), Kingston (États-Unis) et Ottawa (Canada et Allemagne). « Cette édition du Mondial junior célébrera le hockey dans l’Est de l’Ontario, et nous nous réjouissons que ces communautés soient les hôtes de séances d’entraînement et de matchs préparatoires en amont du premier jour de compétition, le lendemain de Noël », a affirmé Dean McIntosh, premier vice-président de la génération de revenus, de l’expérience client et de l’impact communautaire à Hockey Canada. « Nous savons que les partisans, partisanes et bénévoles de chaque communauté accueilleront le monde avec fierté, et nous constatons avec joie l’engouement grandissant qui les anime à mesure que les 10 équipes se préparent à compétitionner pour l’or dans notre capitale nationale. » Les billets pour les matchs préparatoires sont en vente maintenant, dont des sièges en nombre limité à la Place TD pour les deux premiers affrontements du Canada. CLIQUEZ ICI pour en savoir plus. Il reste encore quelques billets unitaires pour le Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF à Ottawa, en vente sur le site HockeyCanada.ca/MondialJunior. TSN et RDS, les diffuseurs officiels de Hockey Canada, présenteront les trois matchs préparatoires du Canada ainsi que les 29 matchs du tournoi, à commencer par un duel entre la Suède et la Slovaquie à 12 h HE / 9 h HP le 26 décembre. Veuillez consulter votre programmation locale pour en savoir plus. Pour de plus amples renseignements sur Hockey Canada, le Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF et l’équipe nationale junior du Canada, veuillez visiter le HockeyCanada.ca ou suivre les médias sociaux Facebook, X, Instagram et TikTok.
Le Canada obtient la médaille d’argent à la Coupe internationale de parahockey 2024
L’équipe nationale de parahockey du Canada a perdu 5-3 contre les États-Unis au match pour la médaille d’or
OSTRAVA, Tchéquie – L’équipe nationale de parahockey du Canada a obtenu la médaille d’argent pour une troisième fois de suite à la Coupe internationale de parahockey 2024, s’inclinant par la marque de 5-3 devant les États-Unis dans le match pour la médaille d’or à l’Ostravar Aréna. Auren Halbert (Calgary, AB), Dominic Cozzolino (Mississauga, ON) et James Dunn (Wallacetown, ON) ont fait mouche pour le Canada dans une reprise du match pour la médaille d'or du Championnat mondial de parahockey 2024. Les États-Unis ont répliqué rapidement après chaque but des Canadiens, obtenant deux buts en supériorité numérique de Declan Farmer (Clearwater, FL), ce qui leur a permis de terminer le tournoi avec une fiche parfaite de 5-0, grâce entre autres à deux victoires contre le Canada. « Nous comprenons bien notre identité en tant qu’équipe, et nous savons de quelle façon nous devons jouer match après match, a exprimé l’entraîneur-chef Russ Herrington (Unionville, ON/Université York, SUO). Je pense qu’aujourd'hui et hier, nous avons fait les choses de la bonne manière, et ça nous a donné une chance de gagner.C’est difficile de triompher à ce niveau, c’est souvent les petits détails qui font la différence, et ce soir, les États-Unis ont eu le dessus dans cet aspect. » Le Canada avait obtenu un dossier de 2-1 en ronde préliminaire, ayant défait l’Italie à son premier match du tournoi, pour ensuite baisser pavillon contre les États-Unis et vaincre la Tchéquie. Les Canadiens ont ensuite confirmé leur participation au match pour la médaille d’or en battant les Tchèques 1-0 en demi-finale samedi. Adam Kingsmill (Smithers, BC) a été efficace devant le filet, réalisant 22 arrêts, tandis que la performance de Dunn , qui a marqué au troisième tiers, lui a valu le titre de Joueur du match du Canada. « Nous avons constaté une énorme progression cette semaine, en particulier de la part de nos jeunes joueurs. Plusieurs ont dû jouer plus de minutes que ce à quoi ils sont habitués. Des gars comme Vincent Boily (Alma, QC) et Shawn Burnett (McMasterville, QC) ont démontré à quel point ils ont travaillé fort cet été, a ajouté Herrington . Quand on gagne un gros tournoi comme le Mondial de parahockey, on se demande toujours si les joueurs vont revenir sans avoir nécessairement le couteau entre les dents, mais plusieurs nous sont revenus dans la meilleure forme de leur vie. Je ne retiens que du positif de nos deux dernières semaines. » L’équipe nationale de parahockey du Canada amorcera désormais ses préparatifs en vue de la Coupe de parahockey 2024, qui aura lieu du 8 au 14 décembre à Charlottetown, à l’Île-du-Prince-Édouard. Les forfaits complets de billets sont maintenant en vente .
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Annonce du groupe de gestion du Programme d’excellence pour la saison 2024-2025
Yanick Lemay, Dave Brown et Peter Anholt superviseront les programmes des M17, M18 et M20; les anciens Kyle Turris et Brent Seabrook se joignent au groupe
CALGARY, Alberta – Hockey Canada a nommé les trois directeurs généraux de la Ligue canadienne de hockey (LCH) qui formeront le groupe de gestion du Programme d’excellence en vue de la saison 2024-2025.
Yanick Lemay (Drummondville, QC/Drummondville, LHJMQ) fera ses débuts à titre de membre du groupe de gestion du Programme d’excellence auprès des athlètes du programme des moins de 17 ans dans le cadre du Défi mondial des M17 2024 à Sarnia, en Ontario. Dave Brown (Niagara-on-the-Lake, ON/Erie, OHL) est revenu quant à lui au sein du Programme d’excellence pour une deuxième année de suite comme responsable du programme des moins de 18 ans, lui qui a aidé l’équipe nationale masculine estivale des moins de 18 ans du Canada à remporter une troisième médaille d’or consécutive à la Coupe Hlinka-Gretzky 2024 à Edmonton en août dernier. Peter Anholt (Naicam, SK/Lethbridge, WHL) amorce une quatrième saison de suite avec le groupe de gestion, à la tête du programme des moins de 20 ans à nouveau cette année. Il conseillera l’équipe nationale junior du Canada dans son parcours jusqu’au Championnat mondial junior 2025 de l’IIHF et pendant le tournoi, qui se déroulera à Ottawa.
En outre, les anciens d’Équipe Canada Kyle Turris (New Westminster, BC) et Brent Seabrook (Tsawwassen, BC) se sont respectivement joints au programme des moins de 17 ans et à celui des moins de 20 ans. Turris fera équipe avec Lemay à sa première participation au sein du groupe de gestion, tandis que Seabrook rejoint le programme des moins de 20 ans pour la deuxième année consécutive et travaillera conjointement avec Anholt.
« Nous remercions Yanick, Dave, Peter, Kyle et Brent pour leur engagement et leur dévouement envers le Programme d’excellence », a affirmé Scott Salmond (Creston, BC), premier vice-président de la haute performance et des activités hockey. « Ces trois directeurs généraux et deux illustres anciens apportent une tonne d’expérience et de leadership aux programmes des moins de 17 ans, des moins de 18 ans et des moins de 20 ans de Hockey Canada. Le Programme d’excellence a commencé la nouvelle saison du bon pied, notre programme des moins de 18 ans ayant gagné l’or à domicile avec l’aide de Dave, et nous savons que Yanick, Kyle, Peter et Brent ont hâte de continuer d’ajouter aux succès du Canada sur la scène internationale au cours des prochains mois. »
Lemay entame actuellement sa deuxième saison comme directeur général des Voltigeurs de Drummondville dans la Ligue de hockey junior Maritimes Québec (LHJMQ). La saison dernière, les Voltigeurs ont connu une saison de 102 points sous sa direction, remportant ainsi le Trophée Gilles-Courteau remis aux champions de la LHJMQ et se qualifiant pour la Coupe Memorial. Avant son embauche par Drummondville, il a été dépisteur des rangs amateurs pour les Jets de Winnipeg pendant 12 saisons (2011-2023), dépisteur en chef pour le Junior de Montréal dans la LHJMQ pendant trois saisons (2008-2011) et dépisteur (1998-2002), puis dépisteur en chef (2002-2008) pour les Screaming Eagles du Cap-Breton, avec lesquels il a passé 10 saisons en tout.
Brown a dirigé le programme des moins de 17 ans en 2023-2024, où il a aidé Canada Blancs à gagner la médaille d’or au Défi mondial des M17 2023. Il en est à sa 10e saison (2015-2024) dans le rôle de directeur général des Otters d’Erie dans la Ligue de hockey de l’Ontario (OHL) après quatre ans à titre de directeur adjoint (2011-2024), puis directeur (2014-2015) des activités hockey de l’équipe. Brown a mené Erie au titre de l’OHL en 2017, et a aidé l’équipe à connaître quatre saisons de suite de 50 victoires et plus (2011-2015), un record de la LCH. Avant de se joindre aux Otters, il a passé sept campagnes avec les IceDogs de Mississauga/Niagara, d’abord en tant que directeur général adjoint (2003-2005), ensuite comme directeur général (2005-2010).
Anholt a dirigé le programme des moins de 20 ans la saison dernière, de même que celui des moins de 18 ans durant deux saisons (2021-2023). Il a aidé l’équipe nationale masculine estivale des moins de 18 ans du Canada à remporter une médaille d’or à la Coupe Hlinka-Gretzky 2022. Il est le directeur général des Hurricanes de Lethbridge dans la Ligue de hockey de l’Ouest (WHL) depuis neuf saisons complètes (2015-2024). Il avait été promu de son poste de directeur général adjoint de l’équipe en 2014. Anholt a également été l’entraîneur-chef des Hurricanes pendant une partie de la saison 2014-2015 et il a gagné le titre d’administrateur de l’année de la WHL à deux reprises (2015-2016, 2019-2020). Il possède un impressionnant bagage acquis dans la WHL en tant qu’entraîneur-chef, entraîneur adjoint et dépisteur, entre autres grâce à des passages au sein des Raiders de Prince Albert (1986-1989, 2002-2007), des Thunderbirds de Seattle (1989-1992, 2012-2014), des Rebels de Red Deer (1992-1995, 1998-2000, 2007-2008, 2011-2012) et des Rockets de Kelowna (1996-1998).
Turris a disputé 776 matchs dans la LNH en 14 saisons avec les Coyotes de Phoenix (2008-2011), les Sénateurs d’Ottawa (2011-2017), les Predators de Nashville (2017-2020) et les Oilers d’Edmonton (2020-2022), accumulant au total 424 points (168 buts, 256 aides). Il a représenté le Canada au sein de tous les groupes d’âge du Programme d’excellence, remportant l’or à la Coupe du monde junior des M18 2006 et au Championnat mondial junior 2008 de l’IIHF. Il en a fait autant avec Canada Ouest au Défi mondial junior A 2006, où il a été le meilleur pointeur du tournoi, ce qui lui a valu le titre de Joueur par excellence. Turris a aussi porté les couleurs du Canada à trois éditions du Championnat mondial de l’IIHF (2014, 2018, 2019), notamment à titre de capitaine en 2019, où il a gagné la médaille d’argent.
Seabrook a pris part à 1 114 matchs dans la LNH au fil de 15 saisons avec les Blackhawks de Chicago (2005-2020), récoltant 464 points en carrière (103 buts, 361 aides). Il a notamment été capitaine adjoint pendant 11 campagnes et soulevé la coupe Stanley à trois occasions (2010, 2013, 2015). Il a remporté la médaille d’argent au Défi mondial de hockey des moins de 17 ans 2002, la médaille d’or à la Coupe des huit nations 2002 au Championnat mondial des M18 2003 de l’IIHF, ainsi que l’or et l’argent respectivement aux éditions 2005 et 2004 du Championnat mondial junior de l’IIHF. Seabrook a également représenté le Canada lors du Championnat mondial 2006 de l’IIHF et est médaillé d’or aux Jeux olympiques d’hiver de 2010. Avant sa carrière professionnelle, il a disputé quatre saisons dans la WHL (2001-2005) pour Lethbridge, dont deux comme capitaine des Hurricanes (2003-2005).
Le groupe de gestion travaillera aux côtés de Salmond, Benoit Roy (Sudbury, ON), directeur des activités hockey, Al Murray (Regina, SK), dépisteur en chef pour les M20, Byron Bonora (Brooks, AB), dépisteur en chef pour les M17, Scott Walker (Cambridge, ON), entraîneur affecté au développement des joueurs, ainsi que de membres du personnel des activités hockey de l’organisation. Les activités courantes du groupe de gestion du Programme d’excellence comprennent la participation à la sélection des entraîneurs et des joueurs, le soutien du personnel des entraîneurs ainsi que l’apport continu de commentaires lors de camps et d’événements pendant la saison.
Le Programme d’excellence est supervisé par Katherine Henderson (Thunder Bay, ON), présidente et chef de la direction de Hockey Canada, Pat McLaughlin (Saint John, NB), chef de l’exploitation et vice-président directeur de la stratégie de Hockey Canada, Salmond, Roy, Dan MacKenzie (Guelph, ON), président de la LCH, Bryan Crawford (Hamilton, ON), commissaire de l’OHL, Mario Cecchini (Saint-Lambert, QC), commissaire de la LHJMQ, et Dan Near (Markham, ON), commissaire de la WHL.
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Jeremy Knight
Responsable, communications organisationnelles
Hockey Canada
(647) 251-9738
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